Les Cananéens bibliques, qui sont-ils ?

Les Cananéens bibliques, qui sont-ils ?

par Clifton A. Emahiser

 

Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.
Une meilleure question serait : les Cananéens bibliques, qui sont-ils aujourd’hui? Beaucoup de gens connaissent le terme de l’Ancien Testament, et en quelques occasions du Nouveau, mais les Cananéens existent-ils toujours aujourd’hui? Et si oui, comment pourrait-on en reconnaître un si on le rencontrait? La première mention de «Canaan» dans les Écritures se trouve en Gen. 9:18, en tant que personnage. Cependant, nous devons faire attention en utilisant cette désignation, car à des époques différentes, ce terme peut signifier différentes choses (i.e. une personne, une zone géographique, une nation ou tribu, ou un groupe de nations ou de tribus). Canaan, en tant que personne, a une origine particulière. En Gen. 9:18, on nous dit :
«Et les fils de Noé qui sortirent de l’arche étaient Sem, et Cham, et Japheth : et Cham fut le père de Canaan».
Au verset 22, nous lisons :
«Et Cham, père de Canaan, vit la nudité de son père, et le rapporta à ses deux frères, dehors».
Maintenant, un grand nombre de spéculations sont faites selon lesquelles, parce que Cham vit la nudité de son père, il s’agirait d’homosexualité, ce qui est faux. Mais pourtant, environ 95% de ceux qui lisent ce verset insistent sur cette explication, ignorant des versets tels que ceux-ci :
Lévitique 18:7--8 :
«Tu ne découvriras point la nudité de ton père, ni la nudité de ta mère : c’est ta mère ; tu ne découvriras point sa nudité. Tu ne découvriras point la nudité de la femme de ton père ; c’est la nudité de ton père».
Lévitique 20:11 :
«Et l’homme qui couchera avec la femme de son père, découvre la nudité de son père ; ils seront certainement mis à mort, tous deux ; leur sang est sur eux».
Deutéronome 22:30 :
«Un homme ne prendra pas la femme de son père, et ne relèvera pas le pan du vêtement de son père».
Deutéronome 27:20 :
«Maudit qui couche avec la femme de son père, car il relève le pan du vêtement de son père!».
Ézéchiel 22:10 :
«Au dedans de toi ils ont découvert la nudité d’un père ; au dedans de toi ils ont humilié la femme séparée à cause de ses mois».
1 Corinthiens 5:1 :
«On entend dire partout qu’il y a de la fornication parmi vous, et une fornication telle qu’elle n’existe pas même parmi les nations, de sorte que quelqu’un aurait la femme de son père».
Amos 2:7 :
«Eux qui désirent ardemment de voir la poussière de la terre sur la tête des chétifs, et qui pervertissent le chemin des débonnaires, et un homme et son père vont vers la même fille, pour profaner mon saint nom».
Genèse 35:22 :
«Et il arriva, pendant qu’Israël demeurait dans ce pays-là, que Ruben alla et coucha avec Bilha, concubine de son père ; et Israël l’apprit».
Genèse 49:4 :
«Bouillonnant comme les eaux, tu n’excelleras pas, car tu es monté sur la couche de ton père ; tu l’as alors profanée … il est monté sur mon lit!».
1 Chroniques 5:1 :
«Et les fils de Ruben, premier-né d’Israël (car il était le premier-né, mais parce qu’il avait profané le lit de son père, son droit de premier-né fut donné aux fils de Joseph, fils d’Israël, mais Joseph n’a pas la primogéniture dans le registre généalogique)».
2 Samuel 16:22 :
«Et on tendit une tente pour Absalom sur le toit ; et Absalom entra vers les concubines de son père, aux yeux de tout Israël».
