Française - French Language Articles

Adam n’était pas le premier homme

Adam n’était pas

le premier homme

par Bertrand L. Comparet

Extrait de Votre Héritage
Notes critiques de Clifton A. Emahiser

 

Beaucoup de gens sont devenus agnostiques à cause des supposés conflits entre la Bible et la science. En réalité, il n’existe aucun conflit du tout entre une traduction correcte de la Bible et une science vraiment prouvée, et pas juste des théories non prouvées. L’un de ces conflits supposés vient du fait que la science sait que des être humains ont vécu sur la Terre depuis bien plus longtemps que les quelques milliers d’années couvertes par la Bible et la croyance commune qu’Adam était le premier homme. Oui, je sais que la majorité des prêcheurs affirment cela, mais la Bible non ; elle dit seulement qu’Adam était le premier Homme Blanc. Examinons cela.

Les nombreuses mauvaises traductions de la King James Bible obscurcissent beaucoup la vérité. Par exemple, en Genèse 1:1--2 :

«1 Au commencement, Yahweh créa les cieux et la terre. 2 Et la terre était désolation et vide, et il y avait des ténèbres sur la face de l’abîme».

En hébreu, le texte dit : «Maintenant, la terre était devenue chaotique et vide» (voir la Rotherham’s Emphasized Bible). Une ancienne catastrophe avait rendu la Terre désolée, qui n’était pas chaotique et sans forme avant. C’était un jugement de Yahweh sur les civilisations antérieures, du à leur cruauté. Jérémie 4:23--27 nous en donne une vision :

Arabes, amis ou ennemis ?

Arabes, amis ou ennemis?

par Clifton A. Emahiser

 

Ceci est un sujet que je devais adresser, et je vais le faire. Depuis environ deux mois, je me demandais comment je pourrais aborder ce sujet, quand je reçus une lettre de William Finck dans laquelle il en parlait d’une façon tout-à-fait appropriée. Bill a adressé le même courrier à plusieurs personnes, et je vais ici résumer ce qu’il écrit (excepté que les noms des gens qui promeuvent l’idée que les Arabes musulmans sont nos amis ont été supprimés, à moins que ce qu’ils déclarent soit trop odieux). Bill écrit ce qui suit :

6 août 2006, Cher Clifton, … Voici ce que j’ai écrit concernant la situation en Palestine et qui reflète bien entendu ma position sur le sujet :  

J’ai pris connaissance d’une certaine confusion, on peut même dire division, dans la communauté identitaire (rien de nouveau!) concernant les évènements récents au Moyen-Orient. Permettez-moi de discuter ici de mes opinions en cette matière. J’essayerai d’être bref.

Archives classiques concernant les Israélites-Grecs Doriens & Danéens

Archives classiques concernant les Israélites-Grecs Doriens & Danéens

 par William Finck Christogenea.org

 

Les Corinthiens étaient des Grecs Doriens. Les Doriens étaient une tribu dont toutes les anciennes sources nous disent qu'ils avaient envahi la Grèce peu après les guerres troyennes. Les Grecs habitant tout le Péloponnèse avant l'invasion dorienne, ainsi que des territoires continentaux, étaient partout appelés “Danéens” (Danai) et “Achéens” par Homère. Les historiens modernes assurent que les Doriens vinrent “du nord” et pointent vers la Tetrapolis Dorienne, quatre cités (Erineus, Boeum, Pindus et Cytinium, voir Strabon 9.4.10) qui se trouvaient à l'ouest de Phocis et au nord de Delphes sur le territoire continental grec, pour appuyer leur thèse. Ces historiens clament également que les Aryens vinrent “du nord” dans l'ancien monde, à une époque ou à une autre, mais ils se trompent tous. Strabon donnait beaucoup de crédit à Homère pour sa connaissance et sa précision dans ses descriptions des peuples de l'οίκουμένη et des régions où ils vivaient, et le poète est constamment cité par le géographe. Homère décrivit tous les peuples de Grèce et les endroits et peuples connus des Grecs dans les périodes dont il parlait. Et pourtant, Homère ne fait aucune mention des cités de la Tetrapolis, des Doriens, en Grèce ou dans un endroit quelconque au nord. Les Doriens, qui envahirent la Grèce par la mer (difficilement nécessaire s'ils venaient du nord...) et poussèrent les Danéens hors du Péloponnèse, et qui fondèrent également plus tard leurs cités sur le continent, sont uniquement cités par Homère comme se trouvant en Crête (dans son Odyssée, livre 19).

