Qui est Ésaü-Édom?

QUI EST ÉSAÜ-ÉDOM?

La vie, Histoire, Généalogie, Prophétie, Prédestination et Identité Moderne de l'Ésaü Biblique

« Ainsi qu'il est écrit : J'ai aimé Jacob, et j'ai haï Ésaü. » Romains 9:13

« Ésaü était un homme intrigant et malhonnête. » Livre de Jasher 26:17

par Charles A. Weisman

INTRODUCTION

Le titre de ce livre pose une question qui peut se révéler être la plus importante question dans la compréhension de la Bible, de l'Histoire et des événements du monde. Qui est Ésaü-Édom? Ésaü fut le premier-né d'Isaac qui était le fils d'Abraham, avec lequel Dieu a fait une alliance spéciale. L'histoire biblique nous dit que Ésaü aurait une destinée unique et séparée de celle de son frère Jacob. Les destinées différentes et conflictuelles de ces deux individus affecteront le cours de l'Histoire jusqu'à ce jour. Ce livre présente la "nourriture solide" de la parole divine, et est écrit dans l'intention d'édifier et de nourrir les Chrétiens forts (Hébreux 5:12-14). Il est donc spécifiquement écrit à l'intention de ceux qui sont suffisamment avancés pour comprendre la perspective raciale de la Bible. En révélant les mystères des Écritures concernant Ésaü-Édom, ce livre parle d'Histoire, de prophétie, d'ethnologie, de providence, de symbolique et d'eschatologie.1 Ce livre retrace la vie et la destinée d'Ésaü et de ses descendants, les Édomites, et leur relation à Jacob-Israël, à Dieu, aux événements historiques et politiques, aux autres races, et de leur place dans la prophétie et le Jugement. Un des buts principaux de ce matériel est de révéler les plans et les voies de Dieu regardant le rôle d'Ésaü et de ses descendants dans le monde. Il s'ensuit que ce livre peut fournir les réponses définitives à certaines des questions les plus difficiles ici-bas.

1. L'HÉRITAGE DE ÉSAÜ-ÉDOM

Afin d'aider à résoudre la question de savoir qui est Ésaü-Édom, la première étape nécessaire est d'examiner l'histoire raciale et généalogique d'Ésaü et de ses descendants.

Vie et Histoire d'Ésaü

Ésaü fut le premier-né d'Isaac et donc l'héritier du droit d'aînesse dérivé de la lignée raciale directe d'Adam à Noé et à Abraham. Ésaü était donc racialement un Adamique, un Sémite et un Hébreu - le stock racial de la race Blanche.

1 L'eschatologie donne une représentation d'idées concernant la condition ultime du monde et de l'homme comme présentée dans les Écritures. Plus largement, cela inclut aussi des idées regardant des événements conduisant vers la fin.

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Tout comme "Ésaü méprisa son droit d'aînesse" (Gen. 25:34) lorsqu'il le vendit à Jacob, il méprisa aussi sa race en se mariant avec des femmes étrangères à sa race. Ésaü se maria à des filles de Canaan ou Cananéennes (Gen. 28:6, 36:2), des filles de Heth ou Hittites (Gen. 26:34, 27:46, 36:2), des filles d'Ishmaël (Gen. 28:9, 36:3), des filles des Hivites (Gen. 36:2) et avec des Horites (Gen. 36:19-21, Jasher 30:28). Ces mariages inter-raciaux furent "une amertume d'esprit pour Isaac et pour Rebecca", les parents d'Ésaü (Gen. 26:35). Les descendants d'Ésaü par ces mariages devinrent connus sous le nom de "Édomites" ou "Édom" (Gen. 36:1,9). Les Édomites possédaient aussi un peu de sang israélite par inter-mariage comme dans le cas de Salomon (1 Rois 11:1). Ésaü et les Édomites habitèrent dans la montagne de Séhir (Gen. 36:8-9), que Dieu donna à Ésaü comme possession (Deut. 2:5, Josué 24:4). Ce pays était aussi connu sous le nom de "pays d'Édom" (Ésaïe 34:6). Le pays d'Édom, le mont Séhir, se trouvait au sud de la Mer Morte, s'étendant au sud vers le port de mer à Élath (Deut. 1:2, 2:1,8), et incluait le ravin connu sous le nom de Pétra. Après la conquête de Juda par les Babyloniens, certains des Édomites qui s'étaient mixés avec les "Juifs" dans leur pays, retournèrent avec eux en Judée (Jér. 40:11-12). Deux siècles plus tard, tout Édom fut chassé du mont Séhir. « Les Édomites furent chassés de Pétra vers l'ouest par les Nabathéens en 312 av. JC et avant le milieu du deuxième siècle av. JC, ils occupèrent, non seulement le sud de la Judée, mais aussi Hébron et les contrées au nord jusqu'à Bethzur (1 Mac. 4:29, 5:65).2 » Les Nabathéens occupèrent alors le mont Séhir et les Édomites furent chassés vers l'ancien territoire de Juda. La famille macchabéenne (un restant de vrais Judahites) avait dirigé la Judée de 166 à 37 av. JC, et sous Judas Macchabée (1 Mac. 5:3), repris la ville de Hébron aux Édomites en 164 av. JC. Durant le règne de Jean Hyrcanus (135-105 av. JC), le neveu de Judas, les Judahites furent une fois

2 John D. Davis, A Dictionary of the Bible, 1934, p.332.

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de plus menacés par l'hostilité des Édomites. Hyrcanus confronta les Édomites, causant un changement décisif dans les relations entre les deux factions : « Jean Hyrcanus conquit l'entièreté d'Édom et commença la conversion forcée de ses habitants au Judaïsme (Joseph, Ant. XIII, 9, 1). Dès lors les Édomites devinrent une section du peuple Juif.3 » Donc, à cette époque les Édomites « furent alors incorporés dans la nation juive et leur contrée fut appelée par les Grecs et les Romains 'Idumea' » (Marque III 8; Ptolémée, « Géographie », v. 16)4. Mais les choses tournèrent en faveur de la faction édomite lorsque Jules César nomma Antipater, un Édomite, procurateur de Judée en 47 av. JC. Lorsque Antipater fut assassiné quatre ans plus tard, son fils Hérode prit le pouvoir mais fut rejeté par les Judahites. Hérode gagna astucieusement le support de Rome. Avec une armée romaine sur ses talons il retourna en Palestine et après un siège de six mois il captura Jérusalem et devint roi de Judée en 37 av. JC. Hérode était un tyran astucieux et sans scrupules et était détesté par les Judahites car il était un Édomite et non l'un des leurs. Hérode haïssait le peuples de Juda et l'une de ses premières actions fur d'exécuter quarante-cinq des chefs de la vieille aristocratie afin d'éliminer toute rivalité pour son pouvoir. Ayant ainsi assuré sa prétention royale, Hérode détruisit ensuite la lignée sacerdotale des Hyrcanus, le dernier étant Antigonus, qui raillait Hérode pour ses origines édomites et assurait que la lignée royale devait revenir « à une des familles royales5 ». Finalement il assassina Aristobulus, le dernier des grand-prêtres de la lignée de Aaron. Hérode essaya dès lors de s'infiltrer dans la grande-prêtrise en mariant Mariamne, la soeur de Aristobulus et la fille d'un grand-prêtre. Hérode reconstruisit même le Temple qui était en ruines à la suite de nombreux sièges, dont il était lui-même en partie responsable par ses propres attaques sur la ville. Le Temple de Dieu devint en quelque sorte le temple d'Hérode. Nous voyons donc que dans les années précédant la venue du Christ, la Judée était contrôlée par une faction édomite qui usurpait le nom de Juda, sa terre et son héritage. Sous Hyrcanus, les Édomites furent forcés de faire partie de la culture judéenne; mais sous Hérode, la faction hérodienne avait la main haute sur la culture et la façon de vivre judéennes. La confusion en la matière est renforcée par le fait que certains Judahites s'étaient mixés racialement avec des Édomites, des Cananéens et d'autres peuples étrangers lorsqu'ils rentrèrent de la captivité en Babylone (Esdras 9:1-2; Néhémie 13:3, 23-25). Ces peuples de sangs mêlés étaient eux aussi hostiles aux Israélites judéens. Le pays n'était pas le Royaume de Juda, mais la nation des Juifs (Judéens). Historiquement les Édomites devinrent connus sous le nom de « juifs », un terme dérivé de « Judée », qui vient du nom « Juda », la lignée royale d'Israël, alors qu'ils ne furent jamais de Juda ou d'Israël.

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Encyclopaedia Judaica, Vol. 6, (1971.) p.378. The New Standard Jewish Encyclopedia (L977) p.589, répète la même histoire. The Jewish Encyclopedia, Vol.V, (L904), p.47. Josephus, Antiquities of the Jews, Book XIV, Chap. 15, Para. 2.

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Durant le siège par Titus de Jérusalem (66-70 Ap. JC), « 20.000 Édomites apparurent devant Jérusalem pour combattre pour le compte des Zélotes qui étaient assiégés dans le Temple 6 ». A peu près 97.000 habitants de Judée étaient gardés prisonniers et un nombre inconnu avaient fui avant ou durant le siège. C'est la dernière mention des Édomites en tant que peuple dans l'Histoire. Cependant la prophétie biblique indique qu'Édom serait un ennemi d'Israël dans des temps futurs. Nous constatons que leur seule connexion à un peuple et une religion contemporains sont avec les Juifs et le Judaïsme. Nous devons donc retracer l'origine des Juifs pour savoir qui ils sont et comment ils entrent dans le puzzle de qui est Ésaü-Édom.

Les origines des Juifs

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The Jewish Encyclopedia, Vol. V, 1904, p.41.

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Les Juifs aujourd'hui sont de deux types principaux – le Juif Séfarade et le Juif Ashkenaze. Les Séfarades sont aussi connus sous le nom de « Juifs d'Espagne » et constituent à peu près 5% des Juifs du monde. Les Ashkenazes sont les « Juifs d'Europe de l'est » qui sont trouvés en Pologne, Russie, Allemagne et Asie occidentale. Ce groupe de Juifs représente environ 90% des soi-disant « Juifs » dans le monde.

De nombreuses références et sources historiques ont identifié de façon unéquivoque la masse des Juifs ashkenazes comme étant dérivés d'un peuple appelés Khazars (ou Chazars dans certains textes). L'encyclopédie Juive de 1905 révèle que le stock principal des Juifs d'aujourd'hui est dérivé de ce peuple asiatique connu sous le nom de Khazars ou Chazars :

« CHAZARS : Un peuple d'origine turque dont la vie et l'histoire sont entremêlés avec l'histoire des Juifs de Russie. . . . Des évidences historiques pointent vers la région de l'Oural comme étant la terre d'origine des Chazars7. »

Les Khazars étaient un peuple nomade qui n'avaient aucune trace de culture hébraïque. Ils suivaient une religion païenne et fortement orientée sexuellement jusqu'à ce qu'ils embrassent officiellement le Judaïsme en l'an 740 ap. JC, rejetant le Christianisme et l'Islam. L'auteur juif et historien, Arthur Koestler, conclut aussi que la majorité des Juifs de l'est de l'Europe – et donc de la juiverie mondiale – est d'origine Khazare et pas sémitique. Au début de son livre, il écrit : « . . . la grande majorité des Juifs survivant dans le monde est d'origine est-européenne – et donc sans doute surtout Khazare. S'il en est ainsi, cela veut dire que leurs ancêtres ne venaient pas du Jourdain mais de la Volga, non pas de Canaan, mais du Caucase; . . . et donc que génétiquement ils sont plus reliés aux peuples Hun, Ouïgour et Magyar qu'à la semence d'Abraham, Isaac et Jacob8 ». Koestler dévoue le reste de ce livre de 255 pages à prouver cette prémisse. Par exemple, une lettre d'un roi Khazar montre que celui-ci retrace les origines de son peuple « au fils de Noé Japheth, pas Sem, et au petit-fils de Japheth, Togarma, l'ancêtre des tribus turques9 ». Le gouvernement khazar fut anéanti par les Slaves de Russie en 1016 ap. JC. Aux environs de 1200 ap. JC, le territoire fut envahi par les hordes de Genghis Khan. Ces deux événements causèrent la migration d'un grand nombre de Khazars vers la Pologne et la Russie occidentale, formant le berceau de la juiverie occidentale. « Il existe une abondance d'anciens noms d'endroits en Ukraine et en Pologne qui dérivent

7 8 9 The Jewish Encyclopedia, Vol. IV, 1905, p. 1. Arthur Koestler, The Thirteenth Tribe, Random House, 1967, p.17 Koestler, op. cit., p. 72.

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des mots 'Khazars' ou 'Zhid' (Juif)10 ».

Lorsque les Khazars quittèrent leur terre ancestrale de Khazarie et migrèrent au nord et à l'ouest, ils perdirent leur nom et devinrent connus comme Juifs. Leurs langage et alphabet Yiddish ne sont pas ceux des Israélites (style Phénicien-Grec), mais un amalgame de dialectes : Araméen, Allemand médiéval, Slovaque et Russe. Les meilleures preuves historiques, dès lors, montrent que les Juifs ne descendent pas directement des Israélites de la Bible mais des Khazars et autres peuples de sang turcoasiatique. Les Khazars sont aussi de descendance édomite et les deux lignées forment les Juifs modernes, comme le déclare l'historien H.G. Wells : « . . . les Iduméens (Édomites) devinrent . . . Juifs, . . . et un peuple turc (Khazars) était composé principalement de Juifs dans le sud de la Russie. . . . La partie principale de la juiverie n'a jamais été en Judée et ne vint jamais de Judée 11 ». Selon la Jewish Encyclopedia, le stock original des Khazars venait du pays d'Édom : « Hasdai ibn Shaprut, qui était ministre des affaires étrangères de Abd-al-Rahman, Sultan de Cordoue, dans sa lettre au Roi Joseph des Chazars (environ 960),. . . parle de la tradition selon laquelle les Chazars habitèrent autrefois près des monts Séhir12. »

Les « monts Séhir » ne sont rien d'autre que le pays originel de Ésaü-Édom - « Et Ésaü habita dans la montagne de Séhir : Ésaü, c'est Édom » (Gen. 36:8). Séhir était une chaîne de montagnes au sud de la Mer Morte et était aussi connue comme « pays d'Édom » (Gen. 36:21). Les monts Séhir furent l'habitation des Édomites pendant environ un millénaire13. Il n'est donc pas surprenant que les migrants de ce pays se soient rappelés le nom de leur terre natale. Si les Khazars, originellement, « habitaient près des monts Séhir», alors les Khazars, et donc la juiverie mondiale, sont racialement d'origine édomite. Mais comment et quand les Édomites se rendirent-ils en Khazarie? Il existe des preuves qu'au 6ème siècle av. JC, certains Édomites quittèrent leur contrée de Séhir et migrèrent vers le nord : « Après la chute de Jérusalem, en 586 av. JC, les Édomites commencèrent à se diriger vers le nord (Ézéch. 36:5)14 ».

10 Ibid., p. 145. 11 H.G. Wells, The Ouline of History, 3ème éd., MacMillan-1921, p.494. 12 The Jewish Encylopedia, Vol. IV, 1905, p. 3. 13 « Les Édomites arrivèrent en Édom ou Séhir à la fin du 14ème et début 13ème siècle av. JC. » Ency. Judaica, Vol. 6, p. 372. 14 The New Westminster Distionary of the Bible, Ed. par Henry S. Gehman, The Westminster Press – Philadelphie, 1970, p. 418.

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L'extension et la destination finale de ce voyage vers le nord n'est pas documentée historiquement mais il est probable qu'il amena un certain nombre d'Édomites dans la région de la Khazarie. Les Édomites furent aussi rejetés de Palestine et dispersés dans différentes directions en 70 ap. JC, quand les Romains saccagèrent Jérusalem. Nous savons que plusieurs milliers de ces gens ont migré vers le nord, vers l'Asie mineure et dans la région autour de la Mer Noire15. Lorsque nous nous occupons de gens d'héritage racial mélangé, il devient vite très délicat de déterminer leurs origines. Les Juifs d'aujourd'hui sont un tel peuple. En fait, les Juifs euxmêmes affirment qu'ils sont de sang mêlé, à cause de : « . . . les ancêtres originels mixés des Juifs et leur histoire subséquente, faite de mixage racial avec tous les peuples parmi lesquels ils vécurent et continuent à vivre. . .16 »

Le Prof. Carleton Coon, anthropologue, a aussi démontré le mixage racial des différents types de Juifs avec d'autres races. Il explique que, bien que les Juifs ne peuvent être classés en tant que 'race' per se, ils représentent un groupe ethnique. « . . . Les Juifs forment un groupe ethnique; comme tous les groupes ethniques, ils ont leurs propres éléments raciaux distribués dans leurs propres proportions; comme à peu près tout groupe ethnique, ils possèdent un 'look', une partie de leur héritage culturel qui à la fois préserve et exprime leur solidarité culturelle. . . ils ont développé un sous-type racial spécial et un motif spécial d'expression faciale et corporelle.17 »

Lorsque nous parlons de la mixité raciale qui détermine les Juifs de notre époque, nous devons mettre en lumière les événements qui ont eu lieu lors de la captivité de Juda en Babylone. Le restant de la nation de Juda, incluant certains de la tribu de Benjamin, Lévi et Siméon, fut fait captif par Nebuchadnezzar, roi de Babylone. Mais au même moment, Édom aussi fut mis sous le joug babylonien, faisant que certains Édomites furent amenés à Babylone (Jér. 27:2-7). Quand la Perse renversa Babylone, le roi Cyrus émit un décret (538 av. JC) permettant aux Judahites de retourner dans leur pays et de reconstruire leur Temple (Esdras 1:1-5). Cependant, 50.000 seulement retournèrent en Palestine (Esdras 2:64-65). Certains d'entre eux s'étaient apparemment séparés de leurs compatriotes en Europe. Mais beaucoup de Judahites et Benjaminites préférèrent rester en Babylone, devenant ainsi une partie intégrante de la population indigène. Ceux qui restèrent se marièrent avec les Babyloniens et les Édomites qui étaient dans le pays et adoptèrent leur religion et leur loi – le Talmud babylonien – qui devint la fondation du Judaïsme. Ceux-là devinrent donc des Juifs de Babylone - « . . .et beaucoup de gens

15 Ewald, History of Israël, (J.-E. Carpenter, Trans. 1874) vol 5, p. 239. 16 Ashley Montagu, Man's Most Dangerous Myth, 1974, p. 375. 17 Carleton S. Coon, The Races of Europe, The MacMillan Co., N.Y.-1939, p. 442.

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parmi les peuples du pays se firent Juifs » (Esther 8:17). Quoiqu'ils soient appelés « Juifs », un terme dérivé du mot « Juda », ces gens ne sont pas de vrais Judahites mais devinrent un peuple mixé ou hybride, consistant en Édomites, Cananéens, Judahites, Babyloniens, Ishmaélites, Huns, Khazars, etc. Quand ils migrèrent vers d'autres contrées à travers les siècles, ils gardèrent leurs identité « juive » ou judahite mais emmenèrent avec eux la religion de Babylone.

Du fait de l'ancestralité mixée des Juifs, l'Histoire est vague sur leurs origines de Japheth, Ésaü ou autres peuples dans la Bible. Cependant, l'identification de ces personnes ou tribus peut aussi être certifiée par les caractéristiques, prophéties, etc..., révélées à leur propos dans les Écritures. Puisque Ésaü-Édom est l'une des figures les plus prédominantes dans la Bible, nous allons pouvoir asseoir son identification et sa place dans les événements historiques et contemporains par ces moyens.

2. LE MONDE ENTIER EST UNE SCÈNE

Évènements Mondiaux & Problèmes

Il existe beaucoup de confusion quant à la nature des évènements mondiaux. Voici des changements politiques, des conflits internationaux soudains, des guerres, des discours de paix, des tourmentes et désastres financiers, de la corruption gouvernementale et de l'oppression, des problèmes dans les églises et les écoles, un changement des valeurs morales et enfin l'annonce

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d'un nouvel ordre mondial. Beaucoup de ce qui s'est passé et se passe dans le monde est mal interprété et mal compris par les ministres et les politiciens, hommes d'État et écrivains, professeurs et historiens, et tout ça pour la même raison. Ce livre a pour but de jeter un peu de lumière sur le pourquoi de tant d'ignorance à propos de choses se passant ou s'étant passé dans le monde. Afin de nous aider à comprendre certains événements historiques et contemporains du monde, tournons-nous vers ce que nous disait le grand dramaturge William Shakespeare, à savoir que « Le monde entier est une scène et les hommes et les femmes le composant sont juste des acteurs ». Cette phrase est basée sur une évidente observation, que certains peuples et nations apparaissent jouer un rôle prédéterminé dans l'Histoire, comme si cela avait été planifié dans un scénario. Tout se passe comme si l'on avait assigné à certaines personnes ou races ou nations un rôle et qu'elles étaient destinées à suivre ce rôle dans leur pérégrination terrestre.

Le Scénario

La phrase de Shakespeare possède aussi une signification divine et une base scripturale certaine, car ce qui s'est passé dans l'Histoire s'est joué en accord avec le Verbe de Dieu et Son plan pour le monde. Ce n'est pas par accident que certaines choses arrivent de la façon dont elles arrivent ou que certaines personnes agissent de la façon dont elles agissent. Le plan divin et la providence divine révélés dans la Bible sont au travail dans le cosmos. Donc la Bible est en fait beaucoup plus le scénario d'une pièce. C'est l'écriture, un type de manuscrit, venant de Dieu, le récit sur certaines personnes ou événements. Notons au passage que le mot 'écriture' signifie « tout ce qui est écrit ». Webster nous dit qu'il vient du mot latin scribo – signifiant écrire. Le mot script vient du même mot latin et signifie la même chose. Le mot 'écriture' utilisé dans le Nouveau Testament est le mot grec graphe (Strong #1124) et est dérivé du mot grapho (#1125), qui signifie : « écrire, ou décrire en écrivant18 ». Dans les Écritures Dieu décrit donc les choses, par l'intermédiaire de ses messagers, en écrivant. La Bible est donc comme le scénario d'une pièce. Elle décrit et contient dans ses écrits les choses essentielles à toute production ou pièce devant être jouée sur une scène. La Bible étant comme un scénario contient les attributs suivants d'une pièce : – – Il y a une ou des histoires à raconter. Elle a un auteur, qui est Dieu.

18 Strong's Exhaustive Concordance of the Bible.

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Elle raconte ou décrit certains acteurs ou caractères et leur rôle dans l'histoire. Les personnages dans cette pièce (Bible) sont des individus, des nations ou des peuples. Certains ont un rôle court et secondaire, d'autres un rôle central, long et continu. Elle décrit certaines scènes ou événements qui ont eu lieu, ont lieu ou auront lieu sur le plateau. La scène entière est, comme le disait Shakespeare, le monde ou la Terre. C'est là que tout se passe, où tous les événements et épisodes sont joués. Elle possède un thème ou des thèmes autour desquels tournent les histoires et événements.

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La Bible est donc le scénario divin ou écriture de ce qui doit apparaître dans le monde et identifie les personnages impliqués. La confusion et l'incompréhension de tant de personnes sur ce qui se passe dans le monde aujourd'hui sont dûs à leur ignorance de l'identité des acteurs et de leur rôle dans le scénario divin. Par exemple, imaginez-vous regardant une pièce et que vous voyiez un acteur que vous le preniez pour un serviteur alors qu'en fait il représente un personnage noble. Et l'acteur qui est en réalité le héros joue le rôle d'un voleur ou d'un bandit. Un personnage apparaît sur la scène et vous ne savez pas quel rôle il interprète et vous êtes incapable de l'identifier comme l'un des personnages du scénario. Vous pouvez imaginer comment tous les événements qui se passent sur la scène juste devant vous n'ont aucun sens et tout vos essais pour interpréter ce qui se passe et de quoi la pièce parle ne peuvent que vous amener à des conclusions erronées. Même avec le synopsis de la pièce sous vos yeux, celle-ci ne peut pas avoir de sens si vous ne pouvez identifier les personnages correctement dans leurs rôles respectifs. Nous sommes dans la même situation en ce qui concerne beaucoup d'événements de l'Histoire du monde et de leur relation avec les Écritures. Dieu a choisi certains personnages ou peuples pour agir dans certains rôles et pour être partie prenante dans certains événements de l'Histoire. Sans savoir qui sont ces personnages, non seulement les événements survenant dans l'Histoire deviennent confus et incompréhensibles, mais cet état de fait rend incompréhensible également la majorité des Écritures elles-mêmes. Il est absolument critique que nous comprenions qui sont ces personnages et leur rôle dans le scénario. Afin d'aider à la résolution de ces problèmes, nous allons essayer d'identifier un des principaux personnages dans la pièce divine – à savoir Ésaü ou Ésaü-Édom. Nous pouvons identifier qui est Ésaü-Édom en lisant ce qui est écrit à son propos dans la pièce (Bible), ce qu'il est sensé faire sur scène (Terre), ce qui constitue son rôle (prédestination) et quelles caractéristiques et attributs lui sont assignés (prophétie) par l'auteur (Dieu). Nous devons alors comparer tous ces événements historiques et contemporains et voir si nous pouvons confirmer que toutes les personnes ou nations impliquées suivent le rôle d'Ésaü-Édom,

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ou bien possèdent un quelconque de ses attributs. Exactement comme quand nous voyons une créature possédant une queue plate écailleuse, qui coupe les arbres avec ses dents, a une fourrure brune épaisse, construit des barrages, a des habitudes aquatiques et est de sang chaud, nous pouvons l'identifier avec un castor. Dieu a assigné ce rôle et ces caractéristiques au castor et ceux-ci sont des marques permanentes de son identification. De la même manière les Écritures divines révèlent certains rôles et caractéristiques entourant Ésaü-Édom nous permettant d'identifier ce peuple. À partir de ce chapitre, nous possédons une bonne idée de qui peut occuper le rôle de ÉsaüÉdom, à savoir le peuple juif. Le matériel qui suit nous aidera à le vérifier. Si nous savons que l'un des personnages de Dieu, tel que Ésaü-Édom, doit agir de telle ou telle façon ou posséder une certaine caractéristique, alors quand nous voyons quelqu'un agir de cette façon ou exprimant cette caractéristique, nous avons identifié le personnage sur la scène ou dans le monde. Aucun étudiant en Histoire ou en affaires modernes ne peut apprécier la signification des événements courants sans la connaissance de qui est Ésaü-Édom et sa connexion avec la juiverie.

3. LES CARACTÉRISTIQUES DE ÉSAÜ-ÉDOM

Tout comme n'importe quel scénario, la Bible révèle certains traits, attributs et caractéristiques des différents acteurs ou personnages dont elle parle. Nous pouvons donc trouver dans la Bible certains attributs ou caractéristiques de Ésaü-Édom qui vont nous aider à identifier qui fut ce personnage dans l'Histoire et peut-être dans le monde d'aujourd'hui. Il existe beaucoup de preuves démontrant que la semence de Ésaü-Édom peut être identifiée avec la juiverie moderne.

Le Nom Symbolique de Ésaü-Édom

Le premier attribut révélateur associé avec Ésaü-Édom dans les Écritures est l'association de couleur avec son nom. Ésaü-Édom est symboliquement associé avec la couleur rouge. Ésaü est en fait né avec cet attribut, comme il est décrit dans le récit de sa naissance : « Et le premier sortit, roux, tout entier comme un manteau de poil; et ils appelèrent son nom Ésaü19 ».

19 Genèse 25:25

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Ici nous voyons que Ésaü avait l'attribut physique d'être rouge et poilu, en contraste avec l'apparence de Jacob, qui « était un homme simple » (Gen. 25:27). La couleur rouge de Ésaü était destinée à être un signe qu'il vendrait plus tard son droit d'aînesse à Jacob pour un plat de lentilles. « Et Ésaü dit à Jacob : Laisse-moi, je te prie, avaler du roux, de ce roux-là; car je suis las. C'est pourquoi on appela son nom Édom.20»

Le mot 'Édom' veut dire 'rouge'21, tout comme le nom Ésaü signifie rouge. Ce personnage représente donc la couleur rouge. Quand nous regardons la signification et le symbolisme associés avec la couleur rouge, dans les Écritures comme dans l'Histoire séculaire, nous avons une meilleure compréhension de la nature et de l'identité de Ésaü-Édom et à qui il peut être identifié. Voici quelques illustrations : • • • Le rouge représente le sang et le carnage (II Rois 3:22; Ésaïe 1:15). L'écarlate ou rouge est le symbole du péché en général (Ésaïe 1:18). Le cheval rouge du livre de la révélation signifie la guerre et la capacité de causer la guerre (Rév. 6:4). Ésaü devait être quelqu'un aimant la guerre et vivant par l'épée (Gen. 27:40). Le système satanique, anti-chrétien qui régnait à Rome a été identifié avec un dragon rouge (Rév. 12:3). Les Juifs sont le peuple le plus anti-chrétien sur la surface de la Terre. La grande bête de Mystère Babylone qui doit répandre ses abominations et la mort sur toute la Terre est de couleur écarlate ou rouge. La femme sur la bête, la contrôlant est habillée en écarlate (Rév. 17:3-4). Les Juifs sont les principaux promoteurs de la religion babylonienne appelée Judaïsme. L'industrie bancaire qui fait partie du contrôle économique de la rouge Babylone sur la Chrétienté est dirigée par la famille de banquier Rothschild, qui signifie « blason rouge » (ou écu, bouclier, écran). Le drapeau rouge symbolise le socialisme révolutionnaire. « Le mouvement socialiste, depuis sa conception jusqu'à ce jour, fut largement dominé par l'influence juive22 » . Dans la Kabbale juive le rouge signifie « carnage » et également « justice pour les Juifs23 ». L'auteur et historien juif Arthur Koestler montre que les Khazars juifs (desquels sont

• •

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20 Genèse 25:30 21 Strong's Exhaustive Concordance, O.T. #123. 22 Joseph Jacobs, Jewish Contribution to Civilization, Philadelphie, The Jewish Publication Society of America, 1919, p. 306. 23 The Jewish Encyclopedia, Vol. IV, p. 178 , 1905.

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dérivés les Juifs) étaient communément connus sous le nom de « Juifs Rouges24 ». • La couleur du communisme juif est le rouge, comme indiqué par les expressions « nation rouge », « étoile rouge », « place rouge », etc. La révolution russe qui amena le 'communisme rouge' était financé et planifié par des Juifs et « les chefs révolutionnaires appartenaient presque tous à la race juive25 ». Le rouge, dans l'occident, est devenu un signe universel pour signaler le danger ou attirer l'attention. Le communisme rouge d'Édom s'est révélé être un danger pour l'ouest chrétien.

•

La couleur rouge est de façon prédominante associée avec les Juifs et leurs activités, tout comme elle est associée à Ésaü-Édom. Notez aussi qu'il n'y a pas d'attribut positif ou de valeur de rachat associé à la couleur rouge en connexion avec Ésaü ou en association avec les Juifs. Le rouge est toujours représentatif de quelque chose de mauvais ou de négatif, tels le carnage, le péché, le système babylonien, la guerre, le communisme, etc. Ésaü-Édom et ses descendants sont possesseurs de ces caractéristiques.

Ésaü Haï par Dieu

L'attribut le plus unique et inhabituel possédé par Ésaü-Édom est peut-être sa relation d'adversité par rapport à Dieu. Les Écritures nous révèlent que Dieu n'a jamais eu d'amour pour Ésaü, contrairement à Jacob, et qu'en fait Dieu hait Ésaü : « Je vous (Israël) ai aimés, dit l'Éternel : et vous dites : En quoi nous as-tu aimés ? Ésaü n'était-il pas frère de Jacob ? dit l'Éternel; et j'ai aimé Jacob; et j'ai haï Ésaü, et j'ai fait de ses montagnes une désolation, et j'ai livré son héritage aux chacals du désert.26 »

La haine et la colère de Dieu vis-à-vis de Ésaü-Édom n'est pas un événement unique, comme le montre le fait qu'Édom était « le peuple contre lequel l'Éternel est indigné à toujours » (Malachie 1:4). Il ne s'agit pas d'une mauvaise traduction, le même concept est transcrit dans le Nouveau Testament : « ainsi qu'il est écrit : J'ai aimé Jacob, et j'ai haï Ésaü » (Romains 9:13).