De quelle évidence supplémentaire avons-nous besoin pour prouver au-delà de tout doute que la nudité du père de Cham était en réalité celle de sa mère, la femme de Noé? Maintenant, Noé, sa femme, ses trois fils et leurs femmes étaient tous des Blancs, et donc Canaan, le fils de Cham, était aussi un Blanc, mais il était né de l’inceste par sa mère. C’est pourquoi Canaan est pointé spécifiquement en Genèse 9:18--22, alors que les autres fils plus âgés de Cham, légitimes, ne sont pas mentionnés. Donc, bien que Canaan était Blanc, il était né avec un stigmate (une marque de disgrâce). Et bien que Cham commit la fornication avec sa mère, ce fut Canaan qui porta la malédiction (et pas les autres fils de Cham)! Tout cela n’est que le début de l’histoire de Canaan, car quand sa descendance se ramifiera, son histoire deviendra beaucoup plus compliquée, complexe et à multiples facettes, et peu de personnes la comprennent. En Gen. 9:25, on nous éclaire de cette façon : «Maudit soit Canaan! Il sera l’esclave des esclaves de ses frères». À propos, c’est une prophétie faite ici par Noé, qui sera plus tard accomplie en 1 Rois 9:20--21 et 2 Chron. 8:7--8. Ces deux passages décrivent comment Salomon met sous tribut d’esclavage les Amoréens, les Héthiens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. Quatre d’entre ces cinq tribus, tous sauf les Héviens, sont parmi les dix tribus cananéennes mentionnées en Gen. 15:19--21 :
«le Kénien, et le Kenizien, et le Kadmonien, et le Héthien, et le Phérézien, et les Rephaïm, et l’Amoréen, et le Cananéen, et le Guirgasien, et le Jébusien».
Je suis persuadé que «Hévien» vient d’une ancienne erreur de scribe, où «Horien» est le mot correct (voir Strong n° 2340/2752). Pour voir de nouveau le nom Hévien, nous devons aller en Gen. 10:15--19, qui déclare :
«Et Canaan engendra Sidon, son premier-né, et Heth, et le Jébusien, et l’Amoréen, et le Guirgasien, et le Hévien, et l’Arkien, et le Sinien, et l’Arvadien, et le Tsemarien, et le Hamathien. Et ensuite les familles des Cananéens se dispersèrent».
Voici la lignée maudite de Canaan, le fils de Cham, et de ses descendants. Donc, bien que les Héviens ne sont pas nommés en Gen. 15:19--21, ils font partie de l’équation. Quelquefois, les Écritures utilisent le nom d’une tribu dominante pour inclure plusieurs tribus de la même catégorie. Un exemple en est le nom d’Éphraïm, qui était la tribu dominante des dix tribus du nord. Nous devons donc déterminer si on nous parle d’Éphraïm au sens singulier ou si Éphraïm représente toutes les dix tribus du nord d’Israël. De même avec les nations cananéennes. En Gen. 15:16, on en parle dans un sens collectif, lorsqu’il est dit :
«Et en la quatrième génération ils reviendront ici, car l’iniquité des Amoréens n’est pas encore venue à son comble».
Les Amoréens sont mentionnés comme étant la tribu dominante nommée par Rahab en Josué 2:10, où elle dit aux espions israélites venus à Jéricho surveiller les fortifications :
«Car nous avons entendu comment Yahweh a mis à sec les eaux de la mer Rouge devant vous, lorsque vous sortiez d’Égypte, et ce que vous avez fait aux deux rois des Amoréens qui étaient au-delà du Jourdain, à Sihon et à Og, que vous avez entièrement détruits».
Les Amoréens absorbent les Moabites : La chose la plus importante que nous devons comprendre est le fait que les Amoréens avaient conquis et absorbé les Moabites. Les Moabites descendaient de l’inceste de Lot avec ses deux filles ; l’un des fils nés de cet acte fut nommé Moab et un autre, né de l’autre fille, fut nommé Ammon. À l’époque de l’incident de Baal-Péor, les Moabites n’étaient déjà plus un peuple racialement pur. Nous pouvons être sûrs de ceci, car Paul appelle la rencontre sexuelle d’Israël avec les femmes Moabites «fornication» (1 Cor. 10:8). Ce dont nous pouvons être certains, c’est que, peu avant que les Israélites arrivent en Transjordanie, Sihon, un roi des Amorites, avait défait le roi précédent de Moab (Nombres 21:26) et absorbé la plus grande partie du territoire de Moab, aussi loin au sud que l’Arnon (The Interpreter’s Dictionary of the Bible, vol. K-Q, p. 414). Pour la vérification de ce fait, Nombres 21:26 :
«Car Hesbon était la ville de Sihon, roi des Amoréens ; et il avait fait la guerre au précédent roi de Moab, et avait pris de sa main tout son pays jusqu’à l’Arnon».
Ceci faisait donc partie de «l’iniquité des Amoréens» dont il fut prédit qu’elle devait venir à son comble en Gen. 15:16. Une portion du territoire des Moabites, au sud de la rivière Arnon, resta libre, et cela causa des troubles pour Israël plus tard.