Archives Classiques des Origines des Scythes, Parthes, et Tribus Relatives

Archives Classiques des Origines des Scythes, Parthes, et Tribus Relatives

par William Finck

 

Dans la préface de Guerres de Josephus, l’historien explique qu’il a écrit son livre originellement dans « le langage de nos pays », c’est-à-dire l’Hébreu ou peut-être l’Araméen, et l’a envoyé aux « Barbares supérieurs », parmi lesquels il nomme « les Parthes … Babyloniens … Arabes lointains … et ceux de nos nations au-delà de l’Euphrate, avec les Adiabeni ».

Excepté pour les Parthes, les désignations de Josephus sont ici géographiques, alors qu’il est clair d’après les pages de son Antiquités que beaucoup d’entre les Israélites de la déportation babylonienne habitent toujours autour de Babylone en cette époque (15.3.1), et ceci inclut les parties les plus « lointaines » de l’Arabie adjacentes de Babylone (cf. Actes 2:11; 1 Pierre 5:13). Josephus atteste également que beaucoup d’Israélites des déportations assyriennes se trouvaient « au-delà de l’Euphrate jusqu’à maintenant », où ils étaient « une immense multitude qu’on ne peut estimer par des nombres » (11.5.2). Adiabene est cette partie de l’Assyrie qui, selon Strabon dans sa Géographie, n’est pas en Mésopotamie mais qui consiste dans les plaines au-delà du fleuve Tigre, bordant Babylone au sud et l’Arménie au nord (16.1.1, 19). La Médie borde Adiabene à l’est.

Archives Classiques des Troyens-Romains-Judaïtes

Archives Classiques des Troyens-Romains-Judaïtes

 par William Finck

Christogenea.org

Dans nos Bibles, en 1 Rois 4:31, on nous dit que la sagesse de Salomon excédait celle de plusieurs autres hommes : « Et il était plus sage qu'aucun homme, plus qu'Éthan, l'Ezrakhite, et qu'Héman, et Calcol, et Darda, les fils de Makhol ; et sa renommée était [répandue] parmi toutes les nations, à l'entour ». Pourtant, la seule autre mention de ces grands hommes est en 1 Chroniques 2:6, où nous apprenons que Éthan, Héman, Calcol, Darda et Zimri étaient tous des fils de Zérakh, le fils de Juda.

En Genèse 46:12, on voit que lorsque Jacob s'en alla en Égypte, Zérakh y alla aussi, mais ses fils ne l'accompagnaient pas. Alors qu'il se peut qu'il avait une femme, ou plusieurs, avec lui (46:26), et que Péretz avait ses deux fils avec lui, Zérakh se rendit en Égypte sans ses enfants. Beaucoup plus tard, durant l'Exode, nous voyons que les descendants de Zérakh se trouvaient parmi les Israélites (Nombres 26:20). Pourtant, alors que le recensement dans le désert mentionne les tribus des fils de Péretz (Nombres 26:21), les fils de Zérakh, qui devaient être des hommes renommés, ne sont pas mentionnés individuellement.

Archives classiques et bibliques identifiant les Phéniciens

Archives classiques et bibliques identifiant les Phéniciens

 Par : William Finck © 2006

L'archéologie telle que nous la connaissons aujourd'hui est une science plutôt jeune qui s'est développée sous le poids d'un grand nombre de suppositions concernant l'histoire, suppositions courantes mais pas forcément correctes. C'est aussi une science très inexacte, où des interprétations variées peuvent être faites à chaque nouvelle découverte. Pourtant l'archéologie n'est pas de l'histoire, les archéologues ne sont pas des historiens et leur champs d'activité a pris sa forme actuelle seulement après avoir longtemps occupé une position mineure dans les départements d'anthropologie des universités typiques.

Tandis que beaucoup d'archéologues possèdent une bonne compréhension de l'histoire de la région qu'ils étudient, tel n'est pas du tout le cas du Proche-Orient. En Palestine spécialement, l'histoire de la région a été distordue, non seulement à cause d'une identification incorrecte des anciens habitants, mais aussi à cause d'une politisation résultant du 'sionisme' et du conflit arabo-juif des décennies récentes. Les juifs ont contrôlé étroitement l'archéologie de la région, surtout depuis les années 1960. D'une façon typique, toute découverte convenant à la vision juive d'un Israël ancien est étiquetée 'Israélite', tandis que tout ce qui n'apparaît pas juif est considéré comme étant Cananéen, Hittite ou Philistin, etc. Un tel exemple est trouvé dans une revue de Dan II. A Chronicle of the Excavations and the Late Bronze Age "Mycenaean" Tomb dans le journal Near Eastern Archaeology, 67:3 (2004), p.176, où il est évident que les auteurs de cette étude des découvertes à Tel Dan en Palestine sont plutôt oublieux du fait que les Grecs mycéniens (Danae) et la tribu israélite de Dan sont en fait un seul et même peuple. Il ne conviendrait pas aux Juifs de découvrir que cette branche des 'Indo-européens', Grecs aryens, étaient en fait des Hébreux, quoique à certaine occasion une telle discussion n'a pas pu être évitée. Bien entendu, tous les archéologues mentionnés dans cette étude sont Juifs.