Cette haine de Dieu envers Ésaü est un attribut que le coeur humain ne peut accepter ou embrasser et il s'ensuit que beaucoup essaient de l'expliquer d'une façon ou d'une autre. De

24 Arthur Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 135, 1976. 25 National Geographic Magazine, Vol. XVIII, n°5, p. 314 (mai 1907). 26 Malachie 1:2-3.

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Qui est Ésaü-Édom?

nombreux théologiens ont donc évité cette vérité des Écritures ou bien ont essayé de la badigeonner en quelque chose de plus acceptable par la nature humaine. Non seulement Dieu hait Ésaü-Édom et est contre ce peuple, mais Il se réfère à eux comme « peuple que j'ai voué à la destruction » (Ésaïe 34:5). Cette destruction n'est pas destinée à Ésaü seul mais à tous ses descendants. « Mais moi, j'ai dépouillé Ésaü, j'ai découvert ses lieux secrets; il ne peut se cacher. Sa semence est dévastée, et ses frères et ses voisins, et il n'est plus.27 »

Parmi les frères d'Ésaü étaient les Amalékites, la descendance d'un des petits-fils d'Ésaü (Gen. 36:4, 12). C'est à propos de ces frères des édomites que Dieu a juré « la guerre contre Amalek de génération en génération » (Exode 17:16). La haine de Dieu envers Ésaü n'est pas une chose temporaire mais est perpétuelle. La doctrine selon laquelle Dieu aime tout le monde ne tient pas à la lumière de ce que la Bible nous dit concernant Sa position de pitié envers la race de gens appelés Édom28. Quoique les églises ont essayé d'altérer la vraie nature de Dieu, nous voyons tout au long de la Bible que la position de Dieu vis-à-vis d'Édom ne change pas : « Ainsi dit le Seigneur, l'Éternel : Si je ne parle dans le feu de ma jalousie, contre le reste des nations, et contre Édom tout entier, . . .29 »

« N'est-ce pas en ce jour-là, dit l'Éternel, que je détruirai du milieu d'Édom les sages, et de la montagne d'Ésaü, l'intelligence?30 »

« Ainsi dit le Seigneur, l'Éternel : voici, j'en veux à toi, montagne de Séhir; et j'étendrai ma main sur toi. . .31 »

Il n'y a pas un seul passage favorable ou positif en relation avec Ésaü-Édom dans toutes les Écritures. Mais comment cette relation adverse que Dieu a envers Ésaü-Édom peut-elle nous aider à identifier le personnage de la pièce qui se joue aujourd'hui dans le monde? Afin de nous aider à répondre à cette question, nous devons nous mettre dans le rôle assigné à Ésaü dans le

27 Jér. 49:10 28 Le Dieu de la Bible dit : « J'aurai pitié de ceux dont j'aurai pitié, et j'aurai compassion de ceux pour qui j'aurai compassion » (Rom. 9:15). Ce que pense l'homme n'entre pas en ligne de compte. 29 Ézéchiel 36:5 30 Abdias 1:8 31 Ézéchiel 35:3

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scénario divin. Si Dieu vous haïssait, ainsi que vos descendants, comment réagiriez-vous et que feriez-vous? Par une réaction naturelle, vous seriez contre Dieu et Son peuple et essaieriez d'éviter qu'ils puissent savoir que vous êtes Ésaü, celui que Dieu hait, sachant que si Dieu est contre quelqu'un, Ses fidèles seront contre ce quelqu'un également. Qui est donc celui qui essaye de cacher qu'il est Édom, le peuple haï de Dieu, en clamant qu'il est Israël, l'aimé de Dieu? Seul un groupe de gens réagit comme si Dieu les détestait – à savoir les Juifs. Pourquoi croyez-vous que les Juifs forment des organisations, telles que l'Anti-Defamation League, afin de surveiller et combattre la « haine » et pour identifier des « groupes de haine »? Est-ce que Ésaü ne voudrait pas faire cela? Pourquoi est-ce de façon presque exclusive les Juifs qui promeuvent les « lois anti-haine » et autres législations contre les « crimes de haine »? Si vous étiez Ésaü, ne voudriez-vous pas faire la même chose? Un Édomite voudrait aussi infiltrer les églises et les séminaires afin de faire croire au peuple de Dieu qu'il n'y a pas de Dieu de haine, mais seulement un Dieu d'amour et de pitié. Les Juifs ont justement fait tout cela dans la Chrétienté. Les Édomites d'aujourd'hui sont les principaux concernés par la haine, et avec de bonnes raisons. Ils essayent désespérément de supprimer toute haine, même tout acte ou mot qui pourrait être interprété comme causant de « l'angoisse mentale ». En réponse à leur rôle d'être le « peuple contre lequel le Seigneur a de l'indignation pour toujours », les Juifs ont fait du concept de haine un tabou. Le Juif Elie Wiesel déclara à la télévision publique que « Même la haine de la haine est dangereuse32 ». Ceci est un exemple de combien les Juifs Édomites sont paranoïaques en ce qui concerne la haine de Dieu envers eux, et jusqu'où ils iront pour éliminer de l'esprit du peuple de Dieu tout aspect de l'idée de haine. Oui, Dieu hait et a de l'indignation pour les Juifs édomites, et si quelqu'un ose prendre le parti de Dieu en cette matière, il rencontrera une grande opposition et une persécution de la part de ceux qui croient que les Juifs édomites sont le peuple élu de Dieu.

Pas de Civilisation Édomite

Comme Ésaü et Jacob grandissaient, leurs différents talents respectifs commencèrent à apparaître dans leurs aptitudes et buts dissimilaires. Leur façon de vivre allaient être une conséquence de leurs caractéristiques innées. La Bible décrit Ésaü comme étant « un chasseur rusé, un homme des champs » (Gen. 25:27). Cela révèle le caractère nomade de Ésaü opposé à la nature plus domestiquée et sédentaire de Jacob,

32 Dans « The TV Special, Beyond Hate », présenté par Bill Moyers, 1990.

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qui allait « habiter dans des tentes » ou dans des maisons et des communautés (Gen. 25:27). Fenton dit que Jacob « resterait à la tente », indiquant par là qu'il ne vivrait pas une vie nomade et errante mais aurait un foyer ou un pays permanent. Mais la vie d'un chasseur est incertaine et dure, errant de-ci de-là, n'ayant jamais un lieu où se reposer. Tout comme le fameux et légendaire « Juif errant », les Édomites sont maudits, prédestinés à errer sans cesse sur la Terre. Le Juif a été un vagabond et un nomade pendant presque toute son existence. La plus grande nation juive fut le royaume Khazar. Arthur Koestler, parlant des Khazars, dit qu'ils étaient un « peuple nomade », et que, comparé aux autres empires nomades, « il occupait une position intermédiaire en taille et en degré de civilisation33 ». L'habitat d'Ésaü devait être « loin de la fertilité de la terre » (Gen. 27:39 – N.A.S.V., Moffat Trans. , et al). Comme le Juif, Ésaü n'eut jamais d'habitation dans une terre fertile et riche. La nation originelle des Édomites, le mont Séhir, était un pays calcaire et rocailleux et Dieu le fit plus tard encore plus désolé. « Et Édom sera une désolation; quiconque passera près de lui, sera étonné et sifflera à cause de toutes ses plaies34 ».

La désolation que Dieu envoya sur la race ou la nation d'Édom était une condition permanente concernant la prospérité et la civilisation de ce peuple. Après que Dieu eut rendu la nation édomite originelle désolée, ils n'eurent plus jamais aucune grande nation ni cité à eux : 2 « Fils d'homme, tourne ta face contre la montagne de Séhir, et prophétise contre elle » 3 « et dis-lui : Ainsi dit le Seigneur, l'Éternel : voici, j'en veux à toi, montagne de Séhir; et j'étendrai ma main sur toi, et je te réduirai en désolation et en désert. » 4 « Je réduirai tes villes en déserts, et tu seras une désolation; et tu sauras que je suis l'Éternel. » 9 « Je te réduirai en désolations

33 Arthur Koestler, The ThirteenthTribe, p. 17-19. 34 Jér. 49:17

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perpétuelles, et tes villes ne seront plus habitées; et vous saurez que je suis l'Éternel.35 »

La promesse est parfaitement claire que la situation de désolation de la nation édomite serait « perpétuelle ». Ses cités n'existeront plus jamais, ni sur les anciens sites ni sur de nouveaux. En fait, toute tentative faite par Édom pour reconstruire une nation ou des cités faillira : « Si Édom dit : Nous sommes détruit, mais nous rebâtirons ce qui est ruiné, - ainsi dit l'Éternel des armées : Ils bâtiront, mais moi je renverserai, et on les appellera contrée de méchanceté, et le peuple contre lequel l'Éternel est indigné à toujours.36 »

La position de Dieu envers Édom dans ce domaine ne changera pas et elle interdira pour toujours à Édom d'établir une nation civilisée. Les Juifs sont peut-être la seule race qui n'a jamais eu de pays ou de nation propre. Même les plus tribus les plus primitives possèdent un pays ou une nation. Les Juifs, cependant, sont un peuple parasite, qui vagabonde dans le monde civilisé, cherchant une nation hôte sur laquelle ils pourront subsister et prospérer aux dépend des autres, tout en ne contribuant en rien à cette nation. Citons le Juif Samuel Roth : « Notre plus vieux vice majeur, jusqu'à aujourd'hui, est le parasitisme. Nous sommes un peuple de vautours vivant du travail et de la nature généreuse du reste du monde. . . . « Quel triste spectacle que le Juif de ce continent, qu'il prétend avoir enrichi! Non seulement il est incapable de contribuer au prestige (culture et art) de la scène. Il ne contribue même pas à la force de travail. Il ne creuse pas de puits, ne cultive pas le sol, ne construit pas de bâtiments, ne pose pas de briques, ne creuse pas de tranchées, ne tourne pas de roues, ne cuit pas de pâtes, ne coupe pas d'arbres, ne fabrique pas de boîtes de conserves, ne nettoie pas les rues, ne remonte pas du charbon, ne met pas le feu aux fourneaux, ne tisse pas des vêtements, ne creuse pas de tunnels, ne bâtit pas des remparts, n'établit pas de digues, ne rivette pas de pont, ne combat pas les incendies, . . . En tant que force de travail en Amérique, le Juif contribue seulement par les travailleurs qu'il prend dans ses propres ateliers à sueur et dans ses pièges à rats. Il semble que c'est le code non écrit du Juif qu'il ne doit jamais travailler. À moins que quelque chose se passe qui change sa vision, je m'aventure à ajouter qu'il ne travaillera jamais. . . . Je ne peux rien trouver qui en vaille la peine que les Juifs auraient créé sur les 250 ans pendant lesquels ils ont habité sur le continent américain.37 »

Cela demande du travail et de la peine de construire et de maintenir une civilisation. C'est la destinée des Juifs, en tant que porteurs du sang et des caractéristiques de Ésaü-Édom, de manquer des attributs essentiels nécessaires pour créer et bâtir une civilisation par eux-mêmes.

35 Ézéchiel 35:2, 3, 4, 9 36 Malachie 1:4 37 Samuel Roth, Jews Must Live, The Golden Hind Press, New York, 1934, pp. 56, 101, 108.

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Les Juifs sont tellement dénués de ces qualités d'industrie et de labeur que même dans une civilisation établie ils vont rarement les exercer. Leur inclination les porte vers des occupations de nature plus parasitaire, telles que avocats et banquiers. « Le génie du Juif est de vivre des gens; non du terroir, non de la production de marchandises à partir de matériaux bruts, mais de gens. Laissons les autres labourer la terre; Le Juif, s'il le peut, vivra sur le dos du laboureur. Laissons les autres travailler dans les usines et les industries, le Juif profitera du fruit de leur labeur. C'est son génie particulier.38 »

À cause de cette caractéristique inhérente du Juif, il n'existe rien ressemblant à une civilisation juive. Tout endroit où les Juifs vivent en grande concentration se dégrade et devient peu à peu désolé comme un ghetto. En fait, le mot 'ghetto' est synonyme des Juifs : « ghetto : section d'une ville dans laquelle vivaient les Juifs. Dans le haut Moyen-Âge leur ségrégation dans des rues ou localités séparées était volontaire. . . . La raison généralement donnée pour l'existence des ghettos était que la foi des Chrétiens serait affaiblie par la présence des Juifs.39 »

Quelle que furent les conditions de vie dans les ghettos, lorsque les Juifs les habitaient ces conditions ne s'amélioraient jamais mais au contraire empiraient. C'est le résultat de la « loi » juive et de l'« esprit » juif. En tant que descendants des prédateurs édomites, les Juifs ne semblent pas capables de se vanter de quoi que ce soit de valable en terme de culture. Quoique les Juifs apparaissent dans l'histoire des autres nations à travers les siècles, ils n'ont jamais été capables ou volontaires pour établir une nation à eux. Ils restent pour toujours désolés à cet égard. La seule façon dont ils ont pu prendre possession de la Palestine a été de se servir d'autres peuples pour voler cette terre aux Turcs et aux Arabes. Le soi-disant état « israélien » n'est rien d'autre qu'un état parasite, puisqu'il est occupé par des parasites. Les Juifs obtiennent des milliards de dollars de l'Allemagne en « réparations » et « paiements de restitution » pour les soi-disant « crimes de guerre » contre les Juifs. Ils obtiennent en plus des milliards de dollars des États-Unis chaque année. Cet « état » doit voler ou acheter de la technologie des nations occidentales étant donné que les Juifs ne possèdent pas la créativité nécessaire pour fabriquer la leur. L'état d' « Israël » s'écroulerait en une minute sans le support continu, la protection et l'assistance de Jacob-Israël (les nations blanches de la Chrétienté). Il n'est pas, n'a jamais été et ne sera jamais une nation auto-suffisante. La malédiction de désolation lancée sur Ésaü est apparente dans toute civilisation dans laquelle

38 The International Jew: The World's Foremost Problem, Dearborn Publishing Co.-1921, Vol.II, p. 31. 39 The Columbia Encyclopedia, 2nd Ed. 1950, p. 772.

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les Édomites juifs existent. Les signes de leurs caractéristiques particulières de désolation est déjà apparente : « L'idée juive possède une force d'infiltration terrible et un pouvoir de dégénérescence sérieux. Il s'agit d'une influence de désintégration puissante. Elle dévore la substance même de la civilisation qu'elle attaque, détruit sa virilité morale, jette bas sa dignité, sape son respect pour l'autorité, jette une ombre sur chaque principe de base. C'est de cette façon que l'idée juive fonctionne dans la civilisation américaine. . . . Ils ont bâti leur pouvoir international sur l'exact opposé de la Loi Mosaïque.40 »

Le fait est que les Juifs étaient connus comme des destructeurs dans l'antiquité, pas comme des créateurs. Ils n'ont développé aucune science, n'ont produit aucun art, n'ont bâti aucune grande cité et, seuls, n'ont aucun talent pour les choses les plus élevées de la vie civilisée. Les Juifs clament qu'ils sont les porte-flambeaux de la civilisation, mais à cause de leurs habitudes parasitaires ils ont détérioré ou détruit toute nation dans laquelle ils ont vécu en grand nombre.

Mauvaises Figues et Fruit

Quand la Maison de Juda fut réduite en miettes, ceux que Dieu regarde comme les « bonnes figues » à Jérusalem furent préservés dans la captivité babylonienne (Jér. 24:5-6). Mais les « mauvaises figues », qui étaient « très méchantes » et avaient adopté les voies cananéennes, Dieu dit qu'il les disperserait « çà et là par tous les royaumes de la terre, pour leur malheur, pour être en opprobre et en proverbe, un objet de raillerie et de malédiction, dans tous les lieux où je les chasserai » (Jér. 24:9). Rien ne décrit mieux les caractéristiques des Juifs et les effets qu'ils avaient sur les autres peuples dans les derniers deux mille ans. Ils font continuellement des choses mauvaises ne produisant aucun bon fruit. Certaines des mauvaises figues restèrent dans la ville de Jérusalem après la captivité par Nebuchadnezzar (II Rois 25:22). Ces habitants de Jérusalem d'après la captivité furent rejoints par des Hittites, des Égyptiens, des Édomites, etc. Lorsque le peuple du bon figuier de Juda, Benjamin et Lévi retourna au pays, beaucoup tombèrent sous l'influence du mauvais figuier. Le suc empoisonné d'Édom, infusé dans la nation reconstruite de Juda, la rendit stérile pour toujours, de telle façon qu'elle ne puisse plus produire de fruit ou de figues. Ces gens sont donc représentés dans le drame du figuier stérile que Jésus maudit en disant : « Que jamais aucun fruit ne naisse plus de toi! » (Mathieu 21:19). Ce figuier, comme les Juifs qu'il représente, devrait donc rester stérile pour toujours. Jésus se réfère à ces mauvaises figues et à leurs caractéristiques distinctes à plusieurs occasions. Il dit aussi :

40 The International Jew, Dearborn Pub. 1922, Vol. IV, p. 227.

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« Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on du raisin sur des épines, ou des figues sur des chardons? Ainsi tout bon arbre produit de bons fruits, mais l'arbre mauvais produit de mauvais fruits. » (Mathieu 7:16-17)

La semence d'Ésaü et des Judahites maudits masquaradant sous le masque de Juif (Juda) ont révélé qui ils sont par leurs mauvais fruits et leur stérilité, faisant ainsi la volonté de Dieu. Ils ont perdu toute bénédiction du droit d'aînesse par la condamnation que Dieu a placée sur eux. Caractéristiques perpétuelles – Il doit être bien compris que, quels que soient les caractéristiques, rôles ou attributs que la Bible révèle à propos d'Ésaü, Jacob ou tout autre personnage, ils sont transmis à leurs descendants (exactement comme pour le castor). Donc les rôles, prophéties, attributs et aptitudes d'Ésaü et de Jacob sont personnifiés dans leurs descendants aujourd'hui. Tout comme les caractéristiques et rôles de l'ancienne cité de Babylone furent transmis aux royaumes successifs – Perse, Grèce et Rome, les individus transmettent leurs caractéristiques à leurs successeurs. Un descendant ou successeur d'Ésaü possèdera donc les rôles et attributs de ses ancêtres. Nous pouvons identifier Ésaü aujourd'hui et dans l'Histoire comme étant les Juifs car ce sont eux qui sont maudits et rejetés par Dieu, et ils sont ceux qui détestent toute chose divine, tout comme Ésaü. La haine et le désir de vengeance qu'Ésaü ressent vis-à-vis de Jacob peut être trouvé dans les attitudes des Juifs envers le peuple blanc chrétien. La symbolique rouge de Ésaü-Édom a suivi ses descendants jusqu'aux Juifs Rouges révolutionnaires. La malédiction d'une nation désolée que Dieu a mise sur Édom est clairement évidente dans le peuple Juif. Ils sont « à jamais » privés de bon fruit comme le figuier stérile que Jésus maudit. Lorsque Dieu assigna des caractéristiques spécifiques et leurs rôles à Ésaü, Jacob et d'autres personnages, Il établit un modèle que leurs descendants suivront. Puisque chaque personne ou race retient ces caractères, ils tendent à répéter leur histoire. En observant le drame se passant sur la scène, nous voyons que les Juifs répètent la vie, les événements et les rôles de Ésaü-Édom. Quand un symbole, attribut ou caractère est établi dans les Écritures, il ne change pas. Comme tout symbole, il ne pourrait vraiment être compris si sa signification venait à changer. Les caractères d'Ésaü sont donc permanents et perpétuels, lui étant assignés par Dieu, exactement comme l'auteur d'une pièce de théâtre assignerait à un acteur un rôle et des attributs que celuici devrait suivre et jouer sur la scène.

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4. LES ANCIENS HAUTS LIEUX

La scène mondiale d'aujourd'hui semble surtout être centrée dans la région du Moyen-Orient ou de la zone palestinienne. Cette contrée est significative d'un point de vue historique et biblique puisque c'est le « pays de la Bible » et était le site où vivait Israël à cette époque. Mais quelle est sa signification aujourd'hui? Il y a beaucoup de références aux anciens « hauts lieux » dans l'Ancien Testament. Les « hauts lieux » étaient des sites de première importance dans le pays, tels les centres de prière, endroits de sacrifices, d'offrandes et les sanctuaires (1 Sam. 9:12-14; 1 Chron. 16:39; 1 Rois 3:2-4; Ésaïe 16:12; Lév. 26:30, 31; Amos 7:9). Jérusalem était un « haut lieu » (Michée 1:5) tout comme Gabaon (1 Chron. 21:29). Ces lieux hauts en Palestine étaient donc le centre d'attention et les endroits les plus importants du pays. Tandis que ces lieux étaient le centre d'attention pendant les temps bibliques, les évènements entourant l'occupation juive de la Palestine a apparemment conduit beaucoup de gens à croire qu'ils sont toujours importants aujourd'hui comme dans les temps anciens. Comment l'occupation juive de la Palestine peut-elle nous aider à l'identification de ÉsaüÉdom? Tenons-nous en à la maxime biblique selon laquelle ce qui est populaire parmi les hommes n'est pas représentatif des voies divines (Ésaïe 55:8). La doctrine commune ou populaire parmi les hommes est que les Juifs sont les Israélites, et qu'en tant que tels ils doivent retourner en Palestine afin de remplir les prophéties bibliques. Ce concept erroné, plus connu aujourd'hui sous le nom de « Sionisme », s'est développé en mouvement politique au grand bénéfice des Juifs. Quoique le terme de « Sionisme » est dérivé du mot « Sion », nous devons distinguer entre ce que nous dit la Bible sur Sion et le concept populaire appelé « Sionisme politique ».

La Bible et Sion

Sion, ou mont Sion, était la plus haute des collines sur laquelle Jérusalem fut bâtie et représente donc la grandeur et la majesté de Jérusalem. Sion fut originellement un lieu-fort jébusite que David captura et qui fut alors appelé « ville de David » (2 Sam. 5:7; 1 Chron. 11:5). Ce fut sur ce mont Sion que David apporta l'Arche d'Alliance (2 Sam. 6:12-18). Sion était le siège du règne de David, c'était là que sa maison ou palace fut érigée et où le Tabernacle fut placé en premier. Sion devint donc un lieu sacré et regardé par Dieu comme « la montagne de ma sainteté » (Psa. 2:6) et appelé « ma montagne sainte de Sion » (Joël 3:17). Les portes de Sion étaient aimées de Dieu plus que tout autres en Israël (Psa. 87:2) et ce sont les endroits où Dieu habite (Psa. 9:11;

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68:16; 132:13; Joël 3:17,21). Sion était donc le plus haut et le plus sacré des « anciens hauts lieux ». Sion prophétique – Beaucoup de prophéties parlent de Sion. Le terme Sion est fréquemment utilisé en tant que titre pour représenter Jérusalem en tant que tout en sa qualité de lieu saint (Ésaïe 8:18; 10:24; 30:19; Psa. 48:2, 11-12). Dans Ésaïe 52:1, Sion est utilisé dans un sens prophétique et est comparée à la « nouvelle Jérusalem » de la Révélation 21:2,27, comme une « magnifique » cité dans laquelle l'impur et ce qui offense Dieu ne sont pas permis. C'est dans le pays de cette Sion prophétique ou nouvelle Jérusalem que Dieu a promis de rassembler Son peuple Israël. « et je vous prendrai, un d'une ville, et deux d'une famille, et je vous ferai venir à Sion41 »

Location de Sion – La Sion ou Jérusalem de la prophétie devait aller elle aussi en captivité (Ésaïe 52:2), elle devait être dans les douleurs et le trouble et donc devait être « délivrée » ou « rachetée des mains de ses ennemis » (Michée 4:9-10). Cette Sion n'est pas une cité des cieux ou spirituelle. Elle sera un endroit physique sur cette Terre. Une indication nous est donnée sur où se passera ce rassemblement du peuple d'Israël dans une promesse faite à David, où Dieu dit : « Et j'ai établi un lieu à mon peuple, à Israël, et je le planterai, et il habitera chez lui et ne sera plus agité.42 »

Notons que ce rassemblement d'Israël est quelque chose que Dieu fera, pas qu'il a fait. Afin de situer où ce rassemblement se fera, demandons-nous : « où était David lorsque ces mots lui furent dits? » . Il se trouvait sur la montagne de Sion, dans l'ancienne Jérusalem! Donc, Dieu ne se référait pas à cette zone géographique comme étant le pays où il planterait Israël. Dieu dit qu'il va planter Israël dans un autre endroit, et pas qu'il va les ramener dans ces hauts lieux de Palestine, puisqu'une fois qu'ils seraient plantés en ce nouveau lieu, ils ne bougeraient plus. La preuve qu'il s'agit d'une nouvelle Sion est apportée par cette phrase « fille de Sion » (Ésaïe 1:8; Ésaïe 62:11; Jér. 4:31; Lam. Jér. 1:6; Michée 4:8,10; Soph. 3:14; Zach. 2:10, 9:9). Cette fille doit être le successeur de l'ancienne Sion et n'est donc pas la vieille cité de Jérusalem. Se basant sur l'identification biblique du peuple blanc européen comme étant le vrai et unique peuple d'Israël de Dieu, la nation américaine a souvent été reconnue comme la Sion de la prophétie ou nouvelle Jérusalem. Les preuves bibliques sont de façon écrasante en faveur de l'Amérique et non de la Palestine comme devant être la Sion où Israël doit être placé et rassemblé. Voici quelques-unes de ces preuves :

41 Jér. 3:14 42 2 Samuel 7:10 et 1 Chron. 17:9, voir aussi Ésaïe 49:20.

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Le pays où Israël doit être rassemblé est décrit comme « un désert » ou un pays non civilisé, mais lors de leur arrivée « il fleurira abondamment », Dieu lui donne des « vignes » ou de l'abondance (Ésaïe 35:1-2; Osée 2:14-15). La Palestine ne fut jamais un désert et il n'a jamais fleuri abondamment. Dieu allait faire «du désert de Sion un Éden » (Ésaïe 51:3). C'est exactement ce qui arriva en Amérique qui a obtenu de grandes bénédictions matérielles et les plus hauts standards de vie. Sion devait être un pays de la mer à la mer (Zach. 9:10; Psa. 72:8). L'Amérique est bordée par deux grandes mers ou océans, la Palestine non. Dans le pays où Dieu « va assembler les rejetés d'Israël, et rassembler les dispersés de Juda des quatre coins de la Terre », Jésus-Christ doit être « comme une bannière» pour le peuple choisi (Ésaïe 11:1-12). Dans le faux état d'Israël, même la mention de JésusChrist est interdite. L'Amérique est la seule nation à avoir jamais été établie en tant que nation chrétienne. La restauration d'Israël devait prendre place dans un pays « éloigné » ou « très lointain », où ils « regarderont Sion » (Ésaïe 33:13-20; Jér. 30:10). Puisque ce fut dit en Palestine ça ne peut inclure la Palestine. Sion devait produire abondamment en ressources et produits divers, comme indiqué : « blé », « moût », « huile », « menu et gros bétail », « troupeaux », « maïs » et un pays pareil à un « jardin arrosé » (Jér. 31:12; Joël 2:15-19). C'est une très bonne description de l'Amérique, tandis que la Palestine est plutôt stérile en de telles ressources. La Nouvelle Jérusalem devait être « habitée comme une ville ouverte [sans murs] pour la multitude des hommes et du bétail au milieu d'elle» (Zach. 2:4). La Palestine est pleine de villes entourées de murs. La Nouvelle Jérusalem devait être un très grand pays, indiqué par le besoin d'un ange pour le mesurer, avec sa longueur et sa largeur de 12.000 stades (Zach. 2:1-2; Rév. 21:1516). Ça pourrait difficilement se référer à la petite Palestine.

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Il y a encore beaucoup d'autres attributs de la Sion prophétique ou Nouvelle Jérusalem dans les Écritures indiquant qu'il ne peut s'agir de l'ancienne Palestine. Par contre tous ces signes définissent parfaitement l'Amérique. Toutes les prophéties sur Sion ou Jérusalem ne s'appliquent donc pas au pays de Palestine. Pas plus qu'elles ne se réfèrent à un lieu situé dans les cieux. Au contraire elles s'appliquent à un lieu terrestre et physique. Seule l'Amérique correspond à la Sion de la prophétie biblique. Dieu a dispersé Son peuple de l'ancien pays à cause de leur apostasie, pour ne plus jamais y revenir. Alors, pourquoi donc tant de bruit et d'excitation sur le fait d'avoir des Juifs en Palestine? Quelle est la signification de ces Juifs qui occupent les anciens lieux de la Bible? Pour répondre à ces questions, nous devons d'abord comprendre ce qu'est le « sionisme », qui se cache derrière et pourquoi.

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Le Sionisme Politique

Le sionisme trouve ses racines dans le Mouvement Messianique Juif qui cherche à établir un état juif indépendant à travers lequel leur Messie, le peuple juif lui-même, pourrait régner sur le monde. L'endroit qu'ils décidèrent d'occuper fut la vieille Palestine. « Le terme moderne de Sionisme apparaît en premier à la fin du 19ème siècle, dénotant le mouvement dont le but était le retour du peuple juif en Eretz Israël (Palestine). Le terme fut inventé par Nathan Birnbaum (un Juif) dans son journal Selbstemanzipation (1er avril 1890).43 »

Le terme 'Sionisme' utilisé par Birnbaum avait pour but d'exprimer une orientation politique vers la Palestine, étant donné qu'il parle d'un « parti Sioniste national-politique ». Ce concept était différent de l'approche philanthropique en vigueur. Avant cette époque, on pensait plus pratique que les Juifs, étant un peuple homogène et dispersé, devraient avoir une nation à eux, et des appels humanitaires étaient lancés dans ce sens. Ce fut à cette époque que certains théologiens commencèrent à penser que cette idée allait dans le sens d'une réalisation de la prophétie biblique. La transition du Sionisme pratique et philanthropique en sa forme politique, économique et militaire se développa clairement avec les efforts du dirigeant Juif Sioniste Theodor Herzl. Herzl argumentait que les Juifs de l'Europe occidentale, même ayant reçu des droits égaux, avaient été incapables de s'assimiler et se comportaient toujours comme « une nation dans la nation ». Herzl prédit que : « Les Juifs seraient poussés dans les bras de la révolution socialiste et que la stabilité de l'ordre mondial actuel serait gravement mis en danger. Il revenait donc aux états d'Europe d'assister à l'établissement d'un état juif et d'assurer sa légitimation internationale.44 » En réponse aux efforts Juifs sionistes, le gouvernement britannique fit « une offre en 1903 pour une implantation juive auto-déterminée en Ouganda, Afrique de l'Est 45 ». Les Sionistes voient rétrospectivement cette offre comme ayant « presque détruit complètement le mouvement sioniste46 ». Dans une autre tentative d'apaisement des Sionistes, « Le secrétaire colonial britannique accepta de donner aux Juifs la péninsule du mont Sinaï, tenue par les Britanniques (le projet El-Arish), mais cela aussi ne donna rien 47 ». Un autre plan visant à faire de Madagascar une nation juive ne généra lui non plus aucun intérêt de la part des Juifs.

43 Encyclopaedia Judaica, Vol. 16, 1971, p. 1032. 44 Encyclopedia of Jewish History, Massada Pub. Israël 1986, p. 120. 45 The International Jewish Encyclopedia, édit. Rabbi Ben Isaacson, Prentice-Hall, N.J., 1973, p. 142. 46 Ibid. 47 Encyclopedia of Jewish History, p. 120, note 5.