Ce que l’étudiant sérieux de la Bible doit comprendre est que, durant la période de Josué, les Israélites détruisirent les Amoréens qui avaient absorbé les Moabites, tuant et/ou déplaçant les deux peuples. Lors du déplacement des Amoréens (et des Moabites absorbés) hors de la Terre Promise, il est enregistré, en Josué 18:7, que la moitié de la tribu de Manassé, ainsi que les tribus de Gad et de Ruben, envahirent l’ancienne terre de Moab, à l’est du Jourdain. Ce fut plus tard, durant la période des Juges, qu’une dame israélite du pays conquis de Moab, du nom de Ruth, fit le voyage en compagnie de sa belle-mère Naomi jusqu’à Bethléem. Oui, Ruth était une Israélite, PAS une Moabite! Et lorsque Rahab parlait des Amoréens, en Josué 2:10, il incluait les Moabites. Les Moabites devinrent donc une partie des nations cananéennes. Cela est rendu évident en Esdras 9:1, quand il est déclaré :
«Et quand ces choses furent terminées, les chefs s’approchèrent de moi, en disant : Le peuple d’Israël, et les sacrificateurs et les lévites, ne se sont pas séparés des peuples des pays, quant à leurs abominations, savoir celles des Cananéens, des Héthiens, des Phéréziens, des Jébusiens, des Ammonites, des Moabites, des Égyptiens, et des Amoréens».
Comme on peut le voir clairement, les Moabites et les Égyptiens sont ajoutés dans la liste.
Ce qui est très intéressant dans tout ceci est que mon édition de la KJV [A→] [→A] King James Version of the Authorized Bible. de 1950, imprimée par The World Publishing Company, 2231 West 110th Street, Cleveland, Ohio, dans sa référence en Gen. 15:16, pointe vers Matt. 23:32, et en Matthieu 23:32 se trouve une référence croisée vers Gen. 15:16. Lisons donc Matt. 23:32 : «Comblez la mesure de vos pères!». Ce dont parle le Christ ici est l’origine de ceux que nous appelons «Juifs» aujourd’hui, qui sont de la variété mauvaise-figue. C’est assez fascinant, car cela montre que, qui qu’aient été les étudiants de la Bible qui ont fait ces références, ils comprenaient que les scribes et pharisiens à qui s’adressait le Christ Yahshua étaient en réalité des Cananéens (un peuple lié aux Amorites). Trois versets plus loin, le Christ les identifie comme étant les coupables du «sang d’Abel le juste», ce qui constitue une accusation sérieuse mais vraie. La connexion se fait à travers les «Kéniens» en Gen. 15:19, leurs ancêtres en partie.
Non seulement ma Bible cite ces références, mais je possède aussi une Zondervan Classic KJV © 1983 qui fait de même. Mais ne vous attendez pas à ce que toutes les Bibles possédant des références fassent la même chose. Combien de gens lisant et étudiant leur Bible comprennent-ils qu’il existe une connexion entre ces deux passages? Et très justement, Yahshua appelle les scribes et pharisiens des serpents!
Paul comprenait également l’ascendance amoréenne de ces juifs-mauvaises-figues qui étaient les instigateurs de la crucifixion de Yahshua Christ, en 1 Thess. 2:15--16, et les références de mes deux Bibles lient aussi ce passage à Gen. 15:16. Lisons donc 1 Thess. 2:15--16 :
«… qui ont mis à mort et le Prince Yahshua et les prophètes, et qui nous ont chassés par la persécution, et qui ne plaisent pas à Dieu, et qui sont opposés à tous les hommes, — nous empêchant de parler aux nations afin qu’elles soient sauvées, pour combler toujours la mesure de leurs péchés ; mais la colère est venue sur eux à l’extrême».
Et si l’on désire plus de références sur ce sujet, on peut obtenir le livre intitulé The New Treasury of Scripture Knowledge, édité par Jerome H. Smith, qui contient plusieurs milliers de références croisées, ou mieux, on peut trouver ce livre sous format électronique. Comme vous pouvez le voir ici, bien que les Romains aient procédé à la crucifixion du Christ, c’étaient les Cananéens-Amoréens, juifs-mauvaises-figues, qui étaient responsables et pas une des tribus de Juda ou d’Israël! En saisissant la connexion cananéenne dans tous ses aspects, on peut commencer à comprendre qu’ils peuvent être retracés jusqu’à Caïn. Non seulement les juifs-mauvaises-figues descendent de Caïn, mais également les arabes et les mexicains. Et ce serait une tâche difficile de déterminer tous ceux qui peuvent l’être aussi parmi les Italiens, Espagnols, Grecs ou autres «Européens» d’aujourd’hui (pas d’il y a 2.000 ans, mais d’aujourd’hui). Au moins, nous savons que les Caucasiens Blancs de pur sang, qui sont Israélites, ne le peuvent pas.