Archives Classiques et Origine des Germains Parties 1 à 3

Archives Classiques et Origine des Germains Parties 1 à 3

 par William Finck

Christogenea.org

PARTIE 1

Les nations du Proche-Orient écrivaient ou gravaient souvent leurs inscriptions monumentales et autres archives dans plusieurs langages. Nous pouvons aujourd'hui en profiter pour accroître notre compréhension des diverses langues anciennes de la région. Avec l'émergence de la Grèce Classique apparurent les questionnements historiques et géographiques qui, comme c'est apparent par les écrits grecs, commencèrent vers la fin du 7e siècle avant JC. Les auteurs grecs se familiarisèrent d'abord avec leur voisin de l'est sous forme de l'empire assyrien, qui s'était terminé en 612 av. JC, puis encore plus avec l'empire perse dont le pouvoir fut consolidé sous Cyrus II vers 540 av. JC. Tandis qu'il y avait eu déjà des historiens et des auteurs grecs d'épopées, historiques par nature, en plus des nombreux poètes dont les œuvres ont survécu, le premier historien en prose sérieux dont le travail ait traversé le temps fut Hérodote, qui écrivait environ 100 ans après la mort de Cyrus. Il peut sembler évident, dès lors, que les premiers écrits grecs concernant l'est furent influencés par les Assyriens, puis plus tard par les Perses et les Mèdes.

Archives Classiques et Origine des Germains Suite et fin

Archives Classiques et Origine des Germains Suite et fin

par William Finck

Christogenea.org

PARTIE 4

Nous poursuivons ici l'étude de la partie 3, dans laquelle nous avons vu Strabon discuter de l'usage par les anciens auteurs des termes Scythes, Celto-scythes, Hyperboréens, Sauromates, Arimaspiens, Saces et  Massagètes et où nous avons constaté que ce terme d'Hyperboréen était avant tout un terme descriptif. Nous allons maintenant parler des autres termes, les Sarmates (ou Sauromates) et les Arimaspiens, puis des Scythes d'Asie, avant de retourner à notre discussion sur l'Europe. Les Sarmates, comme nous le dit Diodore de Sicile, étaient un peuple sorti des Mèdes, et ils sont donc des Japhétites slaves, reliés aux Thraces (Madaï et Tiras, Genèse 10:2). Ils sont dit avoir été chassés vers la rivière Tanaïs par les Scythes, et Diodore nous dit aussi que certains auteurs les reconnaissent comme étant des Scythes (Bibl. Hist., 2.43.6-7 ; 4.45.4). Strabon fait partie de ces auteurs. Il nous dit « Quand on entre dans la mer Caspienne, les peuples qu'on a à sa droite sont ceux des peuples Scythes qui viennent immédiatement après les derniers peuples de l'Europe et ceux d'entre les Sarmates dont nous avons parlé précédemment comme étant compris entre le Tanaïs et la mer Caspienne et comme menant de préférence la vie nomade » (Géogr., 11.6.2), et Strabon a en effet dit plus tôt que les Sarmates « également de race Scythique » habitent près de la Mer Caspienne (11.2.1). Tacite distingue les Sarmates des Germains, surtout par des apparences physiques (Les Germains, 46), et de son temps les Sarmates avaient aussi migré à l'ouest de la rivière Tanaïs, contribuant sans doute au mouvement général vers l'ouest des Scythes en Europe. Les Arimaspiens sont mentionnés par Diodore comme étant une branche des Scythes (Bibl. Hist., 2.43.5), quoique nous trouvons peu de chose sur des Scythes portant ce nom. Strabon nous dit seulement d'eux que, selon Aristeas, ces gens ne possèdent qu'un œil. Strabon appelle plus loin Aristeas, qui avait écrit un poème épique sur les Arimaspiens, « un charlatan s'il y en eut jamais » (Géogr., 1.2.10 ; 13.1.16).