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Clairement, tous les Juifs n'étaient pas en faveur des plans sionistes, voyant en Herzl quelqu'un de « quelque peu dérangé ». Des rabbins importants avaient peur que les idées de Herzl provoqueraient « une nouvelle flambée d'anti-sémitisme »; ils dénoncèrent le concept d'« l'État juif » dans des pamphlets et des conférences48. De même, quand Napoléon, quelques années plus tard, invita les Juifs à s'implanter à Jérusalem sous son égide, les Juifs n'y trouvèrent aucun intérêt49. Pourquoi donc alors les dirigeants du mouvement sioniste étaient-ils si insistants pour avoir un état juif en Palestine et nulle part ailleurs? Si la moitié de l'Europe avait été offerte à ces Sionistes, ils auraient quand même préféré avoir le petit pays stérile de Palestine. Pourquoi? Partiellement parce que les Juifs sont incapables d'exister par eux-mêmes, mais surtout parce qu'en Palestine ils pourraient obtenir le support des Chrétiens en tant que « peuple élu » retournant à « Sion ». Il y aurait clairement un grand avantage politique aussi bien que financier en possédant « les anciens hauts lieux » de l'authentique peuple d'Israël. Les dirigeants d'Édom avaient un plan. En tant que peuple d'Israël contrefait ils pourraient utiliser leur « couverture» pour remplir les but s d'Édom – pas ceux d'Israël. « Le Sionisme est la plus connue de toutes les activités juives présentes et a exercé une plus grande influence sur les événements mondiaux que l'homme moyen ne le réalise. À cause du mélange des sentiments religieux, il serait plutôt difficile pour une certaine classe de gens d'investiguer le Sionisme politique moderne; ils ont été trop bien propagandisés dans la croyance que le Sionisme politique et le « retour » promis par les prophètes sont la même chose.50 »

Maintenant, au tournant du siècle, les temps étaient venus pour un changement. Une scène grandiose et significative allait se dérouler dans la pièce qui serait dans la ligne du scénario divin et les Juifs sionistes seraient les personnages de ce scénario jouant le rôle d'Ésaü, non de Jacob.

48 Encyclopedia of Jewish History, p. 120, note 5. 49 The JewishEncyclopedia, Funk & Wagnalls, Vol. 12, 1905, p. 668. 50 The International Jew, Dearborn Pub. 1921, Vol. III, p. 114.

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La Première Guerre Mondiale et la Déclaration Balfour

La zone de la Palestine a été sous le contrôle et la loi turque ou de son Empire Ottoman, qui a existé depuis 1299 ap. JC. En 1882, Edmond Rothschild (un Juif) commença a financer une société juive essayant de favoriser l'immigration d'un « nombre considérable de colons juifs » en Palestine, « obligeant les autorités turques à publier immédiatement des ordres pour interdire toute entrée supplémentaire51 ». Le 17 mai 1901, Herzl rencontra le Sultan turc au sujet des plans et des termes sionistes pour un Foyer National Juif en Palestine et un accord fut trouvé. Herzl se rendit immédiatement à Londres, « où il parla avec grande confiance du succès de sa mission chez le Sultan et demanda au peuple juif 1.500.000 £ dans le but d'obtenir la charte. Mais le peuple juif resta silencieux. 52 » Quoique la population juive en général n'avait aucun intérêt à aller habiter en Palestine, les Sionistes persistèrent. Ce désintérêt vient du fait que la plupart des Juifs sont ignorants de leur propre religion et de ce que le Talmud et les Protocoles disent sur le contrôle mondial, qui est l'essence du Sionisme. Le Sionisme politique est une partie de la religion juive comme le révèle le rabbin Stephen S. Wise dans ce qu'il dit : « Le Sionisme est le Judaïsme, et le Judaïsme est impensable sans le Sionisme.53 »

Pour établir leur buts politiques, les Sionistes avaient besoin d'un changement politique dans les territoires de Palestine, et il n'y a rien de mieux pour causer des changements politiques, assurément, que la guerre. Les Sionistes internationaux, les banquiers et les ploutocrates instiguèrent donc la guerre des Balkans (1912-13), qui amena une révolte contre la Turquie, l'affaiblissant et lui causant la perte de certains de ses territoires. La crise des Balkans fut comme un tonneau de poudre dans l'arène européenne et ses répercussions aidèrent à précipiter la Première Guerre Mondiale le 28 juillet 1914. Il était nécessaire d'amener la Turquie aux côtés de l'Allemagne et des puissances centrales, car les Sionistes savaient que « une victoire alliée résulterait sans doute de grands changements territoriaux dans l'Empire Ottoman, dont la Palestine faisait partie.54 » Dès l'entrée de la Turquie dans la guerre, le super-Sioniste et Juif Chaïm Weizmann commença une campagne politique en faveur du Sionisme. Pendant cette période (1915), Weizmann

51 Encyclopaedia Judaica, 1971, Vol. 16, p. 1039. 52 The JewishEncyclopedia, 1905, Vol. 12, p. 676. 53 Harper's Encyclopedia of United States History, Harper & Bros. Publishers, 1912, Vol. X, « Zionists ». 54 Encyclopedia of Zionism and Israel, cd. Raphael Patai, McGraw-Hill, N.Y. 1971, Vol. I, p. 103.

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rencontra le premier lord de l'Amirauté, Arthur Balfour, lui expliquant les racines historiques du Sionisme. « Balfour était d'accord pour aider à promouvoir l'idée de restaurer le foyer juif en Palestine si celui-ci était libéré des Turcs55 ». L'année suivante (1916), « plusieurs développements qui avancèrent beaucoup la cause du Sionisme prirent place ». Il y eut un étrange « Cabinet de crise » en décembre 1916, après lequel « Lloyd George devint premier ministre et Arthur Balfour ministre des affaires étrangères . Ces deux hommes et certains de leurs subordonnés immédiats étaient des supporters avoués des aspirations sionistes. 56 » Avec des individus pro-Sionistes contrôlant maintenant les affaires britanniques, il était essentiel que l'Angleterre gagne la guerre de telle façon que la Turquie puisse être conquise et l'Empire Ottoman renversé. Les Sionistes internationaux se mirent d'accord pour amener les U.S.A. dans la guerre afin de renflouer l'Angleterre. Grâce à l'insistance de son « conseiller privé », l'agent sioniste « Colonel » Edward Mandell House, Woodrow Wilson amena les ÉtatsUnis dans la guerre en 1917. Les forces britanniques prirent possession de la Palestine aux détriments des Turcs en 1917. Malgré que la guerre ne fut pas finie, les Sionistes pressurèrent les Anglais afin qu'ils émettent formellement une déclaration stipulant que la Grande-Bretagne favorisait « l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif ». Le 18 juillet 1917, Lord Lionel Walter Rothschild soumit un brouillon de déclaration à Balfour, exprimant à celui-ci les volontés sionistes . Plus tard, Balfour s'adressa au Cabinet Britannique de la Guerre sur ces questions, « et à cette rencontre la déclaration fur adoptée. Deux jours plus tard, le 2 novembre 1917, Lord Balfour écrivit une lettre à Lionel Rothschild, incluant une copie de la déclaration et lui demandant de la communiquer à la Fédération Sioniste. 57 » Cette lettre devint connue sous le nom de Déclaration Balfour. Pour s'assurer que la Palestine serait sous contrôle sioniste, les forces britanniques furent tenues d'entrer et d'occuper Jérusalem en décembre 1917. Le plus sacré des hauts lieux était maintenant assez sûr pour que les Juifs puissent immigrer et occuper cette ville. Avec la Déclaration Balfour, qui assurait un foyer national juif en Palestine sous protectorat britannique, beaucoup de Juifs donnèrent pour la première fois leur soutien à l'Organisation Sioniste Mondiale.

55 Joan Comar, Who's Who in Jewish History 1974, p. 73. 56 Encyclopedia of Zionism and Israel, Vol. I,, p. 104. 57 Encyclopedia of Zionism and Israel, Vol. I, p. 106.

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À la fin de la guerre, les Britanniques reçurent la Palestine en mandat sous le patronage de la Ligue des Nations avec l'entente tacite que le peuple juif serait encouragé à s'implanter là-bas, mais le mécontentement des Arabes, qui désiraient un gouvernement autonome et ne voulaient pas d'une immigration juive, mena à une tourmente constante58. Le plan sioniste avait été menacé par la sympathie et le support que les Arabes avaient en Europe. De plus, un esprit de nationalisme se répandait à travers le monde arabe. Une scène dramatique différente allait être jouée sur la scène. Un changement politique supplémentaire se faisait sentir. Les Juifs édomites sionistes traçaient leur plan mondial.

Le Plan de Partition de l'O.N.U.

La Palestine a été occupée et dirigée par les Arabes depuis que les forces musulmanes la conquirent en 637 ap. JC. L'acte consistant à établir un « foyer national » pour un groupe de gens dans une telle zone occupée « était une innovation sans précédent dans la loi internationale59 ». Les Sionistes avaient la charge de convaincre le monde que les Juifs avaient le « droit » d'occuper la Palestine. « Puisque ce pays avait déjà une population présente là-bas depuis des siècles (1300 ans), il ne pouvait pas simplement être donné au peuple juif 60 ». Le gouvernement britannique fit plusieurs tentatives infructueuses pour apaiser les sentiments d'hostilité des Arabes aux plans sionistes. Étant donné que la Déclaration Balfour sauvegardait les droits de la population arabe, « on ne pourrait arriver à aucune conclusion définitive ».

58 Wallace Ferguson, A Survey of European Civilization 1962, p. 861. 59 The International Jewish Encyclopedia, Vol. II, 1940, p. 46. 60 The International Jewish Encyclopedia, Vol. II, 1940, p. 46.

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Un changement politique supplémentaire était nécessaire, que seule une guerre pourrait amener. Avec Franklin D. Roosevelt et Winston Churchill partenaires volontaires des Sionistes, amener l'Amérique et la Grande-Bretagne dans la Seconde Guerre Mondiale ne demanda pas beaucoup d'efforts. Les retombées de la guerre permit aux Sionistes juifs d'établir leur organisation internationale appelée Nations-Unies le 24 octobre 1945. En 1947, les Britanniques abandonnèrent leur mandat en Palestine et laissèrent le problème palestinien dans les mains d'une organisation créée par les Sionistes et contrôlée par les Communistes, les Nations-Unies. L'Assemblée Générale approuva les plans destinés à placer Jérusalem sous contrôle international et pour partitionner la Palestine en deux états séparés, arabe et juif. Avec les lignes frontalières tracées en Palestine selon les plans de partition sionistes, un état juif en Palestine fut établi avec le soutien des Nations-Unies. Le 14 mai 1948, l'état juif proclama son indépendance sous la présidence de Chaïm Weizmann et du premier ministre David BenGourion. L'auteur juif Arthur Koestler déclare que le « droit d'Israël à exister » n'est pas basé sur les « origines du peuple juif » en tant qu'Israël, ni sur l'« Alliance d'Abraham avec Dieu ». Il est plutôt « basé sur les lois internationales – c'est-à-dire la décision de l'O.N.U. en 1947 de partitionner la Palestine.61 » Les juifs ne possèdent pas la terre selon les requis bibliques regardant « Sion ». L'état d'Israël fut fondé sur un programme systématique de violence, de tromperie, de meurtre et de guerre instigué par les Juifs, et ce seul fait devrait écarter l'idée qu'ils sont Israël venant à Sion. Nous devrions commencer à percevoir le modus operandi du Judaïsme et du Sionisme et qu'il n'est pas la façon de faire d'Israël, mais d'Édom. Le Programme Juif Mondial a utilisé les remous politiques et le pouvoir financier afin d'atteindre ses objectifs. Ceci fut exprimé par le dirigeant sioniste juif Theodor Herzl : « Quand nous sombrons, nous devenons un prolétariat révolutionnaire, les officiers subordonnés du parti révolutionnaire; lorsque nous montons, alors c'est le terrible pouvoir du porte-monnaie qui apparaît62 ».

61 Arthur Koestler, The ThirteenthTribe, p. 223. 62 Theodor Herzl, The Jewish State, London, Pordes, 1967, p. 23.

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Le Sionisme est une partie d'un programme de conquête politique du monde, l'O.N.U. étant son instrument suprême ou son super-gouvernement, comme il est mentionné dans les Protocoles. La possession des anciens territoires et des hauts lieux d'Israël n'est qu'une ruse, les Sionistes juifs pouvant tromper les naïfs Chrétiens afin qu'ils les supportent en tant que « peuple élu de Dieu » réalisant les prophéties. Pendant ce temps, les Juifs sont libres de terroriser, assassiner, commettre des sabotages, espionner et obtenir des milliards de dollars en aide gratuite. La Palestine juive est une monstruosité communiste et athée dont la seule ambition n'est pas de servir le monde mais de le dominer.

La Palestine Dans la Prophétie

Nous avons vu que la Bible parle du peuple d'Israël s'en allant vers la nouvelle Jérusalem ou Sion, qui est une terre nouvelle. En ce qui concerne l'histoire concernant leur ancien pays, son utilisation par le peuple de Dieu devait prendre fin : « Ainsi dit le Seigneur, l'Éternel, à la terre d'Israël : Une fin!...La fin vient sur les quatre coins du pays. »

« et je l'ai livrée en pillage aux mains des étrangers, et pour butin aux méchants de la terre, et ils la profaneront. »

« Et je ferai venir les iniques des nations, et ils possèderont leurs maisons; et je ferai cesser l'orgueil des forts, et leurs sanctuaires seront profanés.63 » Cette prophétie fut donnée à Ézéchiel environ en 586 av. JC. À partir de cette époque le pays était destiné à être la

63 Ézéchiel 7:2, 21, 24

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possession de l'étranger, pas d'Israël. Beaucoup de peuples non-Israélites ont occupé la Palestine, et maintenant les Juifs, « les iniques des nations », la possèdent, et par leurs actions terroristes et leur religion dégoûtante ils ont « pollué » le pays et ont « souillé » les anciens hauts lieux. Les Juifs ne peuvent donc pas être Israël. Pourquoi alors les Juifs étaient-ils ceux destinés à occuper les anciennes terres du peuple d'Israël, le peuple de Dieu? Parce que c'était écrit ainsi dans le scénario divin. Ils suivent le rôle d'Édom, qui devait obtenir la possession de ce territoire. « Ainsi dit le Seigneur, l'Éternel : Parce que l'ennemi a dit contre vous : Ha ha! les hauteurs éternelles sont devenues notre possession »

« Ainsi dit le Seigneur, l'Éternel : Si je ne parle dans le feu de ma jalousie, contre le reste des nations, et contre Édom tout entier, qui se sont attribué mon pays comme une possession, dans toute la joie de leur coeur, dans le mépris de leurs âmes, afin de le dépouiller par le pillage!64 »

Selon cette prophétie, viendrait un temps où l'ennemi d'Israël dirait, plein de mépris et en ridiculisant Israël, « nous avons les anciens hauts lieux en notre possession ». Le verset 5 précise bien que Dieu parle ici « contre tout Édom ». Il y aura donc une époque où Édom possèdera les anciennes terres d'Israël. Alors qu'Édom posséda des parties de la Judée à une certaine époque, il n'eut la possession entière de ce pays à aucun moment de l'histoire biblique, pas même lorsque Hérode était son dirigeant. Si la Palestine était destinée à être possédée par Édom, alors les Juifs doivent être Édom et à travers leurs plans sionistes ils réalisent la prophétie sur Édom et non sur Israël. Les Sionistes juifs ont caché leur identité édomite et leur vrai rôle en Palestine en proclamant qu'ils sont Israël retournant en Sion. Cependant les prophéties concernant Sion et la Nouvelle Jérusalem ont déjà été remplies en Amérique bien avant que le terme de « Sionisme » fut inventé par les Juifs en 1890. Les Juifs remplissent bien la prophétie en Palestine, mais c'est en jouant le rôle de Ésaü-Édom dans la pièce, pas celui de Jacob-Israël. En tant qu'Édom, les actions juives dans le mouvement sioniste entier, consciemment ou pas, furent de posséder le pays que Dieu donna aux païens. Les prêcheurs continuent de s'extasier au sujet des Juifs en Palestine malgré que Dieu ait déclaré qu'Il abandonnerait ce pays ainsi que Jérusalem « comme j'ai fait à Silo » (Jér. 7:14). Dieu « abandonna la demeure de Silo » (Psa. 78:60). Avec la captivité babylonienne de Jérusalem et la destruction du Temple de Salomon en 586 av. JC, Dieu a abandonné la vieille cité de Jérusalem

64 Ézéchiel 36:2, 5

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et ne reconstruira jamais Son Temple là-bas. « Je rendrai cette maison comme Silo, et je livrerai cette ville pour être une malédiction à toutes les nations de la terre.65 »

Jérémie fut presque mis à mort pour avoir donné cette révélation de Dieu contre Jérusalem. Le Christ dit aussi que Jérusalem devrait être laissé à l'abandon (Mathieu 23:37-39). Dieu a donc abandonné les anciens hauts lieux dans l'ancienne Palestine. Quand Israël habitait le pays, celui-ci était décrit comme « un pays ruisselant de lait et de miel » (Exode 3:8,17; Lév. 20:24). L'Histoire ancienne identifie ce pays comme étant riche et fertile et comme faisant partie du « croissant fertile ». Regardez-le aujourd'hui. C'est un terrain-vague, stérile et ressemblant à un désert. Aucun mode de vie significatif ne peut être maintenu dans cette contrée, contrairement aux anciens temps. C'est seulement par infusion d'argent, d'aide et de technologie venus de l'Ouest Chrétien que les Juifs peuvent survivre. Que faut-il de plus comme preuve qu'il ne s'agit pas de la grande et majestueuse Sion de la prophétie et que Dieu a abandonné ce lieu et a choisi un autre pour son peuple? Les actions juives, consistant à « reconstruire le Temple de Salomon » ou amener des immigrants de toutes les parties de la Terre, n'ont aucun lien avec Israël ou son rôle et la prophétie des Écritures.

5. CONFLIT MONDIAL ET ADVERSITÉ

Un thème commun de beaucoup de films, pièces, nouvelles, histoires, etc. est celui du conflit, habituellement entre deux des personnages principaux d'un scénario. Dans la pièce Jules César il y a un conflit entre César et ses conspirateurs – Brutus et Cassius. Dans l'histoire de Cendrillon, nous avons un conflit entre le personnage principal et sa méchante belle-mère. Sans ce conflit et l'opposition, l'histoire entière devient sans intérêt, car le conflit donne du sens et de la vie aux événements et aux actions des personnages. On s'attend à une certaine forme de conflit ou de lutte, comme il en existe dans la vie réelle ou dans la nature, dans l'Histoire et dans les livres, habituellement sous la forme de l'éternel conflit entre le bien et le mal. Aujourd'hui, même l'observateur occasionnel des événements du monde peut percevoir l'existence d'un conflit ou d'une lutte entre des idéologies, des philosophies, des lois, des religions, des gouvernements etc. qui sont les sources de troubles, de malchance et d'adversité

65 Jér. 26:6. Voir aussi verset 9.

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dans le monde. Cependant, il n'est pas évident pour la plupart des gens de savoir qui sont les acteurs ou les individus qui se trouvent à l'avant-scène de ces conflits dans le monde, ou même pourquoi ces conflits et adversités existent. Dieu a écrit un scénario pour le monde, qui identifie les deux principaux personnages étant concernés dans une lutte ou conflit sans fin – ces deux personnages étant Ésaü et Jacob. C'est un thème constant tout le long du scénario. Lisons donc ce scénario et voyons ce qu'il a à nous dire sur ces personnages.

Ésaü contre Jacob

Vers le début du script divin (la Bible), nous voyons le personnage d'Ésaü faire sa première apparition sur scène. Il est né de Rebecca et d'Isaac, en même temps que son frère Jacob. La scène s'ouvre sur la demande d'Isaac à Dieu, concernant sa femme : 21 « Et Isaac pria instamment l'Éternel au sujet de sa femme, car elle était stérile; et l'Éternel se rendit à ses prières, et Rebecca sa femme conçut. » 22 « Et les enfants s'entre-poussaient dans son sein; et elle dit : S'il en est ainsi, pourquoi suis-je là? Et elle alla consulter l'Éternel. » 23 « Et l'Éternel lui dit : Deux nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront en sortant de tes entrailles; et un peuple sera plus fort que l'autre peuple, et le plus grand sera asservi au plus petit.66 »

Nous voyons ici que cette relation conflictuelle et antagoniste entre ces deux personnages, Jacob et Ésaü, fut ordonnée par Dieu avant même leur naissance. Rebecca était stérile et c'est Dieu qui lui avait permis de concevoir, formant Jacob et Ésaü dans son ventre, ainsi que leurs caractéristiques uniques et différentes. Dieu fit, à dessein, ces deux personnages différents et contraires l'un à l'autre. Les différences tout en contraste entre Ésaü et Jacob sont représentées par leur lutte ou conflit dans le sein de leur mère. Ceci représente les futures générations de conflit et d'antagonisme entre Ésaü et Jacob qui étaient regardés par Dieu comme deux différentes nations ou groupes raciaux (certaines traductions disent « deux races rivales »). Ils étaient donc destinés à être des peuples séparés, chacun avec ses rôles et destinées caractéristiques - « deux peuples se sépareront en sortant de tes entrailles ». Leur lutte représente également la lutte entre le Royaume de Dieu et le royaume de ce monde.

66 Genèse 25:21-23

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Nous voyons ici l'origine première et la source des conflits mondiaux, de la discorde internationale, des conspirations, des révolutions et des bouleversements politiques. Ce conflit et cette lutte étaient des caractéristique qui devait exister entre les descendants de Jacob et ceux d'Ésaü – c'est-à-dire un conflit permanent et continuel entre « deux nations » ou races. Ceci nous amène dans le domaine de la Loi Internationale et nos conflits aujourd'hui se situent dans cette sphère internationale. Ce thème est si fort qu'il devient lui-même un principe. Tout au long de la Bible, les nations d'Édom et d'Israël furent en guerre l'une contre l'autre. La lutte entre Ésaü et Jacob dans le ventre de leur mère était donc un signe de ce qui devait survenir dans le monde sur un plan international. Elle était le signe de conflits permanents entre des idéologies, lois, philosophies, gouvernements, religions et statut des descendants de ces deux personnes.

Les Juifs Contre Les Chrétiens

Les preuves du conflit ordonné par Dieu et de la lutte entre Ésaü et Jacob peuvent être trouvées à travers l'Histoire jusqu'à aujourd'hui. Guerres mondiales, persécutions et luttes sociales sont le résultat de deux systèmes générés par les deux peuples (nations) nés d'Ésaü et de Jacob. Il existe bien sûr des différences entre toute race ou nation, mais nulle part ailleurs nous ne voyons de relation si antagoniste et conflictuelle qu'entre les Juifs et le peuple Blanc chrétien. À travers l'Histoire, ces deux peuples ont été en désaccord l'un avec l'autre. Leur lois, gouvernements, religions et idéologies sont diamétralement opposés les uns aux autres. C'est l'ancien conflit entre les anciens adversaires Ésaü (Juifs) et Jacob (Blancs). La connexion entre la race blanche et le Christianisme, d'une part, et entre les Juifs et le Judaïsme, d'autre part, est universellement reconnue. Le Judaïsme, ou la religion des Juifs exprimée dans leur Talmud, est contraire aux préceptes de la Bible chrétienne. Ce que la Bible approuve, le Talmud le désapprouve, et ce que la Bible interdit, le Talmud le permet, d'une façon ou d'une autre. La table de la page suivante porte témoignage de cette opposition. Des centaines d'illustrations de ce contraste pourraient facilement être présentées pour définitivement prouver que le Judaïsme et le Talmud juif sont opposés et antagonistes de la Bible et du Christianisme, tout comme Ésaü et Jacob l'étaient. Ceci met en lumière le mensonge selon lequel le Christianisme est dérivé du Judaïsme et annule le terme de « JudéoChristianisme ».

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LES DEUX RELIGIONS LES PLUS CONTRASTÉES

JUDAÏSME DU TALMUD

Approbation de la sodomie : « Si l'on commet la sodomie avec un enfant de moins de neuf ans, il n'y a pas de culpabilité » (Sanhédrin 54b) Approbation de sacrifice d'enfant aux idoles : « Celui qui donne sa semence à Moloch n'encourt pas de punition » (Sanhédrin 64a ) Permission de maudire ses parents : « Celui qui maudit ses parents ne sera pas puni à moins qu'il ne les maudisse par le nom divin » (Sanhédrin 66a ) Permission des enchantements : « Il est permis de consulter par charme les esprits de l'huile et des oeufs, et de faire des incantations » (Sanhédrin 101a)

CHRISTIANISME DE LA BIBLE

Prohibition de la sodomie : « Tu ne couchera pas avec un mâle, comme on couche avec une femme : c'est une abomination » (Lév. 18:22) Prohibition des sacrifices d'enfant : « Quiconque donnera de ses enfants à Moloch sera certainement mis à mort » (Lév. 20:2) Interdiction de maudire ses parents : « Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort » (Exode 21:17, Math. 15:4)

Interdiction des enchantements : « ni devin, ni pronostiqueur, ni enchanteur, ni magicien, ni sorcier, ni personne qui consulte les esprits, ni diseur de bonne aventure, ni personne interrogeant les morts » (Deut. 18:10-11) Bestialité interdite : « Tu ne coucheras pas avec une bête pour te rendre impur avec elle; et une femme ne se tiendra pas devant une bête, pour se prostituer à elle » (Lév. 18:23) Prostitution interdite : « La femme qui se prostitue dans la maison de son père sera mise à mort » (Deut. 22:21)

Bestialité excusée : « Les femmes ayant des relations avec des animaux peuvent marier un prêtre, l'acte n'étant qu'une simple blessure » (Yebamoth 59b) Prostitution légitime : « la location d'une prostituée est permise, car ce qu'une femme a reçu est légalement un cadeau » (Abodah Zarah 62b-63a) Blasphème permis : « On peut injurier le Nom Divin si c'est appliqué à un autre objet » (Sanhédrin 65a-b) Pas besoin de garder sa parole : « On peut déclarer : 'Tout serment que je pourrai faire dans le futur sera nul » (Nedarim 23a-23b)

Blasphème punissable : « Celui qui blasphème le Nom de Dieu sera sûrement mis à mort » (Lév. 24:16) On doit garder sa parole : « Si un homme fait un serment, il ne violera pas sa parole; il fera selon tout ce qui est sorti de sa bouche » (Nombres 30:2) Meurtre interdit : « Celui qui frappe un homme avec un bâton et que celui-ci meure, le meurtrier sera mis à mort » (Nombres 35:18)

Meurtre permis : « Si dix hommes frappent un homme avec dix bâtons et qu'il meure, ils sont exempts de punition » (Sanhédrin 78a)

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Qui est Ésaü-Édom?

Le Talmud enseigne des lois et des principes opposés à ceux de la Bible. Même lorsqu'une loi morale évidente et universellement reconnue est concernée, le Talmud, à chaque fois, essaye de trouver des exceptions à cette loi. Les exceptions, déviations ou modifications sont alors justifiées par les enseignements et paroles de tel ancien rabbin ou « sage », comme ils sont appelés dans le Talmud. Le Talmud n'est pas un livre de morale divine ou d'éthique vertueuse mais est remplie de perversions et d'enseignements de débauches sexuelles67. Contrairement à la croyance populaire, les Juifs ne suivent pas les Lois de l'Ancien Testament, puisqu'ils ne sont pas le peuple de l'Ancien Testament (les Israélites). En fait, dans le livre appelé Sanhédrin, section 88b, le Talmud enseigne que ses préceptes et lois sont d'une « plus grande intransigeance » que leur correspondants dans la Bible. Il dit aussi que quand un Juif proclame qu'il n'y a pas de manquement à une loi talmudique, il peut agir, même si « une loi biblique peut être transgressée ». C'est le Talmud qui guide la vie et l'esprit du Juif : « Le Talmud est, jusqu'à ce jour, le sang qui circule dans le coeur de la religion juive. Quels que soient les lois, coutumes ou cérémonies que nous (Juifs) observons – que nous soyons orthodoxes, conservateurs, réformés ou simplement des sentimentaux spasmodiques – nous suivons le Talmud. C'est notre loi commune.68 » La nature du Juif n'est pas inclinée vers la Bible et ses préceptes mais vers « la tradition et les coutumes juives (du Talmud) qui sont les piliers de l'existence juive 69 ». La Bible est donc utilisée dans le seul but de l'apparence, pour donner aux Juifs une apparence pieuse et faire croire qu'ils sont le peuple élu, alors qu'en fait leurs lois véritables et leur religion sont dérivés des enseignements et des traditions du Talmud. Le Talmud est l'oeuvre « de nombreux érudits juifs sur une période de 700 ans, plus ou moins entre 200 av. JC et 500 ap. JC.70 » « La religion juive telle qu'elle existe aujourd'hui vient directement, sans faille, à travers les siècles, des Pharisiens. Leurs idées et méthodes maîtresses trouvent leur expression dans une littérature extrêmement abondante, parmi laquelle une grande partie existe toujours aujourd'hui. Le Talmud est le membre le plus vaste et le plus important de cette littérature.71 »

Le Talmud est en fait « le produit des écoles palestiniennes et babyloniennes » et est appelé

67 En 1923, le Doc. Alfred Luzsenzsky, qui avait traduit le Talmud en Hongrois (en 1910), fut condamné, par ordre du ministère public de Hongrie, pour « pornographie » et de « corruption de la morale publique ». La court trouva que : « Les horreurs contenues dans la traduction d'Alfred Luzsenzsky sont sans exception trouvées dans le Talmud. Sa traduction est correcte. » 68 Herman Wouk dans le New York Herald-Tribune, 17 novembre 1959. Le rabbin Bokser déclara : « Le Judaïsme n'est pas la religion de la Bible ». Ben Zion Bokser, Judaism and the Christian Predicament, 1966, p. 159. 69 Solomon Grayzel, A History of the Jews, Jewish Publication Society, Philadelphie, 1947, p. 362. 70 Doc. Boaz Cohen, Everyman's Talmud, E.P. Dutton, N.Y. 1949, p. iii. 71 The Universal Jewish Encyclopedia, Vol. VIII, 1942, p. 474.

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généralement « le Talmud babylonien72 ». Les Pharisiens étaient des adhérents de cette pensée babylonienne et c'était cette pensée et cette religion contre lesquelles le Christ était toujours en guerre. Le Christ les réprimanda car ils «annulent les commandements de Dieu, afin de garder leurs traditions (babyloniennes) » (Marc 7:9). Le Judaïsme et le Christianisme sont absolument opposés. L'opposition entre les deux systèmes est aussi radicale aujourd'hui qu'elle l'était du temps du Christ. Mais le Judaïsme n'est pas seulement dérivé du « système de pensée babylonien », mais aussi « des pratiques religieuses cananéennes73 ». Ésaü se maria avec des femmes cananéennes dont les pratiques religieuses étaient « abhorrées » par Dieu (Lév. 20:23). Jacob, lui par contre, « apprit les voies et les commandements du Seigneur » (Jasher 29:11). Mais Édom rejeta les voies divines et adora d'autres dieux (2 Chron. 25:14).

Les Juifs, tout comme leurs ancêtres édomites, cananéens, pharisiens et babyloniens, rejettent aussi les commandement divins. Ce rejet et cette défiance de Dieu est ce sur quoi est bâti le Judaïsme. Comme le révéla le Juif Bernard Lazare : « Ce sont les Juifs qui ont inventé l'exégèse biblique (analyse critique de la Bible), tout comme ils furent les premiers à critiquer les formes et doctrines chrétiennes . . .

72 The Jewish Encyclopedia, Vol. XII, 1905, p. 1. 73 The Universal Jewish Encyclopedia, Vol. VI, 1942, p. 235

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Darmesteter a écrit justement : 'Le Juif est l'apôtre de l'incroyance et toutes les révoltes de l'esprit viennent de lui'.74 » Du fait que les Juifs ont une inclination vers cette religion talmudique qui défie Dieu, un conflit évident existera entre eux et toute personne adhérant aux lois ou voies de Dieu. Le Talmud était si répugnant au peuple chrétien blanc européen qu'à de nombreuses occasions les rois et les papes ont publié des édits exigeant de brûler le Talmud. Comme Ésaü et Jacob, les Juifs et les Blancs chrétiens ont lutté et ont été en conflit les uns contre les autres dès leur toute première rencontre. Une recherche dans l'Histoire nous montre les disputes continues, les arguments et les désagréments entre les Juifs et les Chrétiens. « Un des premiers exemples est le Dialogue de Justin Martyr (d.165) avec le 'Juif Tryphon'.75 » De tels dialogues et disputes entre Juifs et Chrétiens étaient généralement centrés sur les mêmes sujets, tels que la naissance de la Vierge, la nature des prophéties messianiques et leur réalisation, la divinité de Jésus et les divers aspects de la Loi. Les opinions contraires sur de tels sujets ont été des traits permanents de ces deux peuples.