Dans mon essai Les Mexicains sont des descendants de Caïn (fils de Satan), J’ai établi, documentation biblique et historique à l’appui, que les arabes, mexicains et juifs-mauvaises-figues sont tous des descendants de Caïn. Avec cet article, je donne des preuves bibliques supplémentaires que les juifs-mauvaises-figues ne sont rien d’autre que des Cananéens, qui à leur tour descendent de Caïn. Ceci est important, car les descendants de Caïn sont la «semence du serpent» en Gen. 3:15! Paul comprenait qui est la semence du serpent lorsqu’il déclarait, en Romains 16:20 :
«Or le Dieu de paix brisera bientôt Satan sous vos pieds. Que la faveur de notre Souverain Yahshua Christ soit sur vous! Amen».
La prédiction de Paul dans ce passage fut accomplie avec le siège de Jérusalem et la destruction du Temple en 70 ap. JC par Titus, avec la dispersion de ces juifs cananéens qui ne moururent pas dans le siège et qui furent dispersés parmi toutes les nations, comme prophétisé par Yahshua Christ Lui-même en Luc 21:24 :
«Et ils tomberont sous le tranchant de l’épée, et seront menés captifs parmi toutes les nations ; et Jérusalem sera foulée aux pieds par les païens jusqu’à ce que les temps des païens soient accomplis».
Un extrait de The New Treasury of Scripture Knowledge en Luc 21:24, page 1172, déclare [évidemment écrit il y a plus de 100 ans] :
«Ceux qui périrent dans le siège étaient 1.100.000, en plus d’un grand nombre qui furent tués en d’autres temps et lieux ; et presque 100.000 supplémentaires furent pris et vendus comme esclaves ; et leur nation fut dispersée dans tous les pays depuis plus de 1.700 ans, tandis que leur ville a été foulée aux pieds sous les Romains, les Sarrazins, Mamelouks, Francs et Turcs, qui la possèdent jusqu’à aujourd’hui …».
Ils étaient des juifs cananéens, pas des Israélites ou des Judaïtes! Au Moyen-Orient aujourd’hui, il y a donc des arabes cananéens, des juifs cananéens, ainsi que des Égyptiens cananéens vers le sud le long du Nil! À travers les siècles, le Levant est devenu un vaste melting-pot de créatures impures! (voyez mon essai Arabes, Amis ou Ennemis?).
La capture de l’homme fort
Il semble y avoir accord parmi les nombreux commentateurs que Satan est «l’homme fort», et je suis d’accord, mais je vois les choses un peu différemment. Le meilleur passage sur ce sujet se trouve en Luc 11:21--23 :
«Quand l’homme fort, revêtu de ses armes, garde son palais, ses biens sont en paix ; mais s’il en survient un plus fort que lui qui le vainque, il lui ôte son armure à laquelle il se confiait, et fait le partage de ses dépouilles. Celui qui n’est pas avec moi est contre moi ; et celui qui n’assemble pas avec moi, disperse».
Si donc l’homme fort est Satan, alors Satan est le Cananéen juif-mauvaise-figue! Bien qu’il y avait encore, en Judée à l’époque de Yahshua Christ, quelques Judaïtes et Benjamites de pur sang, ainsi qu’une poignée provenant des autres tribus, l’élément Cananéen-Édomite avait, et de loin, pris le contrôle du gouvernement et du Temple, et ils profitaient d’une oreille attentive de la part des Romains concernant tous leurs caprices. D’un autre côté, Yahshua Christ est le «plus fort que lui», qui « le vainc» (Satan). Et du fait que les Romains étaient principalement des Israélites de la maison de Juda-Zérakh, le frère jumeau de la maison même du Christ (Juda-Pérets), les Romains devinrent, essentiellement, les pieds du Christ pour piétiner Satan, comme Paul l’avait prédit en Romains 16:20. Les Romains donnèrent même aux Chrétiens une courte période pour pouvoir quitter la Judée avant la destruction, laissant seulement les Cananéens-sataniques-juifs recevoir le piétinement du pied de fer de Rome. Rome représentait donc Christ en tant que «plus fort que lui» pour lier l’homme fort (Satan), ce que Josèphe décrit en si grands détails! Rome n’était pas déplacé dans ce rôle, car un proche est nécessaire pour venger un crime de sang (Nombres 35:16--19). Combien de gens savent-ils que les familles fondatrices de Rome, y compris le clan julien des Césars, descendaient des Troyens, qui à leur tour descendaient de Juda-Zérakh?