Baptême – Dans quoi?

Baptême — Dans quoi?

Par William Finck

La pratique de purification de Jean le baptiste, ou « baptême », des pécheurs dans l’eau n’était pas une idée originelle de Jean, mais était une pratique connue depuis longtemps, non seulement des Judéens mais aussi des Grecs. Cela ne devrait pas être surprenant puisque nous savons que les tribus grecques des Danéens et des Doriens étaient les descendants directs des Israélites hébreux. Il serait au contraire surprenant qu’ils n’aient pas partagé beaucoup de leurs coutumes.

Bien qu’il existe beaucoup d’exemples de « baptême » — purification rituelle dans l’eau — dans la littérature grecque, je n’en citerai ici qu’un seul. Dans une pièce, Eumenides, écrite par le poète grec Éschyle au cinquième siècle avant Jésus-Christ, le personnage Oreste dit, aux lignes 448--452 :

« C’est la loi que quiconque s’étant souillé en versant du sang soit privé du droit de parole jusqu’à ce que le sang d’une victime propitiatoire l’ait arrosé par le ministère d’une personne ayant reçu le pouvoir de purification d’un meurtre. Depuis longtemps, en d’autres maisons, ai-je ainsi été purifié, à la fois par le sang de victimes et par le flux de l’eau » (édition Éschyle de la Lœb Library).

Nous voyons ici que les Grecs croyaient que quelqu’un pouvait être lavé de ses péchés par le baptême (« le flux de l’eau ») ou par le sang du sacrifice (comparer Hébreux 9:13).

Ce que les Écritures enseignent sur l’«impur»

Ce que les Écritures
enseignent sur l’«impur»

par Clifton A. Emahiser

Vous êtes libres de copier ce texte, mais pas de l’éditer.

Le sujet de ce qui est «pur» ou «impur» est de la plus haute importance dans les Écritures et ne peut pas être sous-estimé! Bien des fois, lorsque ce sujet est mis à l’avant, le lecteur n’en comprend pas la pleine signification.

La plupart des Chrétiens, bien intentionnés mais mal informés, pointent vers Actes 10:10--16 pour justifier leur consommation de nourritures impures telles que le porc. Dans ce passage, Pierre a eu une vision, et l’on nous dit :

«10Et il eut très faim, et voulut manger ; et comme on lui apprêtait [à manger], il lui survint une extase. 11Et il voit le ciel ouvert, et un vase descendant comme une grande toile [liée] par les quatre coins et dévalée en terre, 12dans laquelle il y avait tous les quadrupèdes et les reptiles de la terre, et les oiseaux du ciel. 13Et une voix lui [fut adressée, disant] : Lève-toi, Pierre, tue et mange. 14Mais Pierre dit : Non point, maître ; car jamais je n’ai rien mangé qui soit impur ou immonde. 15Et une voix lui [fut adressée] encore, pour la seconde fois, [disant] : Ce que Dieu a purifié, toi, ne le tiens pas pour impur. 16Et cela eut lieu par trois fois, et le vase fut aussitôt élevé au ciel».

Trois fois rend tout ceci très important! Vous noterez qu’ici il est dit : «… grande toile [liée] par les quatre coins …». Tout étudiant de la Bible un tant soit peu alerte reconnaîtra que les «quatre coins» dont on parle ici représentent Israël lorsqu’ils campaient dans le désert en formation carrée. Ce ne sont pas des animaux impurs dans la toile, mais des Israélites impurs qui furent divorcés de l’Alliance. une fois divorcés, ils devinrent «un non-peuple» et tombèrent sous la même catégorie que les païens impurs. Puis Christ, que la plupart des gens appellent «Jésus» mais qui était Yahweh dans la chair en tant que Yahshua, vint pour racheter Israël pour Lui-même. Israël, une fois divorcée par la loi de l’Ancien Testament, ne pouvait pas être remariée à Yahweh de nouveau, excepté par une condition : que soit Israël, soit Yahweh meure. Ce fut tout le but de la crucifixion, car une fois Yahshua mort, le chemin était libre pour Lui de se remarier avec Israël. Il est donc dit plus loin : «Ce que Dieu a purifié, toi, ne le tiens pas pour impur». C’est ici que Col. 2:14 entre en jeu :

«… ayant effacé l’obligation qui était contre nous, [laquelle consistait] en ordonnances [et] qui nous était contraire, et il

l’a ôtée en la clouant à la croix».

Pages