Un Conflit de Traits Génétiques

Ces façons contraires et conflictuelles de penser entre les Juifs et les Blancs européens ne sont pas artificielles ou un résultat de leur environnement, mais sont basées sur la nature de leurs constitutions physiques. Le conflit entre eux n'est dès lors pas plus réconciliable qu'il ne l'était entre Ésaü et Jacob. Le Juif Maurice Samuel, parlant aux Blancs, l'explique bien : « Il existe deux forces vitales dans le monde que je connais : juive et gentille, la nôtre et la vôtre. . . . Je ne crois pas que cette différence primale entre Gentils et Juifs soit réconciliable. Vous et nous pouvons nous comprendre, jamais nous réconcilier. Il y aura de l'irritation entre nous aussi longtemps que nous serons en contact intime. Car la nature, la constitution physique et la vision nous divise, vous et nous, pour toujours.76 » Les différences conflictuelles qui existent entre les Juifs et ceux de la race blanche sont avant tout le résultat de leurs différences génétiques, ou « nature et constitution ». Les Juifs agissent et pensent différemment des Blancs chrétiens parce qu'il existe une différence dans leurs cerveau. Selon le docteur Richard Goodman, dans une étude qu'il réalisa pour l'Université John Hopkins à Baltimore, il existerait 112 maladies héréditaires dans la race juive dont l'origine serait le

74 Bernard Lazare, Antisemitism: It's History and Causes, London: Britons Publishing Co., 1967, pp. 149-151. 75 The New Standard Jewish Encyclopedia, 1977, 5ème édit., p. 562. 76 Maurice Samuel, You Gentiles, Harcourt, Brace & Co., New York, 1924, pp. 19, 23.

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cerveau juif et son système nerveux 77. Certaines de ces maladies sont le syndrome de Bloom, la Dysautonomia Familiale, la maladie de Gaucher et la maladie de Tay-Sachs. Ces anormalités mentales et neurologiques ont une relation directe avec les modèles comportementaux juifs, que les autres personnes trouvent haïssables et étranges. Ces maladies mentales rendent compte, sans aucun doute, de certains des traits communs des Juifs, tels que d'être mordant, rude, radin, sexuellement perverti, agressif, schizophrène et hostile. De tels désordres mentaux et neurologiques chez les Juifs sont connus depuis longtemps dans les milieux scientifiques. Le docteur A. Jacobs, un Juif, dans le Journal of the Anthropoligical Institute of Great Britain, publié en 1886, vol. 15, page 360, établit des listes comparant les hauts pourcentages de Juifs ayant des maladies mentales. Dans The Jewish Encyclopedia, il déclare : « Les Juifs sont plus sujets aux maladies du système nerveux que les autres races et peuples parmi lesquels ils vivent. L'hystérie et la neurasthénie apparaissent le plus fréquemment. Certains médecins de grande expérience parmi les Juifs sont allés jusqu'à déclarer que la plupart d'entre eux sont neurasthéniques et hystériques.78 »

Le docteur Alexander Pilez, un psychiatre de Vienne connu mondialement, déclare dans son travail remarquable, Wiener Klinishe Rundschau, page 888 : « Les cas où des psychoses aigües tendant à l'idiotie et à la folie sont particulièrement fréquents chez les Juifs. ». Par contraste, on ne trouve pas de maladie héréditaire exclusive de la race blanche et la race nègre en possède une seule, l'anémie falciforme. En tant que peuple hautement mélangé et bâtardisé, les Juifs seraient plus prompts aux maladies héréditaires que les races pures. La même chose s'observe chez les animaux et les plantes hybridés. Cela inclut les maladies de l'esprit. « L'idiotie et l'imbécilité se trouvent comparativement plus fréquemment chez les Juifs que chez les non-Juifs. . . . Le type mongolien d'idiotie est aussi très fréquemment trouvé parmi les Juifs. . . . Parmi les Juifs, la proportion d'insanité se révèle très importante. . . . Les Juifs sont plus susceptibles aux psychoses aigües du jeune âge que les Gentils.79 » La Jewish Encyclopedia déclare également que les causes de ces désordres mentaux chez les Juifs sont dues à « la corruption neurologique de la race », « une caractéristique raciale » et « les mariages consanguins ». Cette grande proportion de folie, d'idiotie, d'imbécilité et d'insanité chez les Juifs nous aide à expliquer pourquoi le Talmud est une collection de divagations imbéciles d'esprits insanes. Les Juifs et les Blancs ne sont pas génétiquement du même esprit. Les Juifs et la race blanche sont clairement deux personnages différents dans la pièce de Dieu,

77 Documenté dans : Genetic Disorders Among the Jewish People, par le doc. Richard Goodman, John Hopkins University Press. 78 The Jewish Encyclopedia, Vol. IX, 1905, p. 225. 79 The Jewish Encyclopedia, Vol. VI, 1904, p. 556, 603-604.

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jouant les rôles différents d'Ésaü et de Jacob. Ils sont deux différentes sortes de gens, spirituellement, moralement, mentalement et biologiquement, causant des conflits naturels entre eux qui ne peuvent être réconciliés.

La Haine d'Ésaü pour Jacob

Les relations conflictuelles et antagonistes entre Ésaü et Jacob furent magnifiées et intensifiées lorsque Ésaü « vendit son droit d'aînesse à Jacob » pour un bol de potage (Gen. 25:33). Jacob avait dès lors le droit de recevoir les bénédictions pour l'héritage qu'il reçut d'Isaac en prétendant être Ésaü. Quand Ésaü se rendit compte de ce qui se passait et que Jacob bénéficiait maintenant des bénédictions qui auraient dû lui être destinées, « Ésaü haït Jacob à cause des bénédictions80 ». Cette haine devait dès ce jour être l'attribut et la marque distinctive du personnage d'ÉsaüÉdom. À travers le reste des Écritures, cet attribut ne varie pas ni ne s'estompe. Il est clairement révélé dans les Écritures que Ésaü-Édom serait un adversaire perpétuel de Jacob-Israël. Il est dit : « Les enfants dÉsaü haïrent les enfants de Jacob, et la haine et l'hostilité furent très fortes entre eux tous les jours, jusqu'à aujourd'hui » (Jasher 58:28). Les descendants d'Ésaü haïraient donc la race entière venue de Jacob. Cette haine se manifesta lorsque « Édom refusa à Israël le passage de ses frontières » (Nombres 20:21). Durant le 8ème siècle avant JC, le prophète Amos rebute Édom pour sa cruauté et sa colère envers Israël : « À cause de trois transgressions d'Édom, et à cause de quatre, je ne le révoquerai point, parce qu'il a poursuivi son frère avec l'épée, et a étouffé la miséricorde, et que sa colère déchira sans fin, et qu'il garda sa fureur à toujours.81 »

Quelques 200 ans plus tard, le prophète Ézéchiel condamne aussi Édom ou « Mont Séhir » (les Édomites), à cause de leur haine perpétuelle envers les enfants d'Israël : « Parce que tu as eu une inimitié perpétuelle, et que tu as livré les fils d'Israël à la puissance de l'épée, au temps de leur calamité, au temps de l'iniquité de la fin82 »

Le Mont Séhir, représentant la race d'Ésaü-Édom ou Édomites, a eu une haine perpétuelle envers les fils d'Israël à travers toute l'Histoire. Tout le long de la Bible les Édomites ont montré leur haine et leur opposition au peuple élu de Dieu, Israël. C'était une caractéristique ineffaçable de

80 Genèse 27:41 81 Amos 1:11 82 Ézéchiel 35:5

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ces gens.

La Haine par les Descendants d'Édom

Nulle part dans les Écritures on ne trouve une haine et une animosité comparable à celle que Ésaü-Édom entretient envers Jacob-Israël. La question est : où donc dans l'Histoire pouvonsnous trouver cette haine particulière d'un groupe de gens envers un autre? Le parallèle est clairement établi avec la haine que les Juifs ont pour le peuple chrétien. La preuve la plus évidente de la « haine perpétuelle » que les Juifs ont pour le peuple chrétien se trouve dans leur Talmud. Dans ce travail de haine et de perversion, les rabbins juifs et les 'sages' ont, à travers les siècles, exprimé les attributs juifs de haine envers les Blancs chrétiens 83. Voici quelques extraits du Talmud démontrant cette haine du Chrétien : • • • • • • • • • • • Il est permis de voler un gentil et de pratiquer l'usure avec lui (Baba Mezia 61a, Abhodah Zarah 54a). Les goyim (Chrétiens) sont regardés comme impurs (Schabbath 145b, Abhodah Zarah 22b). Il n'est pas permis de voler un frère juif, mais il est permis de voler un Gentil (Baba Mezia 61a, Sanhédrin 57a). Les goyim ne sont pas des hommes mais des animaux (Kerithuth 6b). La semence d'un goy est semblable à celle d'une bête (Kethuboth 3b, Baba Mezia 114,6). Un Juif ne doit pas entrer dans la maison d'un Chrétien (Gittin 62a). Les goyim ne doivent pas être soignés ou aidés quand ils sont malades, même pour de l'argent (Abodah Zarah 27b, Iore Dea 158,1). Il est permis de tromper un goy (Babha Kama 113b). Les Juifs doivent essayer de tromper les Chrétiens (Zohar I,160a). Un Juif peut mentir et se parjurer afin de condamner un Chrétien (Babha Kama 113a113b). Un Juif ne blessera pas un autre Juif, mais les lois n'interdisent pas de blesser un goy (Mishna Sanhédrin 57). Ceux qui font du bien aux Chrétiens . . . ne se relèveront pas de la mort (Zohar 1,25b). Toutes les fêtes des fidèles de Jésus sont interdites et nous devons nous conduire envers eux comme envers des idolâtres (Abodah Zarah 2a,78c).

83 Certains termes utilisés dans le Talmud et autres écrits juifs pour dire 'Chrétien' sont : goy, goyim (signifiant bétail dans l'esprit juif, mais en réalité signifiant nation), gentil, min, minim, minuth, païen, Cuthcan, Akum, idolâtre, Nokhri et Nostrim.

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• •

Ne pas sauver un goy en danger de mort (Hilkkoth Akum XX 1). Quand un Juif et un goy viennent au tribunal, vous devez absoudre le Juif et prendre son parti autant que possible selon les lois juives. Si, par contre, le Juif peut être absout selon les lois des gentils, absolvez-le (Babha Kama 113a). Un Juif peut garder tout ce qu'il trouve appartenant à un Akum (Chrétien), le rendre est un péché (Choschem Ham 266,1).

•

Le Talmud représente clairement un objet sous-jacent de haine juive envers les Chrétiens. Il apprend aux Juifs à être contre les « goyim » dans tous les aspects de la vie tout en travaillant à la destruction de la religion chrétienne et en détruisant leur culture et leur société. Cette haine des Chrétiens, enseignée par les anciens rabbins, a continué à travers les générations suivantes et est prévalente dans les écrits et les sentiments des Juifs d'aujourd'hui. Elie Wiesel, l'auteur juif, Prix Nobel et fameux « survivant de l'holocauste », promeut la haine juive des hommes blancs. Dans un de ses livres, il déclare : « Chaque Juif, quelque part dans son être, doit garder en lui une zone de haine – une haine saine, virile – pour ce que les Allemands représentent et pour ce qui persiste en eux. Ne pas le faire serait une trahison des morts.84 »

La Haine d'Édom pour Jésus-Christ

Les prophéties de la naissance du Christ étaient bien connues des gens à cette époque. Il devait être Roi de toute la Création (Zach. 14:9; Dan. 7:13). Le Messie (Dan. 9:25), le rédempteur d'Israël (Ésaïe 59:20; 62:11) et serait de la maison de David (Jér. 23:5). Le scénario révèle aussi que le Christ aurait des ennemis dès le moment de sa naissance : « Or, après que Jésus fut né à Bethléem de Judée, aux jours du roi Hérode, voici, des mages de l'orient arrivèrent à Jérusalem, disant : Où est le roi des Judéens qui a été mis au monde? Car nous avons vu son étoile dans l'orient, et nous sommes venus lui rendre hommage. Mais le toi Hérode, l'ayant ouï dire, en fut troublé, et tout Jérusalem avec lui. » (Mathieu 2:1-3)

Pourquoi ce roi Hérode fut-il « troublé » par la naissance et l'arrivée du Messie, Jésus-Christ?

84 Elie Wiesel, Legends of our Time, Holt, 1968, p. 142.

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Premièrement, nous voyons que Hérode n'était pas de la même lignée raciale que le Christ : « Antipater, un Édomite de naissance, fut fait par César procurateur de toute la Judée; et son fils, communément appelé Hérode le Grand, était, au temps de la naissance du Christ, roi de Judée, incluant l'Idumée (pays d'Édom).85 »

Hérode, comme son père Antipater, était un « Iduméen », ou Édomite de naissance. Josephus, dans son « Antiquités des Judéens », estime aussi que Hérode était un « Iduméen » (LIVRE XIV, Chap XV, Sec. 2, p. 438). Hérode avait parlé « en secret » aux sages (les mages), leur disant de « s'enquérir exactement touchant le petit enfant » et quand ils l'auraient trouvé, de revenir lui faire savoir de façon à ce qu'il « puisse venir et lui rendre hommage » (Mathieu 2:7-8). C'était en fait une ruse qui lui permettrait de tuer le Christ. Quand les mages trouvèrent l'enfant, ils furent « avertis par Dieu dans un rêve de ne pas retourner vers Hérode » (Mathieu 2:12). Ils ne retournèrent donc pas vers le roi avec l'information du lieu de naissance du Christ, ce qui rendit Hérode furieux : « Alors Hérode, voyant que les mages s'étaient joués de lui, fut fort en colère; et il envoya, et fit tuer tous les enfants qui étaient dans Bethléem et dans tout son territoire, depuis l'âge de deux ans et au-dessous, selon le temps dont lequel il s'était enquis exactement auprès des mages.86 »

Hérode l'Édomite ressentait une telle haine du Christ et de ce qu'il représentait qu'il ordonna une exécution de masse afin d'être certain que Jésus serait tué. Si « l'ange du Seigneur » n'avait pas averti Joseph de s'enfuir en Égypte avec Jésus, Hérode aurait sûrement réussi à le tuer. D'autres ennemis du Christ incluaient les Pharisiens, qui promouvaient et suivaient la religion de Babylone devenue depuis le Talmud – la base du Judaïsme 87. Les rabbins et le Talmud juif ont donc repris là où Hérode et les Pharisiens avaient quitté la scène dans leur attaque et leur haine contre Jésus-Christ, le Rédempteur d'Israël. Dans le Talmud, le Christ est décrit comme un sorcier, idolâtre, séducteur, blasphémateur et fou. Il y est écrit aussi qu'il pratiquait la bestialité, des perversions sexuelles et de la magie. Le Talmud assigne quatre morts pour Jésus : la lapidation, la mort par le feu, la décapitation et la strangulation. Les assauts des Juifs contre le Christ et contre le Christianisme sont historiques, comme l'admet le Juif Bernard Lazare : « Le Juif . . . ne se contente pas de détruire le Christianisme, mais il prêche l'évangile du Judaïsme; il n'attaque pas seulement les fois catholiques et protestantes, mais il incite à l'incroyance et impose à ceux qu'il a réussi à tromper sa propre conception du monde, de la moralité et de la vie. Il est engagé dans sa mission historique, l'annihilation de la religion

85 The Popular & Critical Bible Encyclopedia, 1908, Vol. ii, p. 852. 86 Mathieu 2:16 87 Les Juifs admettent que « les Pharisiens et les rabbins » étaient la même espèce de « professeurs ». Rabbi A. Cohen, Everyman's Talmud, p. xxxiv.

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du Christ.88 »

Comme Hérode, le juif possède une haine héréditaire contre le Christ et le Christianisme, et cela est clairement exprimé dans le Talmud et autres productions juives. En dépit de ce fait, le monde des églises organisées ne peut ou ne veux reconnaître que le déclin de leurs nations chrétiennes est proportionnel au nombre et à l'influence des Juifs admis dans celles-ci.

Anti-Sémitisme

Le terme « anti-sémitisme » a été utilisé par les Juifs pour contrer et cacher l'ordre et le plan naturel divins dans le monde – un ordre ayant assigné au Juif le rôle d'agresseur, de destructeur, de séducteur, d'envahisseur, de corrupteur, d'homme de haine. Appeler quelqu'un « anti-sémite » est la méthode juive pour essayer de mettre tout le blâme du conflit sur la partie adverse. En d'autres termes, ce sont ces Arabes ou ces Palestiniens ou ces Allemands qui sont pleins de haine et des agresseurs, quand en fait c'est le Juif. Écrivant dans la revue The American Hebrew, Jesse H. Holmes déclare : « Il ne peut s'agir d'un simple accident que l'antagonisme dirigé contre les Juifs se trouve à peu près partout dans le monde où les Juifs et les non-Juifs sont associés. Étant donné que les Juifs sont l'élément commun de la situation il semble probable . . . que la cause doit être cherchée en eux plutôt que dans les groupes largement différents qui ressentent cet antagonisme.89 »

Le résultat de cette tactique d'accusation par des noms est de focaliser l'attention sur l'effet du conflit et non sur sa cause. La cause est toujours tel ou tel trait repoussant du Juif, précipitant un conflit et une accusation contre le Juif. Les Juifs déclarent alors que c'est de l'« anti-sémitisme » ou bien de la « haine anti-Juive » non justifiée. Pourtant la haine et l'action contre le Juif sont des réponses naturelles. Dans un chapitre intitulé « La Haine Anti-juive en Tant qu'Instinct Naturel », Samuel Roth déclare : « L'anti-sémitisme est tellement instinctif qu'il peut tout simplement être appelé un des instincts primaux de l'humanité, l'un des instincts importants par lesquels une race s'aide à se préserver de la totale destruction. Je ne peux souligner ce point assez fort. L'antisémitisme n'est pas, comme les Juifs ont voulu le faire croire au monde, un préjugé actif. Il s'agit d'un instinct profondément caché avec lequel tout homme nait. Il en reste inconscient comme de tout instinct d'auto-préservation jusqu'à ce que quelque chose se passe qui le réveille. Exactement comme lorsqu'un objet s'approche rapidement dans la

88 Bernard Lazare, Antisemitism: Its History and Causes, traduit par Britons Publishing Co., London, 1967, p. 158. 89 Quoté dans : The International Jew, The Dearborn Publishing Co., 1920, Vol. IV, p. 222.

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direction de vos yeux, vos paupières se ferment automatiquement, sans décision de votre part. L'instinct d'anti-sémitisme qui se réveille chez un homme est si prompt et si sûr . . . Il n'existe aucun exemple où les Juifs n'ont pas totalement mérité les fruits amers de la furie de leurs persécuteurs.90 »

Le Juif, comme Ésaü, s'est révolté contre les ordres de Dieu et nous sommes tous justifiés pour agir contre le Juif à cet égard : « Il apparaît donc que les griefs de l'anti-sémite sont parfaitement fondés; l'esprit juif est essentiellement un esprit révolutionnaire et, consciemment ou pas, le Juif est un révolutionnaire.91 »

Ce qui nous voyons dans le monde est donc Ésaü, qui est l'agresseur et celui qui est plein de haine, essayant de cacher son identité et ses attributs innés. Si l'identité vraie et les traits d'Ésaü étaient reconnus publiquement, celui-ci serait une fois de plus rendu impuissant sur Terre. Les Juifs ont hérité de ses attributs et essayent désespérément de réduire au silence quiconque voulant révéler leur vraie identité. Les charges d'anti-sémitisme et de « lois contre la haine » sont des outils que les Juifs utilisent pour défendre leur nature insultante, hostile, révolutionnaire et anti-chrétienne. S'ils peuvent ainsi insinuer que celui qui est chargé de l'accusation d'« anti-sémitisme » est celui qui hait et qui agresse, alors la réponse émotionnelle des masses peut être dirigée contre cet individu, le forçant au silence ou à la perte de ses statuts dans la société, les affaires ou la politique. Depuis que les Juifs ont inventé cette accusation d'anti-sémitisme dans les années 188092, elle a été entretenue grâce à de l'argent juif, des organisations juives, de la propagande et des mensonges juifs (p. ex. l'« Holocauste »), de telle façon qu'aujourd'hui l'expression « antisémite » est comme un venin de serpent qui paralyse le système nerveux d'une personne. Même la simple mention du mot 'Juif' est bannie à moins d'être utilisée de façon extrêmement favorable et positive, par exemple « les Juifs sont le Peuple Élu ». Cette stigmatisation existe même dans les milieux conservateurs et d'« extrême-droite ». Ces milieux parlent des problèmes du monde, des conflits et des guerres causés par les Communistes, les Sionistes, les banquiers internationaux ou les organisations comme le CFR et la Trilatérale. Alors même que les évidences sont claires que les Juifs sont derrière tous ces mouvements et organisations, la connexion juive est évitée comme la peste bubonique. Le résultat final est que ceux qui craignent de se voir désignés « anti-sémites » ne seront jamais utiles pour mettre en lumière la racine des problèmes du pays. Une telle peur n'existait pas chez

90 Samuel Roth, Jews Must Live, 1934, p. 64. 91 Bernard Lazare, Antisemitism: Its History and Causes, p. 149. 92 « Le mot (anti-sémitisme) fut imprimé en prmier en 1880 ». The Jewish Encyclopedia, Vol. I, 1901, p. 641.

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Jésus-Christ, qui parla hardiment contre les Pharisiens talmudiques, en face à face dans des rassemblements publics. Il mit le doigt sur leurs caractéristiques, les déclarant « hypocrites », une race de vipères, « pleins des ossements d'hommes morts et de toutes impuretés », « guides aveugles », « une race méchante et adultère », « pleins d'iniquités », « des serpents », « des meurtriers », et « enfants de leur père, le Diable ». À cause de l'exposition de leurs traits et de leurs voies par le Christ, les Juifs talmudiques ne purent continuer leurs pratiques impies. Ces 'Juifs' tentèrent donc de Le tuer (Jean 8:37, 40) et finirent par y arriver. Dans le monde du contrôle des esprits d'aujourd'hui, Jésus-Christ serait considéré comme un « haineux », un « anti-sémite » et un « raciste ». C'est clair car les Juifs ont fait savoir que le Nouveau Testament est « le livre le plus anti-sémite jamais écrit ».

La Clé – Si le Juif veut vivre dans une société chrétienne, sa vraie nature et ses caractéristiques doivent être cachées des masses et censurées. Les Juifs déclarent donc qu'à travers l'Histoire ils sont les seuls à avoir été persécutés. Évidemment, la cause de ces persécutions – les traits juifs d'offense et d'anti-Christianisme – n'est jamais révélée. Lorsque ces traits sont cachés, la cause et la nature de la plupart des problèmes, des conflits, des conspirations et des guerres dans le monde sont aussi cachés. Parlant de ces problèmes, Henry Ford déclare : « La moitié de la confusion que les hommes rencontrent dans leurs efforts de comprendre le monde est due à leur ignorance d'où se trouve le Juif. Il est toujours la clé. Mais si la clé est déguisée en quelque chose d'autre, comment pourrait-elle être utilisée?93 »

Nous possédons maintenant la clé de l'origine et de la source de tant de conflits et de frictions si prévalents dans le monde contemporain. Deux des principaux personnages jouant dans la pièce (dans le monde) possèdent des systèmes de valeurs et des dispositions spirituelles diamétralement opposés, « et les jumeaux ne se rencontreront jamais ». Pour citer le Juif Maurice Samuel : « J'ai suspecté dès l'aube de ma prise de conscience juive, qu'entre vous les Gentils (Blancs

93 The International Jew, Vol. II, p. 245.

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chrétiens) et nous, les Juifs, il y a un gouffre infranchissable.94 »

Les Juifs, étant une branche ou une extraction d'Ésaü-Édom, éprouvent une haine profonde pour le peuple de Dieu, le peuple blanc (Israélite) et son Dieu. Le rôle d'Édom dans la pièce demande que cette haine soit traduite en actes dans la réalité. Ils ne peut et ne veut dévier de ce rôle. Beaucoup de personnes voient ce qui se passe dans le monde mais ne peuvent fournir de raison logique à la question de pourquoi il existe un conflit, une lutte et une haine perpétuels entre les Juifs et ceux de la race blanche. La plupart ne comprennent pas, ou refusent d'accepter le fait, que Dieu a ordonné ce conflit dès le début. C'est l'unique raison logique à ce que nous voyons dans le monde concernant de telles choses.

6. LA DOMINATION D'ÉSAÜ

La Bénédiction de Domination de Jacob

Quand Rebecca était enceinte et portait Jacob et Ésaü dans son ventre, elle fut informée par Dieu du destin des jumeaux, comme quoi « le plus âgé servira le plus jeune » (Gen. 25:23). À cette époque, il était impensable qu'un fils plus jeune puisse dominer sur son frère aîné, et Rebecca garda certainement cette révélation pour elle-même. Ésaü était le premier-né ou fils aîné et il lui revenait donc le droit d'aînesse, droit qu'il vendit par la suite à son jeune frère Jacob. Plus tard, Jacob fit en sorte qu'Isaac son père lui donne officiellement les bénédictions allant de pair avec le droit d'aînesse, et il fut dit de Jacob : « Que des peuples te servent, et que des peuplades se prosternent devant toi! Sois le maître de tes frères, et que les fils de ta mère se prosternent devant toi! Maudit soit qui te maudit, et béni, qui te bénit!95 »

Jacob devait donc diriger et dominer sur les autres peuples ou races, et être dans une position dominante sur les nations - « et celui qui sortira de Jacob dominera » (Nombres 24:19). Ces bénédictions appartenaient aux héritiers de la lignée Adam-Noé-Abraham, comme Adam devait « dominer sur toute la terre » et « dominer sur toutes les créatures vivantes qui se meuvent sur la

94 Maurice Samuel, You Gentiles, 1924, p. 9. 95 Genèse 27:29

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terre » (Gen. 1:26-28). Rebecca, connaissant la destinée de Jacob par la révélation divine, favorisa Jacob sur Ésaü et aida Jacob à garder les bénédictions légitimes d'Isaac. À travers l'Histoire, la race des Blancs européens a régné facilement sur toutes les races et les a surpassés en technologie et industrie, et aucune autre race n'a réussi à dominer les Blancs. Cette domination de la race blanche sur les autres est la marque de fabrique des bénédictions du droit d'aînesse.

« L'Éternel fera que tes ennemis qui s'élèveront contre toi, seront battus devant toi; ils sortiront contre toi par un chemin, et par sept chemins ils fuiront devant toi. Et l'Éternel te mettra à la tête, et non pas à la queue; et tu ne seras qu'en haut, et tu ne

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seras pas en bas, si tu écoutes les commandements de l'Éternel, ton Dieu, que je te commande aujourd'hui.96 »

Quelle race de gens domine aisément sur tous les autres peuples? Voici plusieurs siècles, lorsque nos ancêtres blancs vinrent dans la lumière du Verbe divin et que la Réforme s'étendait dans toute l'Europe, notre peuple Anglo-Saxon commença à aller sur d'autres continents. On trouve beaucoup d'exemples dans l'Histoire où un groupe de Blancs européens ont conquis ou mis en déroute une grande multitude de races colorées. À une époque, la Grande-Bretagne avait le contrôle de toute l'Inde avec moins de 30.000 soldats. Lorsque Attila le Hun, appelé « le fléau de Dieu », eut subjugué toute l'Asie, il décida d'étendre sa domination barbare sur l'ouest jusqu'en Gaule. Les Wisigoths sous le règne de Théodoric vainquirent les Huns dans la bataille de Châlons. Durant l'occupation de l'Afrique du Sud par les Britanniques et les Hollandais, un groupe de quelques 460 colons se trouvèrent encerclés par 30.000 guerriers Zoulous. Les colons Afrikaners prièrent et firent une alliance avec Dieu, lui demandant de « mettre l'ennemi entre nos mains, afin que nous puissions être victorieux sur lui ». À la fin de la « bataille de Blood River », pas un seul des colons ne fut blessé mais les Zoulous perdirent 12.000 guerriers. Lorsque Santa Anna marchait sur le Texas dans le but de « tuer tous les gringos blancs » dans le pays, son armée bien entraînée et équipée de 1300 soldats fut défaite par 600 volontaires sous le commandement du Général Sam Houston dans une bataille qui dura seulement 20 minutes. Durant la Guerre du Mexique (1847), Santa Anna envoya 20.000 hommes de troupe pour détruire les forces américaines sous les ordres du Général Zachary Taylor. « Mais Taylor, avec une armée du quart de la taille de celle de Santa Anna, repoussa les Mexicains dans la bataille chaudement contestée de Buena Vista (23 février 1847).97 » Santa Anna fit une retraite vers le sud pour défendre Mexico City avec une force armée de 30.000 soldats. Mais le Général Winfield Scott, avec une armée de quelques 10.000 soldats, entra dans la capitale mexicaine, la soumit et hissa le drapeau sur « le palace des Montezumas ». La race colorée (Mexique) fut forcée de concéder la moitié de son territoire, incluant la Californie, dans les mains de la race blanche (Amérique). Ainsi furent remplies les promesse envers JacobIsraël : « Et cinq d'entre vous en poursuivront cent, et cent d'entre vous en poursuivront dix mille, et vos ennemis tomberont devant vous par l'épée. » (Lév. 26:8)

L'Histoire est pleine de beaucoup d'exemples où les races colorées ne purent tenir face au peuple d'Israël. Pourquoi? Parce que Dieu leur a donné la domination sur les autres peuples. D'Adam à Seth à Noé à Abraham à Jacob, le droit d'aînesse inclut le droit de dominer ou gouverner.

96 Deutéronome 28:7, 13 97 David S. Muzzey, An American History, Ginn & Co., 1933, p. 277

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Tandis que les nations d'Israël (Blancs) devaient avoir ce droit de domination, ce droit était conditionné par l'obéissance d'Israël aux Lois de Dieu. Si cette race s'éloigne trop loin des Lois divines, alors : « L'Éternel fera que tu sois battu devant tes ennemis. L'étranger qui est au milieu de toi montera toujours plus haut au-dessus de toi, et toi tu descendras toujours plus bas. Il te prêtera, et toi, tu ne lui prêteras pas; il sera à la tête, et toi, tu seras à la queue.98 »

Les races païennes, sachant que c'est la relation que Dieu a avec Jacob-Israël, ont souvent essayé de se servir de cette connaissance à leur avantage et de gagner la domination sur les gens d'Israël en les séduisant et les trompant, de sorte qu'ils violent les Lois de Dieu. Dieu nous avertit donc de ne pas permettre aux païens d'habiter notre terre et de ne pas faire d'alliance avec eux (Exode 23:32-33; Deut. 7:1-5).

Statut et Domination d'Ésaü

Quand Ésaü apprit que Jacob avait acquis les bénédictions du droit d'aînesse, il pleura et supplia Isaac - « n'as-tu pas réservé une bénédiction pour moi? » (Gen. 27:36). Isaac répondit à Ésaü en disant que Jacob avait reçu la bénédiction, faisant de lui «ton seigneur » ou maître sur Ésaü. Mais Ésaü persista et demanda « N'as-tu pas une bénédiction pour moi? ». Alors, dans ce qui peut être vu comme un type de bénédiction et de prophétie, Isaac déclara à Ésaü ceci, concernant son destin : « Et tu vivras de ton épée, et tu serviras ton frère (Jacob); et il arrivera que, lorsque tu auras la domination, tu briseras son joug de dessus ton cou.99 »

Les mots 'auras la domination' utilisés ici sont parfois traduits par 'devenu nomade' ou 'devenu rétif', mais ceci ne rend pas compte de la signification entière contenue dans ce passage. Le mot Hébreu utilisé est « ruwd » (Strong #7300) et signifie vadrouiller ou va-nu-pieds, être libre, inconsolable, - avoir la dominance, être seigneur, pleurer, diriger100.

98 Deutéronome 28:25, 43, 44 99 Genèse 27:40 100 Strong's Concordance of the Bible. On donne à ce mot la signification de 'diriger' dans le Young's Analytical Concordance to the Bible. Le mot 'ruwd' est aussi traduit « Nous sommes des seigneurs » (Jér. 2:31) et « dirigeait » (Osée 11:12) dans le King James Ver., Wigram Englishman's Concordance.