Jean, dans sa Révélation, parle de cet homme fort lié d’une façon quelque peu différente, dans un langage allégorique, en Rév. 20:1--3 :
«Et je vis un ange descendant du ciel, ayant la clef de l’abîme et une grande chaîne dans sa main. Et il saisit le dragon, le serpent ancien qui est le diable et Satan, et le lia pour mille ans ; et il le jeta dans l’abîme, et l’enferma ; et il mit un sceau sur lui, afin qu’il ne séduisît plus les nations, jusqu’à ce que les mille ans fussent accomplis ; après cela, il faut qu’il soit délié pour un peu de temps».
Une fois que nous comprenons que Jean 3:3 dit «né d’en haut» plutôt que «né de nouveau», nous pouvons commencer à comprendre que les Blancs Israélites sont d’une race céleste. Il n’est donc pas déplacé pour Jean de parler des Romains, descendants de Juda-Zérakh, comme d’anges, en hébreu élohim, qui peut signifier juges, anges ou le Tout-Puissant Lui-même. Les Romains, anges célestes, ont donc lié l’homme fort Satan, parfois appelé le serpent, le dragon ou le diable, et les Cananéens-juifs-mauvaises-figues sont des diables en sandales, et le puits sans fond (ou abîme) représente les ghettos où ils furent enfermés : juste ce que ces Cananéens méritent!
Certains vont argumenter et dire que cela ne peut s’appliquer qu’à la lignée séfarade des juifs, et que les Ashkénazes sont un peuple différent. Mais si l’on veut bien faire quelques recherches, on verra qu’anthropologiquement parlant, les juifs ashkénazes possèdent des caractéristiques hittites et sont donc Cananéens, exactement comme les femmes d’Ésaü! Par exemple, examinez bien Barbra Streisand, et ce faisant, vous regardez une Hittite, le nez et tout! Oui, les Ashkénazes sont Cananéens aussi!
Eh bien, Jean dit en Rév. 20:2 que Satan serait lié pour un millier d’années, et ce fut le cas, mais tout le monde regarde vers un futur indéterminé pour cet évènement, alors que Satan, collectivement, a déjà été lié et relâché des ghettos, et il est devenu le banquier international d’aujourd’hui. Et comme l’indique le verset 3, il a été délié et il séduit les nations, et le siège de leur gouvernement, ce sont les prétendues «Nations-Unies»! Aujourd’hui, l’entièreté des dix points du manifeste du Cananéen Karl Marx est en pleine application dans chaque pays du monde. On pourrait les appeler les dix commandements de Satan :
  1. Abolition de toute propriété privée
  2. Taxe sur les revenus, progressive et lourde
  3. Abolition de tout droit d’héritage
  4. Confiscation des terres
  5. Banque centrale
  6. Contrôle gouvernemental des communications et des transports
  7. Possession gouvernementale des entreprises et de l’agriculture
  8. Contrôle gouvernemental du travail
  9. Fermes corporatives, planification régionale
  10. Contrôle gouvernemental de l’éducation
Essayez de combattre un de ces points cananéens-sataniques et vous vous trouverez vite derrière des barreaux. Le Communisme fut juif-cananéen dès le début, mais aujourd’hui ils appellent cela «démocratie». On pourrait débattre sans fin sur l’époque précise où les juifs-cananéens-sataniques furent liés dans leur puits sans fond, mais nous avons une idée plus précise sur l’époque où ils furent déliés. C’était dans l’année 1776, quand les juifs-cananéens organisèrent leur pouvoir monétaire par une organisation connue sous le nom d’Illuminati. Et des Illuminati viendront le Conseil pour les Relations Étrangères et plus tard la Commission Trilatérale. À partir de ces organisations, les juifs-cananéens contrôlent toutes les activités monétaires, politiques et religieuses, promouvant l’agenda satanique de mixage racial au nom même du «Christianisme». Certains vont argumenter et prétendre que Satan doit être lié dans un prétendu «futur millénium», mais Rév. 20:4 indique que Satan fit son apparition dans la Révolution Française, avec la décapitation d’ «âmes» par l’usage de la guillotine. Peu de temps après que les Cananéens-sataniques prirent le pouvoir économique, les têtes tombèrent.