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Ce verset nous dit donc qu'il viendra un temps où Ésaü sera mécontent du joug de Jacob sur lui et vagabondera et ira va-nu-pieds jusqu'à ce qu'il gagne une position de pouvoir ou de domination. Seulement alors Ésaü sera satisfait. Donc, bien qu'Ésaü soit destiné à être le serviteur de Jacob, il viendra un temps où Ésaü prendra le dessus sur Jacob et « brisera le joug » de Jacob de dessus son cou – c'est-à-dire, détruira la domination de Jacob. Eh bien, est-ce que les Édomites eurent jamais la domination sur les Israélites dans l'histoire biblique? Non, pas une fois cela n'arriva. Il s'ensuit que nous devons regarder vers les époques plus récentes pour trouver la réalisation de cette prophétie. Cette domination d'Ésaü, à travers sa lutte pour se libérer du joug de Jacob, se trouve être réalisée dans le contrôle et l'emprise que les Juifs ont obtenus sur la race blanche. Avec deux peuples si opposés en caractères que Jacob (race blanche) et Ésaü (les Juifs), l'un doit prédominer sur l'autre. Ils ne peuvent arriver à un agrément ou un statut d'égalité. Si les lois, religion, gouvernement et morales caractéristiques de Jacob sont suivis dans le pays, alors ceux d'Ésaü sont rejetés. Ésaü sera, par la nature de son caractère, sous la sujétion de Jacob. Et ainsi fut des Juifs dans l'histoire européenne et américaine. Les Juifs, à cause de leurs coutumes et religion opposées aux nôtres furent sous régulations spéciales dans les nations chrétiennes. Comme l'illustre un livre d'Histoire : « Leur (Juifs) religion les met à part du reste de la population du pays. . . . L'entièreté de la vie ordinaire était conduite selon la supposition que les hommes sont membres du même corps religieux. Les Juifs n'appartenaient pas à cette définition et devaient donc vivre une vie à part. On leur permettait de vivre seulement dans certains quartiers des villes, connus sou le nom de « Juiveries ». Ils devaient également porter une robe spéciale ou un badge de tissu jaune sur leur poitrine. On considérait qu'ils vivaient dans le pays, non pas selon la loi commune, mais par consentement spécial du roi et sous sa protection. Ils étaient donc sujets, non de la loi commune mais de règlements spéciaux faits pour eux par le roi ou ses officiers.101 »

Tels étaient les statuts des Juifs dans la plupart des pays européens où ils étaient sujets aux règles de la race blanche. Dans l'Amérique des débuts, les Juifs ne pouvaient pas voter, tenir des offices publics, être témoins dans les tribunaux et étaient socialement regardés comme une classe inférieure de personnes. À cause de leurs traits opposés, lorsque la race blanche gouverne, les Juifs sont dans une position de sujétion. Tout l'Histoire vérifie cela. Dans une nation blanche, les Juifs seront toujours la « queue ». Le règne historique de la race blanche était le « joug » de Jacob sur le cou d'Ésaü, joug dont la prophétie dit qu'Ésaü briserait un jour; et ce joug ne pourrait être brisé que lorsqu'Ésaü prendrait à son tour la domination.

101 Edward P. Cheyney, A Short History of England, Boston: Ginn & Co., 1919, p. 217.

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Pour qu'Ésaü ait le dessus dans une nation sur les descendants de Jacob, il doit établir ses principes de loi et de gouvernement (socialisme), sa religion (Judaïsme) et son code moral (éthique talmudique). Il doit établir ses méthodes économiques (crédit, usure) aussi bien que sa façon de vivre (une société judaïsée), amenant ainsi la destruction de la gouvernance et de la société blanche. « Le jour où le premier Juif fut admis à des droits civiques, l'État chrétien fut en danger. . . l'entrée du Juif dans la société (blanche) marque la destruction de l'État, et par État, il faut entendre l'État chrétien.102 »

Donc, si les idéaux, valeurs, lois et religion d'Ésaü-Édom (Juifs) deviennent prédominants dans un pays, alors la société blanche chrétienne mourra et sa population sera assujettie aux Juifs et à ses voies. Dans les 200 dernières années, Ésaü a progressivement brisé le joug de domination de la race blanche dans ces domaines, devenant prédominant dans ceux-ci. Notre société débauchée est une évidence à tout ceci, comme le disait Henry Ford : « Il est vrai qu'il y a une 'idée juive' distincte dans les affaires et dans la vie professionnelle, qui a progressivement éliminé les principes traditionnels d'honneur sur lesquels la vie des Anglo-saxons était construite. Chaque Juif sait cela, chaque non-Juif le sait. . . . Il est vrai que derrière tout le réseau d'influences en littérature, art, politique, économie, mode et sport, existe une influence juive contrôlée par des groupes juifs. Leur orientalisme a servi comme un poison subtil pour polluer et dessécher le sain sérum de la moralité anglo-saxonne sur laquelle ce pays a fleuri dans ses années de jeunesse.103 »

Contrôle Économique

L'histoire de la monnaie et du contrôle monétaire est une histoire de liberté et d'esclavage – c'est-à-dire, de joug économique ou de liberté économique. Les Juifs sont depuis longtemps adeptes de moyens directs pour mettre les peuples sous esclavage économique via le système bancaire, le prêt d'argent et l'usure. L'utilisation et le contrôle de la monnaie – le prêt à intérêt - est un outil puissant pour obtenir une domination financière sur les autres. Non seulement « l'emprunteur est l'esclave du prêteur » (Proverbes 22:7), à cause de la dette qu'il a contractée, mais il doit encore payer plus qu'il n'a emprunté. En rendant le paiement de la dette plus difficile, le prêteur peut prendre possession des avoirs que l'emprunteur a mis en gage.

102 Bernard Lazare, Antisemitism: Its History and Causes, p. 162. 103 The International Jew: The World's Foremost Problem, Dearborn Publishing Co., 1922, Dearborn, Mich., Vol. IV, pp. 224225.

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Le Talmud juif permet l'utilisation de l'usure en reconnaissant plusieurs façons d'obtenir une « augmentation » d'intérêt sur l'argent prêté 104. La Bible, par contre, interdit tout intérêt, augmentation ou gain lors du prêt d'argent, de nourriture ou de toute autre chose (Deut. 23:19; Lév. 25:37). Les Juifs ne suivent pas la Bible mais le Talmud pour leur code dans la vie. L'écrivain Juif Samuel Roth explique le rôle économique des Juifs comme suit : « Nous voyons le Juif dans les affaires, comme promoteur, prêteur d'argent, vendeur par excellence, l'auteur et l'instigateur en chef de systèmes de crédit par lesquels une usure à l'échelle nationale se crée comme un Golem (un monstre créé) avec un million de mains sur un million de gorges, pour étrangler l'honneur et la liberté de mouvement d'un peuple laborieux.105 »

Les Juifs devinrent des usuriers dans la majorité de l'Europe, prêtant aux nations, princes, marchands et fermiers – quiconque ayant besoin d'argent. Le mot Juif devint synonyme d'usurier et de prêteur.

La vraie clé du pouvoir économique juif sur les nations et d'un système plus efficace d'usure et de crédit est leur Dynastie de Banques Internationales. Ce complot commença en Angleterre lorsque les Juifs, conduits par Rabbi Manasseh ben Israël, furent autorisés à revenir dans cette nation en 1657, en conspirant avec Oliver Cromwell106. Leur pied dans la porte, les Juifs

104 Voir : The Jewish Encyclopedia, 1905, Vol. XII, p. 389. Dans le Talmud, il est déclaré : « Il est permis de voler un Gentil et de faire de l'usure avec lui » (Baba Kama, 113a). 105 Samuel Roth, Jews Must Live, p. 123. 106 Les Juifs furent expulsés d'Angleterre en 1290 par le roi Edward I. Quand le plan de réadmission des Juifs fut discuté, « les préjugés anti-Juifs étaient devenus forts, et le Conseil ne voulut pas y consentir (1654) ». Et aussi, « les intérêts mercantiles et le clergé uni dans l'opposition » ne voulurent pas des Juifs. Il fallut trois ans à Cromwell pour vaincre l'opposition et faire entrer les Juifs. The Jewish Encyclopedia, Vol. IV, p. 366-368.

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internationaux approchèrent Guillaume d'Orange et lui promirent de l'aider à le placer sur le trône d'Angleterre, en échange de les aider à mettre en place une charte pour établir une Banque d'Angleterre. Un Juif nommé Jacob Enriques fut l'instrument de cette aventure. Guillaume et Mary acceptèrent le trône en 1689, mais pour justifier la charte bancaire, des guerres entre la France et l'Angleterre furent dès lors instiguées : « Les guerres constantes qui suivirent l'accession de Guillaume au trône obligèrent le roi à emprunter de larges sommes aux marchands de Londres (Juifs). De ces emprunts naquit d'abord la Dette Nationale, destinée à grandir par sauts et bonds successifs, de moins de un million de livres jusqu'à des centaines de millions de livres, de telle sorte que toute espoir de pouvoir jamais la rembourser est maintenant abandonné. Le second résultat fut l'organisation d'une compagnie destinée à la gestion de cette dette colossale – la Banque d'Angleterre.107 »

Les marchands juifs assurèrent la charte bancaire en 1694. À partir de ce moment Ésaü-Édom avait la domination financière sur toute l'Angleterre. En tant que directeurs de la Banque, ils pouvaient réguler le cours de l'or, consolider la dette nationale et même imposer une taxation directe sur le peuple comme moyen d'assurer les emprunts. Grâce au contrôle de cette Banque, les Juifs pourraient créer des guerres, des paniques financières et des crises politiques qui affecteraient le monde entier. L'existence de ce système bancaire moderne, c'est-à-dire le dépôt de monnaie et le prêt d'argent à intérêts, donna lieu finalement à la naissance de la dynastie juive de la famille Rothschild. « La carrière financière des Rothschild est la clé de l'histoire de la Banque Juive au 19ème siècle . . . Le plan adopté par lui d'établir des branches dans les plus importantes capitales européennes, dans lesquelles il plaça ses fils, fut suivie par d'autres maisons bancaires juives . . . l'influence des Juifs dans la banque . . . était due aux avantages préliminaires qu'ils avaient grâce à leur position internationale.108 »

D'autres banques centrales furent établies en Europe qui firent grandir le réseau de leurs opérations. « Warburg fonda une banque à Hambourg en 1798 . . . Les banquiers juifs jouèrent une part importante dans le développement des banques par actions. Ludwig Bamberger et Herman Markuse étaient parmi les fondateurs de la Deutsche Bank (1870) . . . Parmi d'autres banques juives importantes était la Banque de Paris (1872) . . . Les banquiers juifs

107 D.H. Montgomery, The Leading Facts of English History, Boston: Ginn & Co., 1893, 2ème édit., p. 288. 108 The Jewish Encyclopedia, 1902, Vol. II, p. 492-493. Les autres familles juives ayant adopté le plan des Rothschild pour établir des branches bancaires locales dans les cités européennes incluent : les Lazard, Stern, Speyer, Seligman, Warburg et Loeb.

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jouèrent une part cruciale dans la fondation de la Banca Commerciale Italiana et de la Credito Italiano . . . Les banques privées les plus importantes en Hongrie étaient d'origine juive.109 »

L'objectif juif était de faire en sorte que toutes les transactions d'argent, de prêt, de crédit et de finances à travers le monde soient sous leur contrôle centralisé. Le couronnement d'Ésaü par le gain du pouvoir financier sur Jacob eut lieu avec l'établissement du Federal Reserve Act, signé par le laquais des Sionistes, Woodrow Wilson, le 23 décembre 1913. L'architecte en chef de ce plan était le Juif édomite Paul Warburg de la Kuhn-Loeb and C°. La législation créa une corporation, la Federal Reserve Bank, dont les stocks sont contrôlés par les firmes bancaires juives110. Avec le système de la Federal Reserve, les Édomites ont la possibilité de créer leur propre « monnaie » (Federal Reserve Notes et entrées dans leurs livres bancaires), simplement en la prêtant et en la mettant en « circulation », et peuvent donc manipuler les emprunts et les taux d'intérêts. Le peuple Blanc d'Amérique est maintenant assujetti à ses maîtres édomites qui ont créé leur « monnaie », leur permettant d'acheter et de vendre avec cet argent, mais surveillant combien ils reçoivent (formulaires de déclaration de revenus, etc.) et les taxant sur le privilège de pouvoir utiliser ce système! L'IRS (« Internal Revenue Service », ou Bureau des Taxes) n'est qu'une agence de collecte pour le système édomite de la Federal Reserve Banking. Si une quelconque force étrangère voulait prendre secrètement le contrôle d'une nation, il n'y aurait pas de meilleur méthode que de supplanter la monnaie nationale par la leur. Comme le président James Garfield le déclara : « Qui contrôle le volume de monnaie d'un pays quelconque est le maître absolu de toutes ses industries et de son commerce. » C'est exactement la situation existant avec la Federal Reserve Bank juive. Les descendants d'Ésaü ont réellement amené la « Marque de la Bête », de telle façon que « personne ne peut acheter ou vendre, sinon celui qui a la marque de la bête » (Rév. 13:16-17). Personne dans cette nation ne peut acheter ou vendre à moins d'utiliser la monnaie juive (notes de la Federal Reserve, cartes de crédit, chèques bancaires, etc.). Après que les Juifs édomites eurent établi leurs banques privées dans les nations individuelles, leur étape suivante fut de rendre plus solide leur contrôle financier au niveau international. À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, certains Juifs furent les fers de lance de la conférence de Bretton Wood dans le New Hampshire (1-22 juillet 1944). Des accords furent proposés pour l'établissement du Fond Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale. Ces accords étaient fondés sur les plans de l'économiste juif Harry Dexter White :

109 Encyclopedia Judaica, Vol. 4, « Banking and Bankers », pp. 174-76. 110 Le contrôle des stocks dans le Federal Reserve System est principalement tenu par huit banques juives internationales, incluant : (1) Rothschild Banks de Londres et Berlin. (2) Lazares Brothers Bank de Paris. (3) Israel Moses Seaf en Italie. (4) Warburg Bank de Hambourg. (5) Lehman Brothers de New York. (6) Kuhn, Loeb and Co. En Allemagne et New York. (7) Chase Manhattan (Rockefeller) Bank de New York. (8) Goldman-Sachs Bank de New York.

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« WHITE HARRY D. (1892-1948) : économiste U.S.. Né à Boston, Massachusetts . . . En 1938, White fut désigné directeur de la recherche monétaire. Ses propositions monétaires furent acceptées comme base de la Conférence de Bretton Woods, où les représentants de 44 nations participèrent111. »

Les Juifs ont toujours contrôlé les opérations du FMI et de la Banque Mondiale. Par eux, les taux d'intérêt, les emprunts, les valeurs monétaires et les pratiques d'échanges internationaux sont régulés, rendant les activités économiques de chaque nation sujettes aux Juifs par la voie de leurs devises financières. Leur objectif d'un « nouvel ordre économique international » fut rempli grâce à ces outils internationaux. Ésaü a donc maintenant la domination économique sur Jacob comme jamais auparavant.

Gouvernement et Contrôle Politique

Les traits et attributs opposés des deux personnages d'Ésaü et de Jacob indiquent que leur société, forme de gouvernement et culture seraient aussi différents et contraires que le sont ces deux personnages. Les principes de loi, justice et gouvernement hébreux furent adoptés par les peuples blancs européens et jamais par les Juifs. Nous trouvons donc implantés dans les nations blanches les principes de droit de propriété individuelle, un système de libre entreprise, de contrôle local de gouvernement et de lois et jugements bibliques. Les Juifs, par contre, ont historiquement promu les principes de démocratie, socialisme et communisme, tous contraires aux principes sains d'autogouvernance. La démocratie est en fait du socialisme caché sous les voiles du gouvernement républicain libre. Comme les démocraties portent facilement ce masque, sa nature insidieuse est indétectable pour la grande masse de la population, qui va aisément l'adopter. Ce concept politique n'est pas une institution américaine mais plutôt un stratagème juif. « Les tendances égalitaires de la religion et de la vie juives encouragèrent des sentiments démocratiques de tous temps . . . Au 19ème siècle, les Juifs d'Europe . . . poussèrent de tout leur poids, partout, du côté de la démocratie. Ils étaient donc actifs dans des mouvements de cette période, à la fois 'révolutionnaires' et constitutionnels, afin d'assurer l'établissement de gouvernements démocratiques dans tous les pays.112 »

111 Encyclopedia Judaica, Vol. 16, 1971, p. 481. 112 The New Standard Jewish Encyclopedia, 5ème édit., Geoffrey Wigoder éditeur, Doubleday & Co., New York, 1977, p.

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l'Amérique fut toujours connue comme une république, mais cela changea lorsque le pion des Juifs Woodrow Wilson devint président. « La constitution américaine se réfère uniquement à une 'forme républicaine de gouvernement'. Il fallut attendre jusqu'à l'administration de Woodrow Wilson (1913-21) pour que les U.S.A. soient désignés comme 'démocratie'.113 »

Wilson était un « avocat ardent de la démocratie », et « en de nombreuses occasions épousa des causes juives. La période de sa présidence, 1913 à 1921, fut marquée par la convocation de Juifs à de hautes positions114 ». Avec la venue de Woodrow Wilson en 1913, la domination du gouvernement américain par les Édomites juifs fit un pas de géant en avant. La tendance politique de Wilson vers une pure démocratie était contraire à ce que les hommes d'État du passé déclaraient. James Madison déclara que les démocraties étaient une forme très pauvre de gouvernement et qu'elles avaient toujours été « des spectacles de turbulence et de contention », et étaient « incompatibles avec la sécurité des personnes ou le droit à la propriété115 ». Les démocraties opèrent par « populocratie » ou règne des masses. C'est une tactique juive typique par laquelle ils incitent les masses à se mouvoir à l'unisson, comme des bouviers qui conduisent un troupeau de bétail. Tout ce que ça demande est un peu de bruit et d'agitation sur leur flanc droit pour qu'ils se meuvent sur la gauche. L'organisation juive Anti-Defamation League, dans une de leur récente brochure promotionnelle, déclare qu'elle est « dédicacée à la réalisation de la promesse d'une Amérique démocratique » et « confronte les menaces à la sécurité de la démocratie116 ». Démocratie, socialisme et communisme, tous oppriment les droits fondamentaux et les libertés, sont dangereux pour l'industrie et le commerce et sont instables par nature. Pour prouver que ces modes de gouvernement sont créés et promus par les Juifs, les citations suivantes devraient suffire : • National Geographic Magazine, Vol. XVIII, mai 1907, dit de la Révolution Russe que « . . . les chefs révolutionnaires appartiennent presque tous à la Race Juive, et l'agence révolutionnaire la plus efficace est le Bund Juif. » (p. 314)

541 113 The Universal Illustrated Encyclopedia, Banner Press, New York, 1978, p. 259. Il est notable également que l'on déclara combattre dans la 1ère Guerre Mondiale pour « rendre le monde plus sûr pour la démocratie ». À ce point de vue, cette guerre fut un vrai succès. 114 The Universal Jewish Encyclopedia, Vol. X, 1945, p. 526. 115 James Madison, The Federalist Papers, n° 10. 116 Jack J. Zurofsky, la brochure de l'ADL de mai 1991.

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The American Hebrew, 10 septembre 1920, déclare : « La Révolution Bolchevique en Russie était le travail de cerveaux juifs, du mécontentement juif, de planification juive, dont le but est de créer un nouvel ordre dans le monde. » Martin A. Meyer dans son livre Jew and Non-Jew (publié par la Union of American Hebrew Congregation) déclare que « le socialisme trouve ses origines chez les Juifs; et aujourd'hui les Juifs jouent un rôle important dans sa propagation et son interprétation. » Dans la Jewish Encyclopedia de 1905, Vol. XI, il est déclaré que : « Les Juifs ont été identifiés comme les figures proéminentes dans les mouvements socialistes depuis leur tout début. » (p. 418) Le Juif Chaïm Weismann déclare : « Les Juifs sont debout avec la Grande-Bretagne et se battront aux côtés des démocraties. » The Universal Jewish Encyclopedia, Vol. 2, p. 49 The Universal Encyclopedia, Vol. IX (1943) sous « Soviet Russia », déclare : « La majorité des Juifs radicaux adhèrent au socialisme démocratique. » (p. 668) Le Juif Stuart Kahan dans Wolf in The Kremlin, 1987, écrit : « Après tout, est-ce que la révolution n'était pas préparée et mise en place par des Juifs? Les deux grand-pères de Karl Marx étaient des rabbins, et le grand-père de Lénine était aussi un Juif. Et est-ce que Yakov (Jacob) Sverdlov, le premier chef de l'État, n'était pas un Juif, comme Trotsky (Bronstein) lui-même? » (p. 81) Le rabbin Stephen S. Wise est cité dans The American Bulletin du 15 mai 1935, comme déclarant : « Certains l'appellent Marxisme – je l'appelle Judaïsme. » The Jewish Chronicle du 4 avril 1919, imprime : « Que tellement de Juifs soient bolcheviques est d'une grande signification, ainsi que dans le fait que les idéaux du Bolchevisme soient en bien des points en consonance avec les plus fins idéaux du Judaïsme. » Georges Marlen dans son livre Stalin, Trotsky, or Lenin (1937), déclare : « Si la vague de l'Histoire ne se tourne pas dans le sens de l'Internationalisme Communiste, alors la race juive est condamnée. » (p. 414) Harry Waton dans A Program for the Jews and an Answer to all Anti-Semites (1939), écrit : « Ce n'est pas un accident que le Judaïsme a donné naissance au Marxisme et ce n'est pas un accident que les Juifs se soient immédiatement emparés du Marxisme. Tout cela est en parfait accord avec le progrès du Judaïsme et les Juifs. » (p. 148)

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C'est l'inclination naturelle des Juifs de rejeter tous les aspects divins ou bibliques de formes de gouvernement et d'en promouvoir des formes athées et humanistes, telles que la démocratie, le socialisme et le communisme117. Ces concepts politiques sont nés des philosophies talmudique et babylonienne de gouvernance, dont le but est le contrôle total et la tyrannie. Les Édomites, tout comme les Judahites qui restèrent à Babylone après la captivité, furent exposés aux voies et lois babyloniennes de gouvernement. Ces deux groupes forment une partie

117 Les gouvernements formés par les Juifs peuvent porter d'autres noms, tels que Sociale-démocratie, le nom du régime draconien sous Lénine.

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significative des Juifs modernes. Il devrait être pleinement évident que presque toute forme de gouvernement sur Terre est soit une démocratie, un état socialiste ou un régime communiste. Peu importe laquelle de ces trois formes, puisque toutes les trois sont d'origine et sous contrôle juifs. Ce n'est pas accidentel mais pour Ésaü c'est un plan nécessaire pour obtenir sa domination. Non seulement nos gouvernements sont le produit de la manipulation juive mais nos dirigeants politiques ont succombé à leur pouvoir. Les dirigeants partout dans le monde sont devenus des poupées des Juifs et des hommes « oui-oui », tant ils cèdent et se prostituent au pouvoir juif du porte-monnaie. D'autres doivent obligation aux Juifs pour leur poste. Mais les Juifs s'assurent toujours de prendre les hommes les plus couards et les plus traîtres pour les mettre aux postes politiques, ou bien ceux qui possèdent l'état d'esprit juif de subversion et de révolution.

Le contrôle que les Juifs possèdent sur les dirigeants politiques les ont mis virtuellement à la tête de toutes les nations. En Amérique, les Juifs ont eu une influence sur tous les présidents et la plupart des députés depuis Woodrow Wilson. Certains d'entre eux ont reçu leurs ordres directement de Juifs à l'intérieur ou à l'extérieur du gouvernement. Parmi ces Juifs on trouve : Paul Warburg, Henry Morgenthau, Bernard Baruch, Robert Straus, Herbert H. Lehman, Eugene F. Meyer, les juges Brandeis et Cardoza, le rabbin Stephen A. Wise, Felix Frankfurter, Henry Kissinger et beaucoup d'autres. Dès 1920, une importante influence juive dans les gouvernements fut notée par Henry Ford : « Les Juifs, une minorité politique en terme de votes, étaient une majorité politique en

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terme d'influence durant les cinq dernières années. Ils régnèrent. Ils se vantent qu'ils régnèrent. La marque de leur prédominance est partout.118 »

Les juifs, dans beaucoup de nations Blanches, ont formé des groupes de pression politique dont les influences et le pouvoir sont sans pareils. En Amérique, le Lobby Juif possède 125 comités d'action politique (Political Action Committee, PAC), dont l'influence politique est cachée au public. Ces PAC's sont contrôlés par l'American-Israël Public Affairs Committee (AIPAC), qui est une branche de l'ambassade israélienne à Washington. L'AIPAC est donc un lobby pour un gouvernement étranger! Ces PAC's juives peuvent faire élire des politiciens pro-Israéliens, peuvent faire tomber des politiciens pro-américains et chrétiens, manipuler les politiques étrangères, contrôler l'immigration, passer des législations et faire pression sur les députés pour les faire voter comme ils l'entendent. En fait, le Congrès est un corps législatif judaïque. Georges Washington dit un jour que « Le gouvernement est une force ». Notre problème aujourd'hui, pour faire court, est que les Édomites possèdent le contrôle et la domination sur nos gouvernements et brandissent maintenant cette force à leur avantage et à notre désavantage, pour leur bénéfice et à notre détriment.

Le Gouvernement Mondial d'Édom

Jacob, en tant qu'héritier du droit d'aînesse, avait le droit d'avoir « dominance sur la Terre » et avait la promesse que ses descendants se répandraient sur toute la planète (Gen. 28:14), devenant une « multitude de nations » (Gen. 48:4, 19). Le plan d'Édom pour contrer cette promesse est de créer un gouvernement mondial sous son contrôle. Une fois que toutes les nations deviendront des démocraties, des états socialistes ou des régimes communistes, le pas sera facile à franchir pour rassembler ces nations sous un contrôle global et planétaire. Pour atteindre ce gouvernement mondial, certains moyens doivent être procurés à travers lesquels ce gouvernement pourra être administré et mis en place. Ce véhicule s'appelle les Nations-Unies – c'est l'instrument principal dans le gouvernement mondial. Les Nations-Unies (comme la Ligue des Nations avant elle) est un plan et un concept juif, il fut promu et supporté par des Juifs et il sert les buts des Juifs et des Sionistes. Deux ans après l'établissement des Nations-Unies, le Juif David Ben-Gourion déclarait : « Notre politique (juive) doit être l'unité de la race humaine. Le monde est divisé en deux blocs. Nous considérons que l'idéal des Nations-Unies est un idéal juif.119 »

118 The International Jew, Vol. I, p. 209. 119 Time Magazine, août 1948, p. 25.

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Quand une nation devient un membre des Nations-Unies, elle abandonne sa souveraineté et son statut indépendant. Elle devient alors sujette aux lois internationales d'Édom et n'est plus libre de décider de sa propre destinée. Ceci fut rendu évident lors des événements de la Guerre du Golfe (Desert Storm). Les États-Unis n'agirent pas en accord avec un acte du Congrès ou conformément à sa Constitution, mais par une résolution de l'O.N.U. L'Amérique n'est pas une nation souveraine, elle est sujette aux dictats des Nations-Unies contrôlées par les Édomites. Le Programme Mondial que l'O.N.U. suit est un programme juif. « Les perspectives politiques de la juiverie sont la direction mondiale dans le sens matériel. La juiverie est une nation mondiale. C'est çà, et rien d'autre, qui donne leur signification à ses programmes financiers, éducatifs, propagandistes, révolutionnaires et immigratoires.120 »

Au premier plan de ce plan global on trouve la guerre aux nationalismes, qui sont la plus grande menace et l'obstacle principal pour les Juifs dans leur plan mondial ultime. La propagande contre les indépendances nationales et les souverainetés est donc toujours lancée par les Juifs. Aucun autre groupe de personnes ne serait motivé contre le nationalisme puisque tout le monde a toujours eu sa propre nation. Par contre, le Juif est un « citoyen du monde ». La domination mondiale a depuis longtemps été un plan juif. Ceci est visible dans leur mouvement sioniste, qui est une part de l'idéal juif de conquête du monde. Ce plan fut rendu explicite par le Juif et membre du C.F.R. James P. Warburg, lors d'un témoignage devant le Comité Sénatorial pour les Relations Étrangères le 17 février 1950 : « Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La seule question est de savoir si ce Gouvernement Mondial sera atteint par conquête ou par consentement. »

Le Juif Baruch Levy, au milieu du 19ème siècle, avait clairement exprimé les buts ultimes des Juifs : « Le peuple juif dans son ensemble sera son propre Messie. Il atteindra la domination mondiale par la dissolution des autres races, l'abolition des frontières, l'annihilation de la monarchie et par l'établissement d'une république mondiale dans laquelle les Juifs exerceront partout le privilège de la citoyenneté. Dans ce nouvel ordre mondial, les Juifs fourniront tous les dirigeants sans rencontrer d'opposition. Les gouvernements des différents peuples formant la république mondiale tomberont sans difficulté dans les mains des Juifs. Il sera dès lors possible pour les dirigeants juifs d'abolir la propriété privée et d'utiliser partout les ressources de l'état. Ainsi le but du Talmud sera accompli, dans lequel il est dit que quand les temps messianiques seront venus, les Juifs auront entre leurs

120 The International Jew, Vol. III, p. 178.

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mains toute la propriété du monde.121 »

Les Juifs n'attendent pas de Messie et ne croient pas qu'aucun Messie ait jamais existé. Ils sont plutôt eux-même leur propre Messie, et ce Messie, croient-ils, dirigera un jour le monde.

Le Temps de la Détresse de Jacob

Jacob perdant sa domination et Ésaü prenant le pouvoir sur lui marque le début de cette période prophétisée dans la Bible sous le nom de « temps de la détresse de Jacob » (Jér. 30:7). La domination d'Ésaü ne peut exister qu'à la défaveur de la religion et du statut d'Israël. Cette scène dramatique a amené un système comme celui de la « Mystère Babylone » décrite dans la Révélation, 17:5. À la différence des afflictions et des captivités du passé, cette servitude n'est pas physique ni évidente mais un « mystère », à cause du mode de couverture du contrôle. C'est ce que certains ont appelé le « gouvernement invisible ». Cela prendrait en fait plusieurs volumes pour discuter le pouvoir juif dans les domaines discutés. On pourrait parler de beaucoup d'autres domaines dans lesquels l'influence et la domination juives sur les nations blanches chrétiennes existent (par ex. la religion, les médias, la culture, les lois et l'éducation). La façon dont les Juifs ont pris le pouvoir dans ces activités a été un « mystère » pour la plupart des gens, mais comme le Juif Marcus Eli Ravage le déclare, ce pouvoir est une réalité : « Vous (les Chrétiens) faites beaucoup de bruit et de remue-ménage sur l'influence juive indue dans vos théâtres et dans vos salles de cinéma. Très bien. Disons que vos complaintes sont bien fondées. Mais qu'est-ce que cela représente à côté de notre prodigieuse influence dans vos églises, vos écoles, vos lois et vos gouvernements, et sur toutes les pensées qui vous viennent à l'esprit chaque jour? . . . Nous vous avons pris par la main et avons tiré vers le bas les généreuses et belles structures que vous avez conçues et nous avons changé le cours entier de votre histoire. Nous vous avons conquis comme jamais vos empires n'ont subjugué l'Afrique ou l'Asie. Et nous l'avons fait sans armée, sans balle, sans verser de sang ou faire de tumulte, sans utiliser de force d'aucune sorte. Nous l'avons fait uniquement par la puissance irrésistible de nos esprits, par des idées, par de la propagande.122 »

La gouvernance et la domination d'Israël devait faiblir lors de la transgression des Lois divines « l'étranger sera la tête, et vous serez la queue » (Deut. 28:44). Nous devons donc nous demander qui a le pouvoir sur qui, dans ce monde? C'est la race blanche qui perd son pouvoir et sa

121 Baruch Levy (tiré d'une lettre à Karl Marx), La Revue de Paris, p. 574, 1 juin 1928. 122 The Century Magazine, janvier 1928, Vol. 115, n°3, p. 347-48.

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souveraineté sur les Juifs édomites. C'est la race blanche qui a été mise sous esclavage financier par le système monétaire juif. C'est la race blanche qui doit vivre à présent sous des lois et des gouvernements juifs. C'est les nations blanches (Allemagne, Amérique, Angleterre) que les Juifs ont trompées lorsque nous leur avons donné de l'argent, de la technologie et de l'aide pour supporter leur état bâtard anti-chrétien en Palestine. Et c'est nos dirigeants politiques qui sont contrôlés par des conseillers juifs et des groupes d'influence. Tout cela est du aux héritages des deux races. Deux grandes forces ont combattu pour la domination dans ce monde. Les Juifs édomites ont gagné le pouvoir et ont brisé le joug que la race blanche avait mis sur leur cou, comme il fut prophétisé que cela se passerait avec Ésaü et Jacob.

7. La Revanche d'Édom

La haine perpétuelle et continue d'Ésaü-Édom et sa jalousie envers Jacob devait inévitablement se traduire en actions contre celui-ci pour se venger. Ces actions de vengeance seraient dirigées contre tout ce qui concerne Jacob – contre sa société, sa civilisation, ses gouvernements, sa vie, la vie de ses enfants, et contre son Dieu.

La Guerre d'Ésaü contre Jacob

Le script divin assigne à Ésaü-Édom ou Édomites le rôle de guerrier. C'est révélé dans le prophétie d'Isaac sur Ésaü disant : « En par tu vivras par ton épée » (Gen. 27:40). L'épée est souvent utilisée dans les Écritures comme symbole de guerre et de massacre 123. Le cheval rouge de la Révélation 6:4 en est un exemple. Sur qui dont Ésaü voudrait-il utiliser son épée ou amener la guerre? Sur celui qu'il hait et sur lequel il veut prendre sa revanche, Jacob-Israël. C'est Jacob qu'Ésaü voulait tuer lorsque les bénédictions et le droit d'aînesse lui furent pris : « Et il dit : N'est-ce pas qu'on a appelé son nom Jacob? Et il m'a supplanté ces deux fois : il a pris mon droit d'aînesse; et voici, maintenant il a pris ma bénédiction! Et il dit : Ne m'astu pas réservé une bénédiction? Et Ésaü eut Jacob en haine, à cause de la bénédiction dont son père l'avait béni; et Ésaü dit en son coeur : Les jours du deuil de mon père approchent, et je tuerai Jacob, mon frère.124 »

123 Comme illustré dans : Lév. 26:6, 25; Psa. 63:10; Ézéchiel 21:3; etc... 124 Genèse 27:36, 41

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La perte de son droit d'aînesse et les bénédictions de Jacob devinrent la base du complot pour tuer son frère. À un moment, Ésaü dit à son fils « prends ton épée dans ta main et poursuis Jacob, et surveille-le, et tue-le avec ton épée » (Jasher 29:31). Ésaü fut en colère lorsque ce plan faillit. Des années plus tard, quand Jacob entra dans le pays d'Ésaü, il pria Dieu de : « délivre-moi des mains d'Ésaü : car je le crains, de peur qu'il ne vienne et ne me frappe » (Gen 32:11). En apprenant l'arrivée de Jacob, Ésaü arma 400 hommes pour combattre contre Jacob. Mais « Le Seigneur mit de la peur et de la douceur envers Jacob dans les coeurs d'Ésaü et de ses hommes » (Jasher 32:57). La première fois que les descendants d'Ésaü (les Amalékites) rencontrèrent les descendants de Jacob (Israël), les descendants d'Ésaü « combattirent contre Israël » sans raison (Exode 17:8). Quand les Israélites se dirigèrent vers le pays de Canaan lors de leur périple, ils rencontrèrent de nouveau les Édomites. Ceux-ci refusèrent à Israël le passage sur leur terre et menacèrent d'utiliser l 'épée sur eux : « Et Édom lui dit : Tu ne passeras pas chez moi, de peur que je ne sorte à ta rencontre avec l'épée.125 »

Édom fut l'adversaire et l'ennemi d'Israël tout le long de l'Ancien Testament. Lorsque Saül était roi d'Israël, les Édomites étaient vus comme l'un des ennemis contre lesquels il avait combattu (1 Sam. 14:47). Ils continuèrent à être l'ennemi de David, mais celui-ci parvint finalement à conquérir le pays d'Édom, à y mettre des garnisons et à faire de « tous les Édomites les serviteurs de David » (1 Chron. 18:13). Comme il était prédit par Dieu - « le plus âgé (Ésaü) servira le plus jeune (Jacob) » (Gen. 25:23). C'était l'ordre naturel des choses dans le plan divin pour le monde. Pendant le règne de Josaphat de Juda, les Édomites joignirent leurs forces aux Ammonites et aux Moabites afin d'envahir et de conquérir Juda. Mais les plans d'Édom furent ruinés par Dieu lorsqu'Il fit en sorte que les Ammonites et les Moabites se retournèrent contre les Édomites et les tuèrent (2 Chron. 20:1-23). Lors du règne du fils de Josaphat, Joram, les Édomites se révoltèrent contre le joug de Juda et mirent sur le trône leur propre roi (2 Rois 8:20-22). Quand Amatsia devint roi il fut capable de supprimer la révolte et supprima 10.000 Édomites, et 10.000 autres furent emmenés et jetés du haut d'une falaise (2 Rois 14:7; 2 Chron. 25:11). Grâce aux bénédictions du droit d'aînesse qu'Israël possédait maintenant, ils purent aisément prévaloir sur Édom et faire d'eux un état vassal. Ces événements ne firent qu'accroître la rancoeur d'Édom et augmentèrent encore son désir de revanche.

125 Nombres 20:18

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Le scénario divin nous révèle qu'Édom continuera sans cesse d'essayer de tuer Jacob-Israël par l 'épée ou par la guerre par vengeance de la perte de son droit d'aînesse sur Jacob. Ce désir de guerre contre Jacob est révélé dans la condamnation de Dieu contre le mont Séhir, la nation édomite : « Fils d'homme, tourne ta face contre la montagne de Séhir, et prophétise contre elle, Parce que tu as eu une haine perpétuelle, et que tu as livré les fils d'Israël à la puissance de l'épée, au temps de leur calamité, au temps de l'iniquité de la fin126 »

C'est Édom la Rouge qui désire tuer les Israélites. Les motifs de cette guerre contre Israël se voient encore dans la scène de la guerre du Grand Dragon Rouge contre les Chrétiens : « Et le dragon fut irrité contre la femme (Israël), et s'en alla faire la guerre contre le résidu de la semence de la femme, ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus-Christ.127 »

Dans la Révélation 17:6, nous trouvons aussi la bête rouge ou écarlate de Mystère Babylone, qui est contrôlée par la femme en rouge ou écarlate, une guerre contre les saints de Dieu : « Et je vis la femme enivrée du sang des saints, et du sang des témoins de Jésus; et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement. "

L'apôtre Jean était complètement saisi d'effroi et stupéfié en voyant le grand nombre de Chrétiens qui avaient été tués par cette femme en rouge contrôlant la bête rouge. Qui est donc celui qui fut derrière toutes ces guerres dans la Chrétienté, pendant tous ces siècles? Ne serait-ce pas le Juif International? Il est très efficace pour inciter aux factions et aux guerres. Leurs propres écrits le disent clairement. Par exemple, le rabbin Reichorn, discourant aux funérailles du grand rabbin Simeon Ben-Iudah, en 1869, déclara : « Grâce au terrible pouvoir de nos banques internationales, nous avons forcé les Chrétiens dans des guerres sans nombre. Les guerres ont une valeur spéciale pour les Juifs, car les Chrétiens s'y massacrent l'un l'autre et font de la place pour nous, les Juifs. Les guerres sont la moisson des Juifs : les banques juives s'engraissent des guerres chrétiennes. Plus de 100 millions de Chrétiens ont disparu de la surface de la Terre par des guerres, et c'est loin

126 Ézéchiel 35:2, 5 127 Révélation 12:17

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d'être fini.128 »

Les Juifs fomentent des guerres par pure haine envers le peuple blanc, car comme le dit un Juif, la « doctrine » des Juifs n'est pas celle du « pardon », mais la « doctrine de la vengeance »129. L'influence continue de la vengeance juive sur la civilisation blanche est révélée aussi par le Juif Marcus Eli Ravage, s'adressant aux Chrétiens dans une série d'articles du Century Magazine : « Vous n'avez pas encore commencé à apprécier la vraie profondeur de notre culpabilité. Nous sommes des envahisseurs. Nous sommes des corrupteurs. Nous vous avons pris votre monde naturel, vos idéaux, votre destinée et les avons bouleversés. Nous avons été à la source, non seulement de la dernière guerre (Première Guerre Mondiale), mais de pratiquement toutes vos guerres et révolutions de votre histoire. Nous avons amené la discorde et la confusion et la frustration dans vos vies privées et publiques. Nous le faisons toujours aujourd'hui. Personne ne peut dire combien de temps nous continuerons à le faire. Qui sait quelle grande et glorieuse destinée aurait été la vôtre si nous vous avions laissé tranquilles.130 »

Avec sa « domination » atteinte, Édom possède maintenant les moyens d'assouvir sa vengeance sur ceux qu'il hait et qui pourraient menacer cette domination – Israël, ou les nations blanches. Après la Première Guerre Mondiale, en 1918, le Comte Mensdorf, l'ambassadeur juif autrichien en Angleterre disait : « Israël (les Juifs) a gagné la guerre, nous l'avons créée, fleuri sur elle, profité d'elle. C'était là notre suprême revanche sur le Christianisme. »

Grâce au puissant pouvoir des banques qu'ils contrôlent et aux fils attachés aux dirigeants des gouvernements qu'ils dirigent, les Juifs ont régulièrement plongé, à volonté, les nations blanches dans des guerres. C'est vrai depuis que les Juifs ont assis leur domination à la fin du 17ème siècle, comme le dit un Juif : « Ce furent les juifs qui, les premiers, permirent aux rois de maintenir une armée coûteuse de mercenaires. En Espagne, ce fut largement grâce à la finance juive que le roi put défaire les Arabes.131 »

Le script que Dieu a écrit pour cette planète a assigné au personnage d'Ésaü-Édom le rôle de

128 Henry Ford nota également que : « Ce fut un Juif qui dit : 'Les guerres sont la moisson du Juif'; mais aucune moisson n'est aussi riche que la guerre civile ». The International Jew, Vol. III, p.180. 129 Maurice Samuel, You Gentiles, p. 30. 130 Century Magazine, Vol. 115, n°3, janvier 1928, pp. 347-48. 131 Abram Leon, The Jewish Question, Pathfinder Press, 1950, p. 166.

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destructeur et d'ennemi de Jacob-Israël, comme révélé par le prophète Joël : « Édom sera un désert désolé, à cause de leur violence contre les fils de Juda, parce qu'ils ont répandu du sang innocent dans leur pays.132 »

Édom est une partie intégrante du système de la bête rouge qui apporte tellement la mort et la tribulation, tellement qu'elle détruirait même les élus de Dieu (restant de Jacob) si elle n'était pas arrêtée (Mathieu 24:21-22). Quel peuple a joué ce rôle destructif dans le monde? Aucun autre que les Juifs, comme ils l'admettent audacieusement : « Nous sommes des destructeurs en tout . . . Nous, Juifs, nous, les destructeurs, nous resterons des destructeurs pour toujours. Rien de ce que vous ferez ne satisfera nos besoins et nos demandes. Nous détruirons pour toujours parce que nous avons besoin d'un monde à nous.133 »

Ce n'est pas par accident mais par plan divin que les traits méchants et diaboliques de destruction et de meurtre par vengeance ont été instillés dans le peuple connu sous le nom de Juifs. « Est-ce surprenant que le Judaïsme doit devenir l'élément destructeur et de fermentation dans les pays qui l'ont toujours méprisé et persécuté? Cette facilité spéciale pour l'intrigue, le stratagème, les conspirations, et cette attente patiente, presque troublante, pour l'heure de la revanche sans faille, sont toutes des caractéristiques du peuple élu (les juifs).134 »

Le docteur Oscar Levy, un Juif, dans la préface du livre The World Significance of the Russian Revolution (1920), exprime aussi le trait juif destructeur : « Il n'y a pratiquement pas d'événement dans la moderne Europe qui ne peut être relié aux Juifs. Prenez la Grande Guerre (PGM) . . . les Juifs ont fabriqué cette guerre! . . . Nous (Juifs) qui avons posé comme les sauveurs du monde . . . nous ne sommes aujourd'hui que les séducteurs du monde, ses destructeurs, ses incendiaires, ses bourreaux. . . .Nous avons finalement réussi à vous plonger dans un nouvel enfer.135 »

Les voies destructrices des Juifs et leur propension pour tuer des Chrétiens ne devraient pas

132 Joël 3:19 133 Maurice Samuel, You Gentiles, p. 155 134 Prof. F. A. Ossendowski, The Nineteenth Century and After, London, janvier 1926, p. 29. 135 Cité de : The International Jew, pp. 184-87.

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être une surprise, puisque leur propre guide de loi et religion – le Talmud – apprend et tolère de tels actes. En voici quelque extraits : • • Tu le tueras certainement (le Gentil). Tu le frapperas sûrement avec des pierres pour le tuer (Abodah Zara 4b). Pour le meurtre, qu'il soit d'un goï ou bien d'un Juif par un goï, une punition est requise; mais le meurtre d'un goï par un Juif ne requiert pas de punition (Sanhédrin 57a; Abodah Zara 13b). Les Chrétiens, les informateurs et les apostats peuvent être jetés dans un puits, et ne doivent pas être secourus (Abodah Zara 26b). Un goï qui étudie la Loi mérite la mort (Sanhédrin 59a). Il est certain que notre captivité durera aussi longtemps que les princes des Gentils ne seront pas détruits (Zohar I, 219b). Même le meilleur des goyim doit être tué (Abodah Zarah 26b, Tosephoth). Le taux de naissance des Chrétiens doit être matériellement diminué (Zohar II, 64b). Prenez la vie des Gentils et tuez-les et vous plairez à Dieu comme quelqu'un qui lui offre de l'encens (Sepher Or Israel 117b). Les Juifs sont innocents d'un meurtre si l'intention était de tuer un Chrétien (Makkoth 7b). Les disciples du Christ sont jugés au tribunal et exécutés (Sanhédrin 43a).

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On trouve encore beaucoup d'autres enseignements semblables dans le Talmud et autres écrits juifs qui regardent le goï ou non-Juif (Chrétien) comme un simple animal. Tuer les Chrétiens, spécialement les « meilleurs d'entre eux », a depuis longtemps été une occupation des Juifs. La même accusation a été faite par le Christ contre les prédécesseurs des Juifs – les Judahites hérétiques et les Pharisiens. Le Christ dit d'eux : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez faire les convoitises de votre père. Lui a été un meurtrier dès le commencement, et il n'a pas persévéré dans la vérité, car il n'y a pas de vérité en lui.136 En sorte que vous êtes témoins contre vous-mêmes et que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes. En sorte que vienne sur vous tout le sang juste versé sur la terre, depuis le sang d'Abel le juste, jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l'autel.137 »

Qui a tué Abel? Caïn le fit, et quoiqu'il fut un adamique, ses descendants ne le sont pas. Qui a

136 Jean 8:44 137 Mathieu 23:31, 35

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tué Zacharie? Les habitants de Jérusalem (2 Chron. 24:20-21), et ils tuèrent aussi les prophètes (Mathieu 23:37). Ils furent emmenés à Babylone et furent ramenés pour être condamnés et rejetés par Christ. Leur destin était scellé de telle façon que « votre maison vous est laissée déserte » (verset 38), et ils étaient destinés à se mélanger avec des peuples non-adamiques. La perte de l'héritage adamique fut leur punition pour meurtre. Les « Juifs » d'aujourd'hui, par métissage, possèdent le sang corrompu de ces lignées maudites et rejetées de la race adamique. C'est pourquoi il n'y a pas de différence entre les Pharisiens, qui suivaient de façon intransigeante les traditions des anciens, qui devinrent le Talmud babylonien, et les Juifs d'aujourd'hui.138

Motif d'Édom pour Tuer Israël

Tout comme pour n'importe quel vilain ou meurtrier dans une pièce ou une histoire, il existe un motif pour lequel Ésaü-Édom a essayé de tuer Jacob-Israël tout au long de ces années. Lorsque nous regarderons les scènes et les événements du scénario, nous trouverons certains motifs sous-jacents au désir des Édomites juifs de tuer et détruire le peuple chrétien d'Israël : • Depuis qu'Ésaü a perdu à la fois son droit d'aînesse et les bénédictions d'Isaac, qui ont donné à Jacob la domination et la prospérité dans le monde, Ésaü a eu un désir perpétuel de prendre sa revanche contre Jacob. Ésaü veut dominer et reprendre ses bénédictions, et son envie et sa colère du fait que Jacob les possède à sa place a motivé Ésaü à détruire Jacob. Maintenant Édom doit détruire et tuer Israël, car c'est le seul moyen de revanche pour Ésaü. Le droit d'aînesse et les bénédictions de Jacob-Israël incluent le statut de domination sur la Terre avec Dieu à leur tête. Cette domination entre en conflit avec les plans des Édomites pour leur nouvel ordre mondial. Si Ésaü ne peut obtenir la domination selon le plan divin, il l'obtiendra selon ses propres plans. Les deux dominations ne peuvent coexister. Si tous les Israélites peuvent être tués, alors les plans divins de domination d'Israël sur la Terre ne pourront pas être suivis. Si Ésaü avait pu tuer Jacob comme il le voulait (Gen. 27:41), alors en tant que seul survivant, Ésaü aurait hérité du droit d'aînesse. De façon similaire, si Ésaü était mort pendant qu'il avait encore ce droit d'aînesse, alors ce droit aurait échu à Jacob en tant que seul fils survivant d'Isaac. À cause de cette loi sur l'héritage, les Édomites aujourd'hui croient que s'ils peuvent tuer tous les Israélites, ils peuvent reprendre le droit d'aînesse et les bénédictions en tant que seul survivant. Les Édomites, composés d'Ésaü mixés de peuples Cananéens, sont aussi composés d'une mixture de Judahites de Judée et de la captivité babylonienne. Il y a aussi les Israélites qui se sont mariés avec des Édomites. Ces descendants des Adamiques étaient héritiers du droit d'aînesse, mais maintenant, comme bâtards, ils ne peuvent plus le

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138 « L'apogée du Pharisianisme est le Talmud de Babylone . . . Le Pharisianisme devint le Talmudisme, le Talmudisme devint le Rabinisme Médiéval, et le Rabinisme Médiéval devint le Rabinisme Moderne. Mais à travers ces changements de nom . . . l'esprit des anciens Pharisiens survit intact. » Louis Finkelstine, The Pharisee, 2ème édit., Vol. I, The Jewish Publication Society, 1940, pp. xx-xxi.

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réclamer et donc ils se lamentent de leur destin sans espoir. Ces descendants font maintenant partie d'Édom et par angoisse et envie, ils désirent tuer leurs frères de sang pur. Ésaü-Édom peut avoir d'autres motifs pour tuer les enfants d'Israël mais aucun n'est véritablement fondé sur la Loi. Jacob possède légitimement le droit d'aînesse et Édom, en tant que bâtard, ne peut plus le posséder. Comme pour la plupart des motifs de meurtre, les motifs d'Ésaü pour tuer Jacob sont basés sur la passion et la revanche, non sur des droits légitimes d'action. Il existe donc un plan ou 'conspiration' pour tuer tous les Chrétiens blancs de cette planète. Les motifs d'Ésaü pour tuer Jacob font partie du plan divin dans son scénario. C'est pourquoi nous voyons souvent des actions agressives et néfastes être complotées contre la race blanche, les possesseurs du droit d'aînesse. Il est devenu maintenant évident que le droit d'aînesse joue un rôle central dans la compréhension de la plupart des conflits, des guerres, des adversités et problèmes dans le monde. Lorsque Ésaü eut entendu qu'Isaac avait donné à Jacob les bénédictions du droit d'aînesse, « il jeta un cri très grand et amer » (Gen. 27:34). C'est exactement ce que font les Juifs quand ils entendent quelqu'un dire qu'ils ne sont pas Israël, ce qui signifie qu'ils ne possèdent pas le droit d'aînesse. Ils crient amèrement sur lui avec des pleurnichements d'« anti-sémitisme ». Pendant ce temps, ces Édomites cherchent des moyens pour pouvoir tuer le véritable héritier du droit d'aînesse. Beaucoup de personnes ont reconnu, à travers l'Histoire, cette caractéristique des Juifs de tuer les Chrétiens, mais ils ne peuvent jamais donner une explication adéquate à cet état de fait. Sans comprendre qui sont les personnages sur scène et quelle relation ils ont avec le droit d'aînesse, la pièce jouée sur Terre devient quelque peu confuse pour la plupart des observateurs.

Traîtrise d'Édom contre Israël

Le désir de revanche d'Édom sur Jacob est révélé par le désir d'Édom de voir Jérusalem détruite quand Israël le possédait, comme il est dit dans les Psaumes : « Éternel! Souviens-toi des fils d'Édom, qui, dans la journée de Jérusalem, disaient : Rasez, rasez jusqu'à ses fondements.139 »

Quand Jacob-Israël était à son zénith en termes de statut national et de prospérité, Ésaü-Édom

139 Psa. 137:7

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désirait voir sa capitale détruite. Cette philosophie est révélée par le Juif Adam Weishaupt, dont le credo de base de ses « Illuminati » était « Détruire la civilisation; tout ce qui existe est mauvais ». Ce concept ouvrait la voie pour les Juifs Illuminati, pour organiser la destructrice et sanglante Révolution Française. Dans la Bible, les Édomites, qui étaient moins nombreux qu'Israël, n'avaient pas l'habileté ni la puissance pour prendre leur revanche contre Israël et Juda jusqu'à ce que ces deux-ci soient affaiblis par une guerre civile entre eux (734 av. JC). Juda avait souffert la perte de 120.000 hommes en un jour (2 Chron. 28:6). 200.000 habitants supplémentaires de Juda furent emmenés captifs par Israël en même temps que la plupart de ses biens (28:8). Les Édomites profitèrent de l'occasion présentée par l'affaiblissement de Juda et dans leur vengeance « sont venus et ont attaqué Juda, et ont pris des captifs » (2 Chron. 28:17). Donc quand Juda était mise en pièces par les ravages de la guerre civile, c'est Édom qui s'est empressé de venir piller le pays et de prendre ses habitants en captivité. Les voies et les caractéristiques de l'acteur Ésaü-Édom ne changent pas, et donc cette traîtrise contre le peuple de Dieu peut recommencer, et recommence, dans un autre acte et une autre scène de la pièce. La scène est l'Amérique, le temps sont les années 1860, l'acte est la Guerre Civile Américaine. Voici une guerre, non seulement planifiée et suscitée par les Juifs, tels les Rothschild, mais les deux camps étaient financés par les banques juives. Quand les États du Sud furent dévastés par la guerre, le plan Juif-Marxiste de reconstruction fut établi pour encore plus détruire la culture et le gouvernement blancs. Le Sud fut mis sous gouvernement militaire et les Blancs furent privés de leurs droits, de leur Constitution et de leur propriété. D'entières plantations furent détruites, brûlées et pillées afin de dénier aux Blancs du Sud leur héritage. Les 'carpetbaggers' (nom donné aux profiteurs d'après-guerre) juifs venus du Nord, tels les Lehman, les « sept libéraux » frères Séligman, les Baruch et autres émissaires spéciaux des Rothschild, vinrent pour confisquer aux veuves et orphelins des morts confédérés leurs dernières possessions, leurs maisons et leurs terres. Un autre épisode de la traîtrise et de la vengeance d'Édom se passa lorsque Juda était sous le siège final des Babyloniens. Après que les armées ennemies eurent capturé Jérusalem en 586 av. JC, Édom participa traîtreusement à sa destruction. Plutôt que d'aider quand l'ennemi était sur le peuple de Dieu, Édom, par vengeance, envahit Jérusalem et prit part au pillage de la cité affligée. Cette violence d'Édom contre Juda fut condamnée par Dieu : « À cause de la violence faite à ton frère Jacob, la honte te couvrira, et tu seras retranché pour toujours. Au jour où tu te tins vis-à-vis, au jour où des étrangers emportaient ses richesses, et où des

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forains entraient dans ses portes et jetaient le sort sur Jérusalem, toi aussi tu étais comme l'un d'eux. Mais tu n'aurais pas dû regarder le jour de ton frère, le jour de son désastre; et tu n'aurais pas dû te réjouir au sujet des fils de Juda, au jour de leur destruction, et tu n'aurais pas dû ouvrir ta bouche toute grande au jour de la détresse. Tu n'aurais pas dû entrer dans la porte de mon peuple, au jour de leur calamité; ni regarder, toi non plus, sa misère, au jour de sa calamité; et tu n'aurais pas dû te tenir au carrefour pour exterminer ses réchappés, et tu n'aurais pas dû livrer ceux des siens qui étaient demeurés de reste au jour de la détresse.140 »

Les Édomites prirent avantage de la captivité de Jacob pour assurer leur vengeance et leur haine sur le peuple de Dieu. Le prophète Ézéchiel condamne aussi la traîtrise d'Édom « contre la maison de Juda par leur vengeance, et ont grandement offensé, et se sont vengés sur eux.141 » Et encore dans les chapitres 35 et 36 d'Ézéchiel, Édom est dénoncé pour ses actions, pour avoir aidé l'ennemi lors de la prise finale de Jérusalem, où Édom a « versé le sang des enfants d'Israël par la force de l'épée dans le temps de la calamité142 ». Édom agit avec vengeance dans son plan traître pour envahir le pays d'Israël, pour le brûler et le piller, et pour détruire et tuer le restant du peuple divin qui restait à Jérusalem. Les cruautés d'Édom sont dénoncée par Ésaïe (34:5-8) et par Joël (3:19-20). La nature d'Édom ne devait pas changer dans son désir de prendre avantage de toute opportunité pour la destruction des Blancs chrétiens, de leur culture et de leur civilisation. Pourquoi? À cause de l'animosité d'Édom, de sa jalousie et de sa haine de Jacob pour sa possession du droit d'aînesse qu'il avait eu. Ce mode de traîtrise d'Édom fit surface une fois de plus lors de la Seconde Guerre Mondiale. Quand l'Allemagne fut défaite à la fin de la guerre et que les forces alliées eurent supprimé l'armée allemande et eurent fait de l'Allemagne un pays sans défense, ce furent les Juifs édomites de l'Union Soviétique Rouge qui déferlèrent dans cette nation pour violer, piller, détruire et tuer les Allemands. Comme avec Juda, les Juifs édomites « versèrent le sang » des Allemands « par la force de l'épée aux temps de leur calamité». Cet acte fut du style typique de vengeance des Édomites sur le peuple de Dieu (l'Allemagne). Ésaü-Édom attaque et pille JacobIsraël avec couardise, uniquement lorsque celui-ci est affaibli et sans défense. En février 1945, quand la guerre était pratiquement finie, la cité de Dresde fut bombardée de façon répétée et détruite pour satisfaire la haine et le désir de vengeance des Juifs. Dresde était

140 Abdias 1:10-14 141 Ézéchiel 25:12 142 Ézéchiel 35:5

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le centre de la culture allemande et non une cible militaire ou industrielle. Plus de 250.000 hommes, femmes et enfants furent assassinés sur les ordres des hommes de paille des Juifs, Churchill (Angleterre) et Roosevelt (Amérique). La persécution et la destruction du peuple Blanc chrétien par les Juifs n'est pas une chose récente mais remonte loin dans l'Histoire. Écrivant en avril 1921 dans le numéro du Hebrew Christian Alliance Quarterly, le révérend M. Malbert déclara : « Je m'en vais vous montrer que la réelle persécution religieuse est uniquement juive . . . À l'époque de Justinien, au 6ème siècle, les Juifs massacrèrent les Chrétiens à Césarée et détruisirent leurs églises. Lorsque Stephanus, le gouverneur, essaya de défendre les Chrétiens, les Juifs lui tombèrent dessus et le tuèrent. En 608, les Juifs d'Antioche attaquèrent leurs voisins chrétiens et les tuèrent par le feu et l'épée. . . . Vers 614, les Perses s'avancèrent sur la Palestine et les Juifs, après avoir rejoint les envahisseurs, massacrèrent les Chrétiens et détruisirent leurs églises. 90.000 Chrétiens périrent à Jérusalem seulement.143 »

Le plus grand acte de vengeance, de traîtrise et de haine jamais perpétré par les Juifs fut peutêtre la destruction et le contrôle de la nation chrétienne de Russie, dirigée par les Blancs. Nous avons là un plan prémédité et de sang-froid de destruction d'un gouvernement blanc et du peuple entier d'une nation. La Russie en tant que nation a été habitée et dirigée par les « Russes Blancs » depuis environ 900 ap. JC. Ces pionniers hardis de descendance germanique et scandinave établirent une dynastie riche en art et en culture. Un climat économique se développa dans lequel la Russie prospéra et devint le « grenier à blé » de l'Europe. Avec la Révolution Rouge Bolchevique, les Juifs révolutionnaires détruisirent cette civilisation stable en quelques jours. Les Juifs furent libres de lâcher leur haine enracinée dans le meurtre de masse de victimes Russes blanches sans défense. Les Chrétiens furent arrachés de leurs maisons, torturés et tués. Certains furent enchaînés sur le sol et du plomb fondu fut coulé dans leur bouche. Beaucoup furent attachés à des chevaux et traînés à travers les rues de la ville. Des femmes enceintes chrétiennes furent enchaînées à des arbres et leur bébé fut arraché de leur ventre. La Russie devint semblable à un abattoir, avec des corps gisant partout. Les massacres sanglants continuèrent par intermittence pendant les décennies du règne rouge de l'« Union Soviétique ». L'auteur russe, Alexander Solzhenitsyn, relate que quelques 66 millions de « vrais Russes » furent massacrés pendant la Révolution Bolchevique dans les mains des révolutionnaires yiddish. Avant la révolution, la Russie était environ 75% Blanche. Aujourd'hui, le gros de la

143 Cité de : The International Jew, pp. 171, 173.

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population est asiatique. Les Juifs saisirent une autre occasion de massacrer des Chrétiens sans défense pendant la Guerre Civile Espagnole dans les années 1930. Le Juif Rosenberg (Moses Israelsohn) était à la tête d'équipes d'assassins appelés les « Brigades de Purification du Mouvement de Révolution Mondiale ». Leur « purification » consistait surtout en massacres de prêtres, de nonnes, d'enfants de choeur, de femmes et d'enfants. Les officiels madrilènes estimèrent qu'un dixième de la population espagnole avait été massacré par les communistes juifs en 1939. À la fin de 1939, les Juifs communistes avaient prévu le meurtre de masse le la classe dirigeante polonaise. Les Juifs avaient les dossiers de tous ceux qui pouvaient prendre la tête du peuple polonais pour sa défense et qui avaient exposé la menace Communiste juive. Durant les premiers jours de la guerre, 15.000 officiers polonais et intellectuels, qui étaient la fleur de la nation, furent capturés et emmenés dans des camps communistes tenus par des Juifs. Au printemps 1940, les prisonniers polonais furent amenés dans la forêt de Katyn. Avec leurs mains attachées dans leur dos, les victimes furent forcées de s'agenouiller puis furent abattus d'une balle dans la nuque et enterrées dans des fosses communes. Staline savait très bien que même ses troupes de Mongols assoiffés de sang n'auraient pas eu l'estomac pour une telle boucherie. Il prit donc des Juifs pour accomplir cette besogne. Il savait que non seulement les Juifs le feraient, mais qu'en plus ils en savoureraient chaque minute. Le problème des patriotes polonais était donc réglé. Des massacres similaires suivirent en Hongrie, Lettonie et Tchécoslovaquie Les événements entourant la Seconde Guerre Mondiale ont enregistré le nombre de victimes Blanches chrétiennes le plus important par les actes et plans des Juifs édomites. Tous les gouvernements impliqués dans cette guerre étaient sous le contrôle financier de certains Juifs et de leurs agents. 150 millions de victimes furent ajoutées sur leur liste de vengeance.

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Les Juifs furent spécialement ravis de la mort de millions de réfugiés chrétiens après la guerre, car leur mort fut la réalisation de la doctrine préférée de haine juive envers tous les Chrétiens – à savoir que les non-Juifs, étant considérés comme non-humains ou bétail selon le terme juif « goyim », ne doivent pas être enterrés. Ces millions de réfugiés chrétiens reposèrent là où ils tombèrent durant ces terribles expulsions organisées par les Rouges, et ne reçurent jamais un enterrement chrétien. Une autre action révélant clairement la traîtrise des Juifs fut leur attaque sournoise, non provoquée, du bateau américain U.S.S. Liberty le 8 juin 1967. Les Juifs bombardèrent vicieusement, napalmèrent, mitraillèrent et tirèrent des torpilles sur le bateau, tuant 34 hommes et en blessant 171. Ce fut un acte de pure haine. Il est parfois difficile pour les Édomites de contenir leur haine pour les goyim détestés, ils profitent donc de toute occasion pour cela. Dans leur désir de vengeance contre les descendants de Jacob, les Juifs édomites ont adopté le moto : « ne jamais pardonner, ne jamais oublier ». Ce slogan haineux est clairement dirigé sur la race blanche.

Avortement et Meurtre Rituel

Il nous faut mentionner certaines autres actions de vengeance perpétrées par les Juifs pour amener la mort et la destruction sur le peuple Blanc chrétien. Une telle action est la pratique de l'avortement, qui est bien conforme au rituel juif de sacrifice d'enfants aux idoles telles que Moloch. Le Talmud reconnaît une telle atrocité comme normale - «offrir le sang de quelqu'un à Moloch n'est pas de l'idolâtrie » (Sanhédrin 64a). Moloch était un dieu des Cananéens et des Babyloniens, et Babylone est le fondement du Talmud juif et de la tradition juive. Cette déité était le centre du sacrifice d'enfants. Le Talmud apprend que l'extermination des Chrétiens est un sacrifice nécessaire (Zohar II, 43a). Il n'est pas surprenant que la majorité des cliniques d'avortement soient tenues par des Juifs ou bien possèdent des docteurs juifs. Il n'est pas surprenant non plus que les Juifs sont les promoteurs de l'avortement, étant donné que la majorité des Juifs soutiennent le « droit » des femmes à l'avortement. Mondialement, il est estimé que plus de 35 millions d'enfants blancs ont été sacrifiés par les plans d'avortement institués et promus par les Juifs. Les Juifs pressent depuis longtemps les législateurs et les tribunaux de « légaliser l'avortement ». En Amérique, cela fut achevé par usurpation judiciaire sur les droits des états lorsque le Juif Justice Blackmun, parlant devant la Court Suprême U.S. En 1973, proclama rendre l'avortement « légal »144. L'opinion de Blackmun était en partie basée sur les standards

144 C'était le cas Roe vs. Wade, 410 U.S. 113. Ce cas n'était pas basé sur la loi américaine mais sur le 14ème amendement. La loi américaine interdit de tels actes, comme le montre l'opinion contestataire, au moins 36 différents états ou

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médicaux et l'éthique personnelle d'un autre Juif, le Dr. Edelstein. L'avortement est devenu ouvertement une manière de sacrifice d'enfants que les Juifs ont instituée de facto sous leurs lois. Une manière plus cachée de sacrifice d'enfants est leurs infâmes « meurtres rituels, dont les Juifs ont été accusés à travers les âges ». Dans cette pratique, « le sang de la victime gentille (Chrétienne) sacrifiée est mélangé avec de la farine pour fabriquer le pain sans levain mangé pendant la Pâque145 ». (Pour une étude et un exposé sur ce sujet, voir « Jewish Ritual Murder » par Arnold S. Leese, 1938).

Durant le Moyen-Âge, les Juifs furent trouvés coupables de meurtre rituel de Chrétiens en Angleterre à Norwich en 1146 et à Lincoln en 1225; en France à Blois en 1171; et dans le nord de l'Italie à Trente en 1475. The Jewish Encyclopedia liste 121 cas de meurtres rituels de 1146 à 1900 qui furent l'objet de procès. La liste montre que les Juifs étaient très souvent reconnus coupables

territoires passèrent des lois limitant l'avortement avant le 14ème amendement en 1868 (pp. 175-76). 145 The Illustrated Atlas of Jewish Civilization, p. 125.

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et étaient exécutés.146 De 1900 aux années 1930, il y eut encore environ 20 cas de meurtres rituels par des Juifs. Jusqu'à aujourd'hui même, nous trouvons des rapports de meurtres rituels d'enfants commis par certaines sectes de Juifs hassidiques orthodoxes147. Comme ces pratiques ne sont pas du fait de la juiverie entière mais d'une certaine élite ou de sectes secrètes, cette pratique a été cachée à la connaissance publique. Presque toutes les victimes furent finalement canonisées.

Mariage Inter-racial

Une autre méthode pour détruire la race blanche a été le mariage inter-racial. Dieu interdit au peuple d'Israël le mariage mixte avec d'autres races (Deut. 7:1-3). Le but et la stratégie subversive juive pour détruire la race blanche par mariage inter-racial a été révélés dans un discours du rabbin Emanuel Rabinovich, discours délivré devant le Conseil d'Urgence des Rabbins Européens à Budapest, Hongrie, le 12 janvier 1952 : « Salutations, mes enfants. Vous avez été appelés ici pour récapituler les étapes principales de notre nouveau programme . . . Le but que nous nous efforçons conjointement d'atteindre depuis trois mille ans est enfin à notre portée, et parce que son accomplissement est tellement apparent, il nous est nécessaire de multiplier par dix nos efforts et notre prudence . . . D'ici cinq ans, ce programme aura atteint ses objectifs, la Troisième Guerre Mondiale, qui surpassera en destruction toutes les précédentes . . . Cette guerre mettra fin définitivement à notre lutte contre la race blanche. Nous révélerons notre identité ouvertement aux races d'Asie et d'Afrique. Je peux déclarer avec assurance que la dernière génération d'enfants blancs est maintenant née. Nos Commissions de Contrôle interdiront aux Blancs de s'accoupler aux Blanches, dans l'intérêt de la paix et pour éradiquer les tensions raciales. Les femmes blanches doivent cohabiter avec les membres des races sombres et les hommes blancs avec les femmes noires. Ainsi, la race blanche disparaîtra, car mixer le sombre avec le Blanc sera la fin de l'homme blanc, et notre plus dangereux ennemi sera devenu un souvenir. Nous (Juifs) nous embarquerons alors dans une ère de dix mille ans de paix et d'abondance, la Pax Judaica, et notre race règnera de façon indiscutée sur cette Terre. Notre intelligence supérieure nous permettra sans problème de garder la maîtrise sur un monde fait de peuples sombres.148 »

La destruction de Jacob-Israël, la race blanche, a été le « but » d'Ésaü-Édom depuis « les derniers

146 The Jewish Encyclopedia, Vol. III, 1903, pp. 266-67. 147 Les Pharisiens étaient originellement identiques aux Hassidim ou secte Hassidique du Judaïsme. The Jewish Ency. Vol. IX, 1905, p. 661. 148 De : Mullin's New History of the Jews, par Eustace Mullins, The International Institute of Jewish Studies, 1968, pp. 147-49.

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trois mille ans », comme le disait le rabbin Rabinovich. Qu'il soit tué dans des guerres ou bien attiré dans le piège du mariage inter-racial, le sang vivant de l'homme blanc arrive à sa fin. Notez que la « fin de l'homme blanc » est nécessaire pour que la race juive « règne sur le monde » ou pour gagner la domination complète sur lui. Les Juifs reconnaissent l'existence d'une « lutte » contre la race blanche, une lutte qui remonte non seulement au temps du Christ, mais aussi à la Genèse 25. Si nous regardons la tendance des films et de la télévision il est clair que les mariages et le mixage inter-racial sont de plus en plus promus. Les juifs ont dominé l'industrie cinématographique depuis ses débuts. Les films et les shows TV montrant des mariages interraciaux sous une lumière favorable sont soit écrits, dirigés ou produits par des Juifs. C'étaient les marxistes juifs qui étaient derrière le mouvement des « droits civiques » aux ÉtatsUnis, pour abattre la barrière naturelle entre les races blanche et noire. C'était le Juif Joel Spingarn qui avait fondé et dirigé la National Association for the Advancement of Colored People (N.A.A.C.P. : Association Nationale pour l'Avancement des Peuples de Couleur) en 1909. Après sa mort, son fils Arthur dirigea la N.A.A.C.P. Jusqu'à 1965. Le vice-président était un autre Juif, Rabbi Solomon. En 1965, un autre Juif, Kevie Kaplan, prit la direction de l'organisation. Deux avocats juifs étaient à la N.A.A.C.P. de longue date, Andrew D. Weinberger et Jack Greenberg.149 Travaillant contrairement aux principes ségrégationnistes de la Bible, les Juifs sont ceux qui promeuvent l'immigration multi-raciale et le multi-culturalisme. Dieu a établi la race blanche, comme il le fit avec Adam (le premier homme blanc), pour être séparée des autres races et pour dominer et avoir autorité sur la Terre. Ce fut le rôle des Juifs en tant qu'Ésaü-Édom de détruire l'ordre divin des choses en amenant la race blanche à ignorer les barrières naturelles de distinction entre les races. Les Juifs se ruent donc pour aider et supporter les races Noire et colorées afin de les élever tout en abaissant le statut de l'homme blanc. Lorsque les distinctions légales, politiques et sociales entre les races sont effacées, les Blancs peuvent plus facilement être amalgamés dans les races colorées, comme le Juif Israel Cohen le déclare : « Nous devons réaliser que l'arme la plus puissante de notre parti est la tension raciale. En avançant dans la conscience des races sombres que depuis des siècles elles furent opprimées par les Blancs, nous pouvons les mouler dans le programme du Parti Communiste. En Amérique, nous viserons une victoire subtile. Tandis que nous enflammerons la minorité noire contre les Blancs, nous instillerons chez les Blancs un complexe de culpabilité pour leur exploitation des Noirs. Nous aiderons les Noirs à prendre de l'importance dans tous les aspects de la vie, dans les professions et dans le monde du sport et de l'amusement.

149 Weinberger et Greenberg avaient dressé un dossier amici curiae à la Court Suprème U.S., au nom de la N.A.A.C.P., pour faire tomber un statut de Virginie qui interdisait les mariages inter-raciaux, dans le cas Loving vs Virginia, 388 U.S. 1 (1967). Deux avocats juifs, Bernard S. Cohen et Philip J. Hirschkop plaidèrent le cas pour les appelants (le couple inter-racial). La loi de Virginie fut tenue de violer la Clause d'Égale Protection du 14ème amendement. Les Juifs gagnèrent!

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Grâce à ce prestige, le Noir pourra se marier avec les Blanches et démarrer le processus qui livrera l'Amérique à notre cause.150 »

Ce fut une tactique des Juifs d'inciter les races colorées contre les Blancs. Les Juifs promeuvent l'« égalité » pour les Noirs et autres minorités mais dans le fond n'en n'ont rien à faire de leur bien-être. Leur but est d'araser les différences entre toutes les races de façon à détruire la domination de la race blanche. De plus, le mixage racial produira finalement une seule race mélangée, rendant possible le but juif d'un nouvel ordre mondial. Comme le déclare le rabbin Abraham L. Feinberg : « La loi doit encourager, pas interdire, le mélange des sangs . . . Mais la législation ne peut changer le coeur humain. La seule façon dont nous puissions accomplir cela, la seule possibilité pour arriver à une Solution Finale des préjugés raciaux, est de créer un mélange de races tellement universel que personne ne pourra plus se vanter de sa « pureté raciale » ou pratiquer le barbarisme consistant à la préserver. L'encouragement délibéré du mariage inter-racial est le seul moyen de hâter ce processus. Et il se peut que le temps s'accélère. La domination de notre monde a commencé à vaciller, comme une charge mal arrimée à bord d'un vaisseau, de la race blanche vers les colorées. Le plus rapidement nous nous ajusterons à ce fait, le mieux sera pour nos enfants. Car nous pouvons tous reconnaître, même les plus éclairés d'entre nous, que nous ne pourrons jamais éliminer complètement les préjugés raciaux, à moins d'éliminer les races séparées.151 »

Conclusions et Commentaires

Nous pourrions aussi parler de bien d'autres actions et moyens de vengeance qu'Édom utilise pour faire la guerre au peuple de Dieu, la race blanche. On pourrait écrire beaucoup de choses sur le contrôle juif de la médecine et des pratiques médicinales utilisées pour affaiblir et tuer notre peuple. L'influence juive dans l'éducation a perverti la façon de penser et a retardé la capacité de penser plus élevée chez les enfants et adolescents blancs. La nuée d'avocats juifs (et d'avocats judaïsés) a empêtré le système légal avec des règles et des lois qui ont forcé bien des gens à la banqueroute et aux dettes. Dans tous les domaines de la vie les Juifs attaquent et cherchent à détruire ceux qui évidemment possèdent le droit d'aînesse, la race blanche. Toutes ces activités et ces contrôles restent assez cachés des masses grâce au contrôle juif sur les média Comme l'a écrit le Juif Alfred Lilenthal :

150 Israel Cohen, A Racial Program for the Twentieth Century, 1912. Aussi dans les archives du Congrès, Vol. 103, p.8559, 7 juin 1957. 151 Maclean's Magazine (Canada), 5 septembre 1967.

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« La composante la plus efficace de connexion juive est certainement celle du contrôle des média. Il est bien connu que l'opinion publique américaine a été, depuis longtemps, largement influencée par une poignée de journaux puissants, incluant le New York Times, le Washington Post et le St. Louis Post-Dispatch, possédés respectivement par les Sulzberger, les Meyer et les Pulitzer (toutes des familles juives).152 »

Les média sont maintenant utilisés pour cacher le droit d'aînesse à ses héritiers. Le droit d'aînesse adamique et l'alliance abrahamique étaient des bénédictions et des promesses pour les héritiers de la race adamique. Ils incluaient la promesse de prospérité, la richesse en bien matériels, la promesse d'être de grandes nations et que les héritiers auraient le droit de dominer dans le monde. Ces bénédictions furent accordées à Ésaü par droit d'aînesse. Mais Ésaü vendit son droit à Jacob et avec lui les promesses et bénédictions. C'est donc par jalousie et vengeance qu'Ésaü désire voir la destruction des bénédictions de Jacob – sa culture, civilisation, gouvernement, industrie et relation avec Dieu. Il abandonna aux Adamiques le droit d'aînesse est il est maintenant en train d'essayer de le réclamer en trompant le monde entier, faisant croire qu'il est l 'élu de Dieu. C'est une fonction génétique de l'existence des Juifs de faire le travail de leur ancêtre, Ésaü, en détruisant la race adamique blanche. Plus de 400 millions de Blancs ont été effacés de la surface du globe dans les 300 dernières années, par les Juifs. Les Juifs sont utilisés par Dieu pour agir de cette façon, qu'ils le veuillent ou non, qu'ils en soient conscients ou non. Ils ne peuvent pas changer qui ils sont et ce qu'ils sont tant qu'ils se trouvent sur la scène, pas plus qu'un léopard ne peut changer ses taches (Jér. 13:23).

8. L'Acte Final

Nous tournant maintenant vers l'acte final dans la pièce divine, nous voyons qu'il décrit plusieurs scènes intéressantes et surprenantes qui sont d'une importance profonde pour les événements mondiaux. Nous y voyons le paroxysme dans le conflit entre le bien et le mal. Cet acte nous parle de l'accomplissement final du Royaume de Dieu, l'exposition des personnes mauvaises, la victoire sur les troubles par le peuple divin, les époques de la restitution de toutes choses et la destruction du système humain mondial connu sous le nom de « Babylone ». Il s'y trouve des scènes de guerre et de paix, de « réjouissance » et de « pleurs et grincements de dents ». Les scènes et événements dans cet acte parlent donc d'un tournant dans la façon dont les humains dans le monde perçoivent les choses et vivent leurs vies. Nous y voyons aussi un changement drastique dans les existences d'Ésaü et de Jacob et la manière dont le monde

152 Alfred Lilienthal, The Zionist Connection II, 1978, pp. 218-19.

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perçoit ces deux personnages.

Exit Ésaü-Édom

Dans cet acte final de la pièce divine pour le monde, nous trouvons, apparaissant sur la scène, les mêmes deux personnages qui firent leur apparition dans la Genèse 25 – Ésaü et Jacob. La fin du scénario se lit juste comme la plupart l'espéreraient et l'attendraient – par la justice et une fin heureuse. Nous y voyons le peuple élu de Dieu (Israël) délivré des mains de son ennemi (Édom), qui finit par être détruit : « Et sur la montagne de Sion il y aura délivrance; et elle sera sainte, et la maison de Jacob possèdera ses possessions. Et la maison de Jacob sera un feu, et la maison de Joseph, une flamme; et la maison d'Ésaü sera du chaume; et elles y mettront le feu et la dévoreront; et il n'y aura pas de reste de la maison d'Ésaü, car l'Éternel a parlé.153 »

Ce qui nous est dit dans ces versets est l'élimination d'Ésaü comme peuple - « il n'y aura pas de reste de la maison d'Ésaü ». Avec ce décret, Dieu signe et cèle la condamnation à mort d'Ésaü. Dans cette scène, Ésaü fait sa dernière apparition sur la scène, ce qui signifie qu'il sera éliminé définitivement de la scène mondiale (voir aussi Ésaïe 34:5-6). Le Livre des Jubilés dit que lorsqu'Ésaü prendra le pouvoir sur Jacob, Ésaü « commettra un péché mortel, et toute sa semence sera ôtée de dessous les cieux » (Jubilés 26:35). Ici donc, nous avons l'extermination d'une race entière ou d'un groupe de personnes, les Édomites. Aujourd'hui, on appelle cela un « génocide ». La Bible prophétise en fait le génocide d'Ésaü-Édom! Sachant cela, mettons-nous encore dans la peau d'Ésaü pour comprendre ce qui se passe aujourd'hui. Si votre rôle vous appelait à être exterminé à la fin, ne voudriez-vous pas changer ou éviter cette scène? Pourquoi donc le Juif court-il çà et là essayant de passer des lois, nationales ou internationales, pour prévenir tout acte qui pourrait servir à amener ou à causer un génocide? Si votre vie était en jeu, ne feriez-vous pas pareil? Les Juifs sont à l'origine et ont promu le traité sur les génocides, la convention sur les génocides, des lois anti-génocides, et ont même inventé ce mot et ce concept de « génocide ». En fin novembre 1944, un livre fut publié, titré Axis Rule in Occupied Europe, dont l'auteur, avocat de profession , était un Juif polonais du nom de Raphaël Lemkin. Dans ce livre, Lemkin introduit

153 Abdias 1:17, 18

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un nouveau mot : « génocide ». « Lemkin exprima avec un jugement hyperbolique mordant : 'Les Nazis ont détruit des nations entières, un crime pour lequel le présent auteur a inventé le mot 'génocide' – en analogie avec homicide et fratricide'.154 »

Le génocide, par sa définition, « était une offense de groupe contre un autre groupe ». C'était, dans son sens le plus vrai, un crime international – une race ou nation contre une autre. « Le nouveau crime de Raphaël Lemkin, et son nouveau mot pour le nommer, 'génocide', remporta un succès vertigineux. Moins d'une décennie après qu'il l'eut inventé, suffisamment d'États étaient représentés à l'Organisation des Nations-Unies pour ratifier la Convention qui l'incorporait comme un nouveau crime international, et la plupart d'entre eux l'entourèrent de législation afin d'en faire la loi de leur pays en même temps. Tout cela fut achevé en 1951. » (ibid. p. 13)

Pour montrer au monde que ce nouveau crime de génocide est une menace potentielle, les Juifs trouvèrent nécessaire de fabriquer le mensonge monstrueux de leur histoire d'Holocauste où 6 millions de gens de leur race fut soi-disant tués par l'Allemagne nazie durant la Seconde Guerre Mondiale. Cela marcha très bien pour jouer sur la sympathie ressentie par la majorité des gens, spécialement lorsque cela est présenté d'une manière dramatique et émotionnelle.

Les juifs établirent plusieurs groupes et organisations pour répandre leur propagande biaisée et pour enregistrer les actes qui, pensaient-ils, pouvaient menacer leur existence. Un de ces groupes, le Centre Simon Wiesenthal, dédie son énergie aux « études sur l'Holocauste ». Il traque également les « criminels de guerre nazis » à travers le monde de façon que ceux-ci

154 James J. Martin, The Man who Invented 'Genocide', 1984, p. 3.

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puissent être jugés et exécutés par leurs tribunaux de pacotille en 'Israël' ou dans un tribunal international de l'O.N.U. Ils sont alors montrés en exemples à qui oserait penser à blesser ou tuer des Juifs ou de leur déclarer la guerre155. Il y a aussi la Jewish Anti-Defamation League qui « s 'efforce d'institutionnaliser l'enseignement de l'Holocauste dans les écoles de la nation ». En plus, «La Nazi War Criminal Task Force de l'ADL coopère avec les agences gouvernementales ici et à l'étranger afin d'amener ces criminels de guerre à la justice.156 » Pourquoi n'y a-t-il aucun autre groupe, nation ou race qui soit autant préoccupé que les Juifs par le concept de génocide? C'est parce que, dans le plan divin pour le monde, les Juifs ont été marqués pour être exterminés, et cette réalité imminente est la raison pour laquelle les Juifs sont tellement paranoïaques à propos de « génocide ». Il semble que les Juifs craignent de recevoir la récompense qu'ils savent mériter. Comme le faisait remarquer le Juif Karl Marx : « Il ne peux y avoir de solution pour le monde sans la destruction des Juifs et de leur religion, le Judaïsme.157 »

Jacob comme Outil Divin de Vengeance

L'histoire de la mort d'Édom révélée dans la pièce contient plus que cela, et qui doit être considéré, et c'est la façon dont Édom doit être détruit. Dieu va en fait utiliser Jacob pour détruire Ésaü-Édom. Dans la prophétie d'Abdias, il est dit que « Jacob sera un feu » (Abdias 18). Il ne s'agit pas d'un feu purificateur mais d'un feu qui consume et qui détruit. Ce feu va à la fois « allumer » et « dévorer » la « maison d'Ésaü », qui est vue comme « du chaume », une substance qui peut être facilement brûlée et détruite. Comme du chaume, la nature même d'Ésaü est un catalyseur qui l'amène à sa propre destruction. Il est intéressant que les Juifs aient choisi le mot « holocauste », qui signifie l'entièreté de quelque chose qui est brûlé. L'entière maison d'Ésaü est décrite comme étant brûlée – un vrai holocauste va bientôt se passer. Les Juifs crient « plus jamais çà » en référence à leur histoire d'Holocauste, mais en fait ce n'est pas encore arrivé. Cette destruction arrivera aux Juifs, et de la main d'Israël, la race blanche, comme on peut le vérifier dans Ézéchiel : « À cause de cela, ainsi dit le Seigneur, l'Éternel : J'étendrai ma main aussi sur Édom, et

155 En juillet 1933, les Juifs déclarèrent une « guerre sainte . . . une guerre qui doit être faite avec acharnement » contre l'Allemagne. New York Times, 7 août 1933. 156 Tiré de la brochure de l'ADL de mai 1991, écrite par Jack J. Zurofsky. 157 Emanuel M. Josephson, The Strange Death of Franklin D. Roosevelt, New York-Chedney Press, 1948, p. 50.

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j'en retrancherai hommes et bêtes, et j'en ferai un désert depuis Théman, et, jusqu'à Dedan, ils tomberont par l'épée; et j'exercerai ma vengeance sur Édom par la main de mon peuple Israël; et ils agiront en Édom selon ma colère et selon ma fureur; et ils connaîtront ma vengeance, dit le Seigneur, l'Éternel.158 »

Voici une autre prophétie impliquant la destruction d'Édom par la main d'Israël. Cette prophétie, à la fois d'Abdias et d'Ézéchiel, fut donnée à peu près à l'époque de la captivité babylonienne de Jérusalem (586 av. JC). Il n'existe donc aucune période dans l'histoire de la Bible où ces prophéties sont arrivées ou auraient pu arriver. Ce que ces prophéties révèlent, donc, c'est qu'Israël, la race blanche, tuera un jour la maison entière (la lignée) d'Ésaü, qui inclut les Juifs édomites. Ceci représente le choc ultime et l'horreur pour ceux qui ont un état d'esprit mondain, car c'est précisément, et par-dessus tout, la chose pour laquelle le monde a été conditionné pour croire que ça ne devait jamais plus arriver. Qu'un Blanc effleure seulement les cheveux d'un Juif et c'est un concert de cris de « persécution », d'« anti-sémitisme » et de commémoration de l'« Holocauste » juif. Il y a encore un autre cas où le point de vue mondain est opposé et contraire à ce que Dieu a préparé pour Ésaü sur la Terre. Ésaü a trompé et influencé une grande partie du monde pour lui faire croire que ce plan de destruction par Jacob (la race blanche) est mauvais, que ça ne doit jamais arriver, et que toutes les mesures doivent être prises pour assurer que cela n'arrivera jamais. Le mythe de l'Holocauste a été inventé par Ésaü (les Juifs) pour donner vie et signification à cette perspective mondaine de génocide. Ils essayent de dire que le génocide est presque arrivé! Les Blancs (les Allemand) ont presque exterminé les Juifs et nous ne devons jamais permettre à une telle chose de se reproduire, qui pourrait précipiter un autre holocauste des Juifs. Voilà ce que le monde a appris et croit. Les Juifs Édomites-Cananéens ont fabriqué une histoire d'holocauste de 6 millions de Juifs afin de détourner le monde de leur destin inévitable et prophétisé. Ils prétendent que ce morceau de la pièce divine ne doit jamais être joué sur la scène. Le point de vue populaire et l'opinion publique trouvent les plans de Dieu à cet égard absolument répugnants, parce que Dieu ne reconnaît pas aux Juif le droit de continuer à exister. Aucun prêcheur ou théologien n'oserait donc dire la vérité regardant les Juifs ou admettre les voies de Dieu. Et pourtant Dieu dit que le jour arrive dans lequel « il n'y aura plus de Cananéen dans la maison de l'Éternel des armées, en ce jour-là. » (Zach. 14:21). Il n'existe pas un seul verset dans la Bible qui nous dit que le peuple édomite-cananéen, mauvais par nature, sera sauvé. Il doivent plutôt être exterminés. Quinze fois dans le livre des

158 Ézéchiel 25:13, 14. Théman et Dedan étaient des cités importantes d'Édom.

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Psaumes uniquement, Dieu dit qu'il détruira les mauvais; pas une seule fois, il ne nous dit qu'il les acceptera dans Son Royaume. Les anti-Christ de ce monde doivent être détruits, et les Juifs sont des anti-Christ dévoués comme indiqué par leurs « fruits ». L'idée que Dieu autorise le génocide ne doit pas être regardé comme quelque chose de nouveau et d'unique, puisqu'Il a commandé à Israël de tuer et « complètement détruire » les sept autres nations ou races qui étaient à Canaan (Deut. 7:1-2). C'aurait été un génocide si Israël avait obéi au commandement de Dieu. Les Édomites sont aussi représentés dans la parabole du bon grain et de l'ivraie, dans le rôle de l'ivraie. L'ivraie fut plantée dans le champs, ou le monde, aux côtés du bon grain et il lui fut permis d'exister avec le bon grain jusqu'au temps de la récolte. Au moment de la récolte, « l'ivraie est cueillie et jetée au feu; il en sera de même à la consommation des temps » (Mathieu 13:40). L'ivraie est le « fils du méchant », juste comme un jour Édom sera appelé « contrée de méchanceté » (Malachie 1:4). Les Juifs courent dans tous les sens comme des poulets dont on a coupé le cou, car certains d'entre eux réalisent que « le temps de la récolte » approche. Édom était une cause des troubles de Jacob. Les troubles sont appelés « épines » parce qu'elles piquent, harcèlent et emprisonnent l'homme (Osée 2:6; 2 Cor. 12:7). Ce qui produit des « épines et des chardons est réprouvé et est près de la malédiction, et dont la fin est d'être brûlée » (Héb. 6:7-8). Les Juifs édomites nous ont troublé, piqué et harcelé génération après génération, et sont donc destinés à être brûlés. Il y a beaucoup de races qui sont maintenant sur le point d'être exterminées. Le monde est-il concerné par une quelconque de ces races qui vont bientôt être éliminées de la surface de la Terre? Non, il ne l'est pas. Il est uniquement concerné par les Juifs. C'est justement le peuple que le monde croit devoir être protégé et devoir survivre, alors même que c'est la race que Dieu a celé pour sa destruction.

Édom et Babylone

Ésaü-Édom ressemble beaucoup à ceux qui commettent un « blasphème » car ils « disent qu'ils sont judéens (Israélites) et ne le sont pas, mais sont de la synagogue de Satan . . . et mentent » (Rév. 2:9; 3:9). Par ceci, Édom peut être identifié avec le système corrompu de la bête babylonienne qui est « plein de noms de blasphèmes » et par ses « sorcelleries toutes les nations furent égarées » (Rév. 17:3; 18:23). Bien sûr, personne ne blasphème plus le Christ, ou ne ment et trompe plus toutes les nations que les Juifs édomites. 159 Les connexions d'Édom avec Babylone commencèrent avec le désir d'Ésaü d'obtenir « les vêtements de valeur de Nimrod, avec lesquels Nimrod domina tout le pays » (Jasher 27:10). Nimrod était le roi de Babel ou Babylone (Gen. 10:9-10), et ses vêtements représentaient son règne impie.

159 Voir le livre de Martin Luther, The Jews and their Lies.

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« Nimrod est le prototype d'un peuple rebelle, son nom est interprété comme 'celui qui rend tout le peuple rebelle contre Dieu.160 »

Ésaü tua Nimrod et alors « se battit dans un combat désespéré » contre deux de ses aides et les tua aussi. Il « prit les vêtements de valeur de Nimrod » et fuit devant ses hommes (Jasher 27:4-11). Cela fatigua Ésaü, et dès lors, il « revint des champs, il était faible » (Gen. 25:29). c'est alors qu'il vendit son droit d'aînesse à Jacob pour un bol de potage, ce qui est une conséquence appropriée pour ses actions. Quand il tua Nimrod et prit ses vêtements, Ésaü s'empara d'un autre droit, celui de Nimrod et de son règne babylonien, qui ne pouvait pas cohabiter avec le droit d'aînesse d'Abraham. Babylone devint un symbole pour tout ce qui est contraire à la volonté et aux voies divines. La tour de Babel était un plan pour élever l'homme au-dessus de Dieu et de mettre en place un régime universel mondial. Le scénario divin nous montre un grand nombre de parallèles intéressants entre Édom la rouge et le système bestial rouge de Babylone. Comme indiqué, ils sont tous deux identifiés à la couleur rouge. Il y a aussi des similarités entre les prophéties et jugements à leur égard. Nous allons les examiner dans le but d'identifier plus clairement qui est Ésaü-Édom et ce qu'il est. Quelques-uns de ces parallèles : • • • Brûlé et détruit par le feu : Dans Abdias 1:18 Ésaü est dévoré par le feu de Jacob. Babylone sera également « brûlée entièrement par le feu » (Rév. 18:8). Renversé comme Sodome et Gomorrhe : Édom (Jér. 49:18) comme Babylone (Jér. 50:40) finiront détruits « comme dans la subversion de Sodome et Gomorrhe ». Habitations rendues désolées : Édom aura ses habitations rendues « désolées » par « les petits du troupeau » (Jér. 49:20). Exactement le même jugement est rendu pour Babylone (Jér. 50:45). Domination sur, et guerre contre, Israël : Nous avons vu qu'Édom allait prendre le pouvoir sur Israël et l'affliger. Le système de Babylone aura aussi la domination sur le peuple de Dieu et lui fera la guerre (Dan. 7:21-25; Rév. 12:17; 13:7; 17:6). Règne caché sur le monde : La phase finale du règne de Babylone est un « mystère » (Rév. 17:5). Édom s'est lui aussi élevé très « haut » et a des « choses cachées » (Abdias 1:3-6). Israël va détruire et être délivré : Édom (Abdias 1:16-18) et Babylone (Rév. 18:4) sont ce dont le peuple de Dieu doit se délivrer. Cette délivrance vient par la destruction par le peuple divin de ses oppresseurs (Dan. 7:26-27; Rév. 18:6).

•

•

•

Qui sont donc ceux qui, aujourd'hui, promeuvent le système babylonien? Ce sont ceux-là même dont la religion et les façons de vivre sont basées sur le Talmud babylonien – les Juifs.

160 The Jewish Encyclopedia, Vol. IX, 1905, p. 309. Nimrod était le fils de Cush, dont le nom signifie « celui dont les mots sont sombres ».

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La délivrance de Jacob

La prophétie d'Abdias pour Jacob déclare que cette délivrance sera « sur la montagne de Sion ». C'est là que se trouvait la mainmise que les forces impies de la Babylone rouge avaient sur Jacob. Jérémie parle de cette période comme d'une période d'« enfantement » et comme « les temps de la détresse », temps desquels Jacob sera sauvé et délivré. Voici les termes de la prophétie concernant Israël et Juda : « Car ainsi dit l'Éternel : Nous entendons la voix de la frayeur; il y a la peur, et point de paix. Demandez, je vous prie, et voyez si un mâle enfante. Pourquoi vois-je tout homme tenant ses mains sur ses reins comme une femme qui enfante, et pourquoi tous les visages sont-ils devenus pâles? Hélas! Que cette journée est grande! Il n'y en a point de semblable; et c'est le temps de la détresse pour Jacob, mais il en sera sauvé. Et il arrivera en ce jour-là, dit l'Éternel des armées, que je briserai son joug de dessus ton cou, et que je romprai tes liens, et les étrangers ne se serviront plus de lui.161 »

Ici encore nous voyons qu'un joug sera sur Jacob. Le joug est l'esclavage et la servitude à une autre race ayant domination sur Jacob. Lorsque Ésaü brisa le joug de Jacob de dessus son cou, il devait prendre le pouvoir sur Jacob et le placer sous son propre joug. C'est ce joug d'Ésaü sur Jacob que Dieu a promis de briser un jour du cou de Jacob. Dieu prophétise à Israël que « j'aurai brisé les liens de leur joug, et que je les aurai sauvés des mains de ceux qui les tenaient asservis. » (Ézéchiel 34:27). Les peuples blancs sont aujourd'hui vraiment des esclaves des Juifs édomites qui commandent et contrôlent les diverses branches de leurs gouvernements, de la finance et de leur vie de tous les jours, toutes choses essentielles à leur liberté. Considérons les mots du patriote américain Patrick Henry : « . . . dites-moi, quand la liberté a-t-elle jamais existé quand l'épée et le l'argent sont pris au peuple? À moins d'un miracle, aucune nation n'a jamais, ni ne pourra jamais sauvegarder ses libertés après la perte de son épée et de son argent . . . Malheureusement, rien ne la préservera (la liberté) que la force brute, et chaque fois que vous abandonnez cette force, vous êtes inévitablement ruiné. »

Qui possède le contrôle de « l'épée et de l'argent » dans Sion (l'Amérique) ou toute autre nation

161 Jér. 30:5-8

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blanche? Chaque nation qui est devenue un partenaire volontaire de l'organisation contrôlée par les Juifs, appelée Organisation des Nations-Unies, a cédé son armée aux décrets de celle-ci. Chaque nation ayant son système monétaire dépendant des banques juives centralisées a cédé son argent aux mains des Juifs. Les peuples de chacune de ces nations ont perdu leur liberté et ont maintenant le « joug » d'Ésaü-Édom sur leur cou. Ce sera un miracle de Dieu quand ce joug sera enlevé et les peuples délivrés. Une révélation supplémentaire du processus et de la nature de la délivrance finale de Jacob des mains de son ennemi Ésaü est trouvé dans un Apocryphe de la Bible : « Ainsi répondis-je et dis : De combien la séparation sera-t-elle éloignée dans le temps? Ou quand sera la fin du premier âge, et le commencement de l'âge qui suivra? Et Lui, le Seigneur, me dit : D'Abraham à Isaac, lorsque Jacob et Ésaü furent nés de lui, la main de Jacob tenait en premier (ou depuis le début) le talon d'Ésaü. Car Ésaü est la fin de l'âge (temps), et Jacob est le commencement de celui qui suit.162 »

Ceci nous remet en mémoire l'épisode de la naissance d'Ésaü et de Jacob et la signification du fait que Jacob tenait le talon d'Ésaü à leur naissance. Tout dans les Écritures possède une signification et un but. Le talon représente la fin et la main le commencement d'un homme. Le temps d'Ésaü devait prendre fin, marquant le début des temps de Jacob. La délivrance de Jacob de l'oppression et de la servitude d'Ésaü ne peut donc venir qu'aux temps de la fin d'Ésaü, de son élimination du monde. Un aspect significatif de l'esclavage de Jacob est le fait que les gens ne peuvent discerner ce qui est bon de ce qui est mauvais. Notre peuple fut un jour concerné par l'influence corruptrice des Juifs anti-Christ dans la société, mais aujourd'hui ils ne se sentent plus concernés, ce qui a amené la domination des Juifs dans le pays. « Le talmudisme juif doit son existence aujourd'hui à l'indifférence avec laquelle il est regardé . . . Le Juif est absolument opposé à la Bible et il fait ce qu'il peut pour détruire l'honneur public des Écritures.163 »

Les Chrétiens ne voient pas les Juifs comme les anti-Christ qu'ils sont, mais plutôt comme les fidèles de la Bible et « le peuple élu ». Ces conditions vont changer avec la délivrance de Jacob : « Alors vous reviendrez, et vous ferez la différence entre le juste et le méchant, entre celui

162 2 Esdras 6:7-10 163 The International Jew, Vol. III, p. 16

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qui sert Dieu, et celui qui ne le sert pas.164 »

Il devrait aller sans dire que si les Chrétiens blancs savaient tous que le Juif est le Maudit (Satan), qu'il n'est pas un Israélite et qu'il ne sert pas Dieu, ce serait la fin du Juif, et les Chrétiens seraient délivrés de l'influence corrosive du Juif et de leur joug de servitude. Alors, ils feraient exactement ce qui est prophétisé dans les versets suivants de Malachie : « Car voici, le jour vient, brûlant comme un four; et tous les orgueilleux, et tous ceux qui pratiquent la méchanceté seront du chaume, et le jour qui vient les brûlera, dit l'Éternel des armées, de manière à ne leur laisser ni racine ni branche. Et pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le soleil de justice; et la guérison sera dans ses ailes; et vous sortirez, et vous prospérerez comme des veaux à l'engrais. Et vous foulerez les méchants, car ils seront de la cendre sous la plante de vos pieds, au jour que je ferai, dit l'Éternel des armées.165 »

C'est encore une promesse de la destruction des Maudits par le feu ou la brûlure aux mains d'Israël. Notez que le maudit qui doit être brûlé est vu comme du « chaume », comme Ésaü dans Abdias 18. La doctrine du salut universel n'est évidemment pas une doctrine biblique car il n'y a pas d'espoir, de rédemption ou de salut pour Ésaü-Édom, seulement la destruction complète.166 Il faut bien comprendre que c'est le plan divin pour Édom de prendre le pouvoir et de s'élever dans une position de domination dans le monde, et finalement, au dernier acte, d'être mis à bas et détruit, pour ne plus jamais revenir. Édom est donc comme l'homme riche dans la parabole du Christ de l'homme riche et de Lazare (Luc 16:19-31). Le joug et l'adversité du Juif édomite fut amené sur nous (Israël) à cause de nos propres actions de transgression contre Dieu. De la même façon, lorsque Salomon avait sévèrement violé l'alliance et les statuts divins, Dieu « leva un adversaire pour Salomon, Hadad l'Édomite » (1 Rois 11:6-14). La forme du remède, ou délivrance, à cet état est souligné dans le Deutéronome 30:1-4; 2 Chroniques 7:14 et Jérémie 3:12-13. Dieu n'est pas seulement l'auteur du scénario suivi sur la Terre, mais Il est aussi le metteur en scène et le producteur, et en fait le théâtre Lui appartient, ainsi que tous les acteurs et les

164 Malachie 3:18. C'est seulement en connaissant « la nourriture solide » des Écritures que nous serons à même de « discerner le bien du mal » (Hébreux 5:14). 165 Malachie 4:1, 3. Aussi Michée 4:13. 166 Les prêcheurs fondamentalistes disent aussi que tous les troubles et les afflictions prophétisés pour Israël arriveront dans le futur pour les Juifs. Mais, comme nous l'avons vu, la plupart de ces prophéties sont déjà accomplies, pour le peuple blanc.

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accessoires. Comme le dit le psalmiste, « À l'Éternel est la terre et tout ce qu'elle contient, le monde et ceux qui l'habitent » (Psaumes 24:1). Oui, le monde entier est un théâtre, et la pièce qu'on y joue est maintenant prête à accueillir la destruction d'Ésaü et la délivrance de Jacob. Ainsi en est-il écrit.

9. Épilogue

Les Rôles et Identités des Personnages

La Bible est une pièce contenant plusieurs thèmes différents. Ce livre s'est penché sur un de ces thèmes – le conflit entre le bien et le mal, ce qui est juste et injuste, droit et pervers, les voies de Dieu et les voies des hommes. Bien que ce thème soit fondamental et peut être vu par tout le monde, il n'était pas clairement perçu quels personnages étaient concernés dans ce conflit. Il y a une chose qui est absolument évidente à propos de la Bible, c'est qu'elle concerne et parle d'une race particulière de gens – les descendants directs d'Adam, plus tard appelés Israël. Ces gens sont les personnages principaux dans la pièce divine. Ésaü-Édom est un personnage secondaire dans cette même pièce. C'est seulement lorsque nous avons identifié le peuple blanc européen comme étant le peuple d'Israël, et les Juifs comme étant les Édomites, que ce qui se passe dans ce monde prend un sens complet. Quand les rôles de Jacob et d'Ésaü sont identifiés, nous constatons que tout les événements du monde correspondent exactement à ce qui est écrit dans la pièce. Les problèmes dont cette planète a été infestée sont dus à une confusion d'identité et à des identités ignorées regardant les rôles que Dieu a assignés à Ésaü et à Jacob. Les Édomites n'aiment pas le rôle pour lequel ils ont été choisis et ont peur d'être identifiés comme ce qu'ils sont en réalité. Ils ont donc essayé de réécrire la pièce afin que les Blancs chrétiens ne puissent pas découvrir qui ils sont et quel est leur héritage, qui est celui des Juifs. Tout le monde pense donc qu'Ésaü est Jacob (les Juifs sont le peuple élu) et Jacob est juste un « Gentil ». Personne ne peut nier que les Juifs sont un peuple absolument unique et spécial dans l'Histoire et dans le monde contemporain. Cette unicité est due en partie à leur héritage édomite. Aucun autre peuple ne correspond aux caractéristiques d'Ésaü-Édom et ne suit ce rôle particulier aussi complètement que le peuple juif. Les Juifs suivent le rôle qu'ont suivi leurs ancêtres les Édomites.

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Les Juifs, cependant, possèdent aussi un lien avec les autres individus et tribus avec lesquels ils se sont inter-mixés. Cela inclut les Hittites, les Cananéens, les descendants de Japheth via Togarma, Magog et Ashkenaz, et les descendants de Cham par Canaan, ainsi que certains Israélites et Judahites qui se sont mixés avec eux tout au long des siècles. Bien que l'hérédité, les migrations et les caractéristiques raciales montrent qui les Juifs sont et qui ils ne sont pas, le test réel sont les « fruits » de leur travail et de leurs actions (Mathieu 7:1620). Si les Chrétiens voulaient seulement accepter ce simple test que le Christ nous a fourni et l'appliquer aux Juifs, ils verraient rapidement qu'ils ne sont pas le peuple qu'ils pensent qu'ils sont – les Israélites. Ils sont en fait les rejetés et maudits de Juda, mélangés avec la lignée maudite d'Ésaü, plus d'autres peuples, et ces lignées maudites les obligent à agir de la façon dont ils agissent. Leurs fruits identifient qui ils sont et qui ils ne sont pas, tout comme leurs traits faciaux déplaisants attestent de leur hybridité (qui est aussi une malédiction placée sur le Juif). Contrairement aux bénédictions du peuple divin, les malédictions placées sur un peuple déjà maudit et rejeté (que ce soit spirituellement ou physiquement) prévalent quelles que soient les races avec lesquelles ils se sont mixés. Nous avons maintenant 2.000 ans d'Histoire montrant le comportement impie persistant d'un peuple maudit appelé « Juifs », ce qui devrait être une preuve suffisante pour tout le monde qu'ils ne sont pas les enfants chéris de Dieu. Tout ceci s'est ajouté à la confusion sur l'identité du Juif moderne. Le Juif moderne est face à une crise d'identité, et lui-même le reconnaît. Dans un certain sens, les « Juifs » possèdent un héritage dans la Bible, et pourtant ils n'en n'ont pas. En tant que bâtards ou hybrides, les Juifs possèdent certaines racines biologiques remontant à Abraham et au peuple de Juda. Mais en tant que bâtards, ils ne peuvent jamais prétendre au droit d'aînesse ou proclamer le véritable héritage de la race adamique pure et originelle. Car il est écrit : « Un bâtard n'entrera pas dans la congrégation de l'Éternel; même sa dixième génération n'entrera pas dans la congrégation de l'Éternel.167 » « Et il arriva que, lorsqu'ils eurent entendu la loi, ils séparèrent d'Israël tout le peuple mélangé.168 »

Les Adamiques mixés, ceux possédant du sang à la fois adamique et non-adamique, ne peuvent pas plus être de la race adamique ni des héritiers que les gens qui sont entièrement d'une race différente. La Loi ne permet pas aux Juifs d'hériter du droit du sang ou du Royaume, peu importe s'ils possèdent ou non du sang adamique en eux. En tant que bâtards, les Juifs ne peuvent représenter la lignée adamique ou le peuple d'Israël, et ne peuvent donc pas être appelés Israélites, comme le dit le Jewish Almanac :

167 Deutéronome 23:2 168 Néhémie 13:3

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« Strictement parlant, il est incorrect d'appeler un ancien Israélite un 'Juif' ou d'appeler un Juif contemporain un 'Israélite' ou un 'Hébreu.169 ».

Un peuple maudit et rejeté, tel que les Édomites et certains des Judahites du temps du Christ, n'ont pas Dieu en eux. Comme le dit le Christ « Si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez » (Jean 8:42). Pouvez-vous imaginer qui que ce soit haïssant le Christ plus que ces gens connus sous le nom de Juif aujourd'hui? Les Édomites étaient un peuple mixé et rejeté à travers toute la Bible. Le Juif peut seulement proclamer être de l'une de ces lignées d'Adam qui furent soit rejetées par Dieu ou qui ont violé la loi par des mariages inter-raciaux.

Conspiration et Conflit

Les conspirations sont « vieilles comme les collines ». Le peuple de Dieu a souvent été la cible de conspirations (Psa. 83:3). On devrait commencer à comprendre que parler de « conspiration internationale juive » ne veut rien dire pour le public. Les gens ne voient pas et ne comprennent rien de ce genre car ils ne connaissent pas les identités des personnages dans la pièce divine – la Bible – ou leur rôle dans cette pièce. Pourquoi les Juifs, que la totalité des églises voit comme la prunelle des yeux de Dieu, voudraient-ils faire du mal ou détruire les Blancs chrétiens? Par leurs diverses organisations, mouvements, partis politiques et ordres maçonniques, que les Juifs ont soit établis ou infiltrés, un programme formel a été mis en place pour dominer ou faire du mal au peuple blanc chrétien. En tant qu'héritiers d'Ésaü, les Juifs sont aussi destinés à agir selon un rôle assigné. Les Juifs n'ont donc pas besoin de faire partie d'une conspiration pour dominer le monde, ou pour blesser ou contrarier les Chrétiens, ou pour détruire leur civilisation. Les Juifs, en tout cas certains d'entre eux, sont utilisés par Dieu pour exécuter Ses plans sur la Terre. Les Juifs jouent ce rôle dans la pièce divine et ont fait ces choses, et continueront à les faire, qu'ils aient ou non un plan contre le peuple Blanc. Un lion tue pour manger parce que Dieu a assigné ces attributs à ses ancêtres quand Il les a créés. Les lions ne peuvent rien faire contre ce qu'ils sont ou ce qu'ils font, ils agissent de telle manière parce que c'est programmé dans leur constitution. De la même façon, le Juif est hostile, mordant, plein de haine, impie, destructeur et usurier car de tels attributs et rôles (ou prophéties) ont été assignés à un ancêtre des Juifs – Ésaü-Édom. Ils ne peuvent pas faire

169 Richard Siegel et Carl Rheins, The Jewish Almanac, New York: Bantam Books, Inc., 1980, p. 3.

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autrement que haïr ou faire des choses impies et destructrices, pas plus que le lion ne peut s'empêcher de tuer, car c'est son mode de vie. Un autre facteur dans le rôle subversif du Juif, et une réponse à la question « pourquoi les théories de la conspiration existent-elles ? », est la nature des malédictions qui pèsent sur eux. La seule présence d'un peuple maudit parmi le peuple de Dieu peut causer des effets négatifs et dangereux sur lui. Pour cette raison, Dieu a interdit à Israël de se mixer avec un quelconque peuple maudit, comme les Madianites ou les Cananéens, et d'habiter dans leur pays. De tels peuples seraient un « piège » et une « vexation » pour Israël, à cause de leur nature mauvaise. Cela fonctionne comme une conspiration silencieuse contre le peuple divin et les Juifs ont montré ces traits dans les cercles chrétiens.

Un Plan Divin pour le Mal

Presque toute la Chrétienté est unie dans la croyance que tous les maux et les troubles de ce monde sont le résultat d'un Diable, Satan spirituel, invisible, qui serait en compétition avec Dieu pour le contrôle de cette planète. Nous devrions toujours nous souvenir de nous méfier de ce qui est évident et de ce qui est populaire, car de telles choses sont souvent l'opposé de ce qu'elles apparaissent être. La Bible nous apporte de nombreuses illustrations supportant cette hypothèse. Beaucoup de messages bibliques nous disent que les croyances populaires et les voies des hommes sont contraires ou opposées aux voies de Dieu. Comme le déclare Jésus-Christ : « car ce qui est haut estimé parmi les hommes est une abomination devant Dieu » (Luc 16:15). De même, ce qui est mis en avant par les hommes, Dieu le mettra à bas, et ce qui est rejeté, Dieu l'exaltera 170. Il n'y a peut-être rien qui soit plus hautement estimé et élevé par le monde des églises que ces bâtards païens maudits par Dieu appelés 'Juifs' aujourd'hui. Il ne pourrait y avoir de preuve plus grande que ces Juifs ne sont pas le peuple élu par Dieu de la croyance populaire. Le monde de la religion organisée, qui a été influencé par l'endoctrinement juif, doit donc trouver un bouc émissaire pour certaines choses mauvaises qui arrivent. Elles enseignent que notre adversaire est soit quelque chose de spirituel, tel qu'un Diable invisible, ou bien qu'il s'agit d'une chose à venir, tel le futur anti-Christ. En d'autres termes, notre ennemi est quelque chose que nous ne pouvons combattre parce qu'il n'est pas physique ou pas encore physiquement ici. Le résultat est que le Juif, qui est notre ennemi réel, celui que nous pouvons combattre ou expulser de nos pays, ou tuer, est libre de nous assaillir à volonté parce que ces églises judaïsées nous disent qu'ils sont « le peuple élu de Dieu ». L'auteur Juif Maurice Samuel déclara : « Il y a essentiellement deux peuples en tant que forces

170 Luc 1:52-53; Luc 10:15; Jacques 1:9-10.

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spirituelles dans le monde – les juifs et le peuple blanc chrétien.171 » Ce que nous voyons se passer dans le monde n'est pas le conflit entre Dieu et une entité surnaturelle que les théologiens judaïsés promeuvent. Les Juifs savent que tant que les Chrétiens croient que des apparitions, des Diables ou des Satan sont des « forces du mal » qui sont à blâmer pour leurs problèmes, guerres, etc..., ils ne verront jamais que ce sont les Juifs qui sont la force du mal ici et maintenant, dans leur rôle assigné par Dieu. Ce qui veut dire que les Chrétiens ne lèveront jamais le petit doigt contre le Juif menaçant comme leurs ancêtres européens l'ont fait si souvent. Notre adversaire est quiconque Dieu met dans ce rôle (1 Rois 11:14-25), ou quiconque Il a fabriqué avec une disposition mauvaise et impie. À travers toutes les Écritures, les adversaires du peuple d'Israël furent donc toujours des êtres de chair et d'os, habituellement des peuples d'autres races. Oui, le mal, les Juifs édomites hostiles et destructeurs furent créés ainsi par Dieu. « Moi qui ai formé la lumière et qui ai créé les ténèbres; qui fais la prospérité, et qui crée le malheur : moi, l'Éternel, je fais toutes ces choses. » (Ésaïe 45:7). « Voici, moi je prépare contre vous du mal, et je forme un dessein contre vous. » (Jér. 18:11). « Voici, moi j'ai créé le forgeron qui souffle le feu du charbon et forme un instrument pour son ouvrage; et moi j'ai créé le destructeur pour ruiner. » (Ésaïe 54:16). « L'Éternel a tout fait pour lui-même, et même le méchant pour le jour du malheur. » (Proverbes 16:4).

Les personnes mauvaises et méchantes sont une part du plan divin pour Son monde, des personnes qui seraient contre Son ordre, Sa Loi et Son peuple. Il n'y a pas de démon surnaturel dans ce plan. Les « forces du mal », que nous voyons maintenant à l'oeuvre, sont plutôt causées par les traits négatifs et impies des Juifs édomites, dégradant et débauchant la société et tout ce qui est bon. Mais ne pourrions-nous pas prêcher la parole de Dieu à ces maudits Juifs cananéens-édomites, les convertir à la vertu? Non, car Dieu nous dit qu'ils sont nés comme ça et qu'ils ne changeront jamais : « Les méchants se sont égarés dès la matrice; ils errent dès le ventre, parlant le mensonge. » (Psaumes 58:3-4).

Ces Édomites-Cananéens sont nés avec leurs traits impies. Dieu ne commanda pas à Josué de les convertir, Il commanda à Josué de les exterminer. Dieu promet leur destruction, pas leur

171 Maurice Samuel, You Gentiles, p. 13.

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conversion (Psaumes 58:10). Même élevé dans un environnement vertueux, l'Édomite reste maudit (Ésaïe 26:10). Donc, Ésaü-Édom et ses frères Cananéens ne sont pas un peuple éteint et disparu depuis longtemps. Ils sont sur cette Terre aujourd'hui et ils sont toujours occupés à leur tâche de défiance à Dieu et essaient toujours de corrompre et de détruire le vrai peuple d'Israël. Ils jouent toujours leur rôle dans la pièce divine. Mais leur dernière scène se rapproche et le temps de leur destruction est pour bientôt (Romains 9:22).

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APPENDICE

Les extraits suivants sont extraits du livre bien documenté titré A short Study of Esau-Edom in Jewry, par Mr. C.F. Parker (The Covenant Publishing Co., London, 2nd Edition, 1949).

p. 17 - « Des articles dans le National Message identifiant la semence d'Ésaü avec la juiverie moderne ont causé une certaine perplexité à ceux qui ont été habitués à voir dans les Turcs la progéniture du jumeau de Jacob. Cette dernière identification n'est basée sur aucune évidence historique. Notre interprétation de 'Ottoman' vient de 'Osman' (le fondateur de la dynastie ottomane), qui ne permet aucune connexion philologique avec 'Théman ' d'Abdias (qui, selon le Genèse 36:11, était le petit-fils d'Ésaü). Il existe beaucoup de preuves montrant que la semence d'Ésaü peut sans problème être identifiée avec la juiverie moderne. »

p. 18 - « Á travers l'histoire biblique court le thème constant d'une lutte très ancienne entre Jacob et Ésaü. Ce thème est si fort que, en fait, il devient presque un principe en soi; même avant la naissance des jumeaux, nous lisons ce qui est interprété comme étant une lutte prénatale, continuée non seulement dans la vie des deux frères à la maturité, mais aussi dans leur postérité à travers les âges. »

p. 20 - « Josephus . . . rappelle (Ant. III, ii, 1) que les Amalékites (de la semence d'Ésaü) occupaient les forteresses de Gobolitis et Pétra et 'étaient les plus guerrières des nations qui vivaient dans ces environs', inspirant toutes sortes d'oppositions parmi les tribus du désert contre le peuple d'Israël. »

p. 24 - « . . . Les Hérodiens (étant Iduméens), qui, dans l'allégorie prophétique, symbolisent l'ordre mondial actuellement non régénéré qui, d'abord par le moyen de la Ligue des Nations, et maintenant par les Nations-Unies, aspire à un rôle messianique auto-assumé, méprisant le vrai Messie. »

p. 26 - « Depuis la destruction de leur nation, les Juifs ont continué d'absorber des prosélytes de toutes les races. Jusqu'à présent, il n'existe rien de tel qu'un type représentatif juif. Les anciens monuments portraitisant des profils Hittites confirment une infusion de sang ÉsaüHittite dans la nation, avec d'autres additions, presque au point d'effacer les caractéristiques originelles israélites. »

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p. 35 – La juiverie de l'Europe centrale peut dès lors être identifiée sans risque non seulement comme les descendants de la maison brisée de Juda, mais aussi comme la progéniture littérale d'Ésaü-Édomites qui ont désacralisé la nation judahite tardive. C'est un fait de signification profonde et semble offrir une explication aux éléments contradictoires dans l'histoire du peuple juif moderne. »

p. 41 - « L'élément édomite peut être, pour autant que l'on puisse savoir, une minorité parmi les Ashkenazes, parmi lesquels nous devons aussi supposer une proportion, comme indiqué par les données anthropologiques et historiques généralement, de gens pouvant réclamer une descendance de Juda. La juiverie ashkénaze est donc comprise de trois éléments de proportions non exactement connues : (a) ceux de descendance judahites; (b) ceux d'origine Édomite; (c) des prosélytes d'autres origines. »

p. 43 - « À l'intérieur du peuple juif moderne se trouve . . . un élément étranger, parmi lequel on trouve les Édomites-Hittites, se faisant passer pour l'authentique semence d'Abraham et cherchant à se débarrasser des descendants directs de Jacob. »

p. 49 - « Tandis que l'on ne doit pas se référer à tous les Judahites comme étant des Juifs, il est également erroné d'identifier tous les Juifs comme Judahites. La progéniture édomite d'Ésaü, quoique absorbée par la nation juive, ne fit jamais partie du royaume de Juda et n'a pas d'origine dans la tribu de Juda. »

p. 59 – « Ésaü proposa de tuer Jacob (Gen. 27:42) . . . C'est la semence d'Ésaü qui défigura la nation judahite et usurpa le nom de Juif. Il peut y avoir une justification à la vision selon laquelle la semence d'Ésaü devint les premiers Jésuites, qui étaient appelés 'Juifs', mais dont l'ordre persécuta les Judahites d'Espagne dans le but de les détruire. »

p. 62 - « Il existe des indications indirectes que le Communisme marxiste est d'origine Édomite, car ce n'est pas le produit de purs Israélites; ses doctrines sont exactement semblables à la philosophie des Sadducéens et des Édomites. Le Sionisme politique n'émane pas non plus des Judahites. »

p. 67 - « Peut-être que nous devrions dire que heureusement pour nous-mêmes Ésaü est à

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l'oeuvre. En tant que pouvoir mauvais, il a utilisé le mal que nous avons légalisé – l'usureafin de prendre le contrôle de la finance mondiale et d'empêcher la Grande-Bretagne-Israël de la contrôler. Ceci prouverait que c'est la libération d'Ésaü, car il est maintenant incapable de diriger l'économie mondiale usuraire; et avec Ésaü incapable de la contrôler, elle viendra à sa ruine pour notre propre salut. C'est la fonction d'Ésaü-Édom de nous sauver de nousmêmes. »

p. 76-77 - « Les innombrables sacrifices de sang rendus depuis la venue de Notre Seigneur ont été un déni constant de Jésus par les fidèles du Judaïsme depuis que celui-ci fut sous le contrôle des Édomites . . . Les juifs se sont emparés de la Terre-Sainte au détriment de ses véritables possesseurs – la Grande-Bretagne-Israël, qui, aveuglément et stupidement, et pourtant dans un but divin, a permis que son héritage passe à eux. »

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Table des matières

INTRODUCTION..................................................................................................................................5 1.
L'HÉRITAGE DE ÉSAÜ-ÉDOM.......................................................................................................5
Vie et Histoire d'Ésaü.................................................................................................................5
Les origines des Juifs..................................................................................................................8 2.
LE MONDE ENTIER EST UNE SCÈNE.........................................................................................12 
Évènements Mondiaux & Problèmes......................................................................................12 
Le Scénario.................................................................................................................................13 3.
LES CARACTÉRISTIQUES DE ÉSAÜ-ÉDOM..............................................................................15 
Le Nom Symbolique de Ésaü-Édom.......................................................................................15 
Ésaü Haï par Dieu.....................................................................................................................17 
Pas de Civilisation Édomite.....................................................................................................19 
Mauvaises Figues et Fruit.........................................................................................................23 4. 
LES ANCIENS HAUTS LIEUX.......................................................................................................25 
La Bible et Sion..........................................................................................................................25 
Le Sionisme Politique...............................................................................................................28 
La Première Guerre Mondiale et la Déclaration Balfour.......................................................30 
Le Plan de Partition de l'O.N.U...............................................................................................32 
La Palestine Dans la Prophétie.................................................................................................34 5. 
CONFLIT MONDIAL ET ADVERSITÉ..........................................................................................36 
Ésaü contre Jacob......................................................................................................................37 
Les Juifs Contre Les Chrétiens.................................................................................................38 
Un Conflit de Traits Génétiques..............................................................................................42 
La Haine d'Ésaü pour Jacob.....................................................................................................44 
La Haine par les Descendants d'Édom....................................................................................45 
La Haine d'Édom pour Jésus-Christ........................................................................................46 
Anti-Sémitisme..........................................................................................................................48 6. 
LA DOMINATION D'ÉSAÜ...........................................................................................................51 
La Bénédiction de Domination de Jacob.................................................................................51 
Statut et Domination d'Ésaü ....................................................................................................54 
Contrôle Économique...............................................................................................................56 
Gouvernement et Contrôle Politique......................................................................................60 
Le Gouvernement Mondial d'Édom........................................................................................65 
Le Temps de la Détresse de Jacob............................................................................................67 7. 
La Revanche d'Édom.......................................................................................................................68 
La Guerre d'Ésaü contre Jacob.................................................................................................68

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Qui est Ésaü-Édom?

Motif d'Édom pour Tuer Israël................................................................................................74 
Traîtrise d'Édom contre Israël..................................................................................................75 
Avortement et Meurtre Rituel..................................................................................................80 
Mariage Inter-racial...................................................................................................................82 
Conclusions et Commentaires.................................................................................................84 8. 
L'Acte Final.......................................................................................................................................85 
Exit Ésaü-Édom.........................................................................................................................86 
Jacob comme Outil Divin de Vengeance.................................................................................88 
Édom et Babylone.....................................................................................................................90 
La délivrance de Jacob..............................................................................................................92 9. 
Épilogue............................................................................................................................................95 
Les Rôles et Identités des Personnages...................................................................................95 
Conspiration et Conflit.............................................................................................................97 
Un Plan Divin pour le Mal.......................................................................................................98 
APPENDICE.......................................................................................................................................101

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Qui est Ésaü-Édom?

Dans l'ancien temps et pays de la Bible, il y a plus de 3.700 ans, Rebecca, la femme du patriarche Isaac, fut informée par Dieu qu'elle donnerait naissance à des jumeaux dont les destinées seraient aussi différentes que leurs caractères. La naissance de ces jumeaux, Ésaü et Jacob, et leurs destinées qui en résultèrent, auront un impact des plus profonds sur les événements à venir du monde. Cette analyse de l'histoire et de la prophétie d'Ésaü et de ses descendants dévoilera beaucoup des problèmes de ce monde et amènera une nouvelle perspective sur les guerres et les conflits, les mensonges médiatiques, le Sionisme, les conspirations politiques, l'antisémitisme, les problèmes économiques et la question juive. Ce livre expliquera aussi pourquoi un groupe de personnes a procédé à des efforts concertés pour l'établissement de monopoles, de lois sur la haine, de gouvernement mondial, du communisme, d'avortements, de mariages inter-raciaux, d'usure et de politiques anti-chrétiennes. La lutte ancienne et terrible qui opposait Ésaü et Jacob existe toujours aujourd'hui et met le monde sens dessus-dessous. La question "Qui est Ésaü-Édom?" implique sans aucun doute le drame le plus prodigieux jamais enregistré dans les annales humaines. Ce drame est présenté ici afin de nous aider à mieux comprendre les plans de Dieu pour l'homme sur la Terre.